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28/04/2014

Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père.

En haut, il y a les pièces éclairées

comme la description.

 

En bas, le monde tel que le porte le cœur a travers la peau, en une sculpture fibreuse de radis noir enraciné dans un corps par la langue qui descend du ventre ; le monde garnit de pièces d'usinages monstrueuses pour les stars de papiers, pour les rubrique mondaine de la catégorique allégeance aux syntaxes des grattes ciel et des ouvrages d'arts de plusieurs kilomètre d'insensibilité ; le monde ombrée des œuvres aveugles qui pataugent dans leur vomi proportionné ; sous leur ombre la disproportion humaine tend a s'effacer, a frôler en permanence la tension limite, a jouer avec la ligne rouge au-delà de laquelle s'abolit le règne des relativités morbides, le règne du monde hybride des chimères moins que réelles ou le grain de la lumière, très loin de sa transparence, a la forme du canapé lit écran plasma acheté chez ikéa, une régurgitation du petit lait caillé de la lumière en lustres a pampille et table de salon tournant entre les comptoirs du monde ; grain épais, non atomique feuillure du livre aux transparentes pages, seccable lueur comme le pain du conflit que se partage aveuglement les yeux cousus de frelons bis sur pourtours de leurs vie bidon ; le pain n'y a encore que le goût de la farine qu'ils se crachent a la gueule quand ils essaient de se parler ; l'univers ne filtre pas entre leur murs mentaux, par les gilles baissées de leur prison spirituelle, leur vision n'est pas encore aussi limpide que le vide intergalactique qui hante l'univers en expansion sous les néons au sodium des clarté reconstituées dans leurs cerveaux poisseux comme l'ambiance glauque d'une baston dans les ruelles, et grumeleuse comme un agencement de pièces rapportées des pavillons modèles du brouillard ; aucun d'entre eux ne sait ce qui se passe, ils n'ont jamais eut le goût du merveilleux et encore moins celui du sublime qui est en cours de composition dans l'ordre doublement écartelé de la poussière ; aucun goût pour l'asile inconcevable, a l'abri des construction et destruction de l'intelligence, qui fait fondre le cerveau et puise dans l'hémorragie intelligible un océan de lumière sensible au rapprochement ; comment atteindre , la haut, la description s'il est interdit de se supposer, ici-bas pourrissant du semis réfléchis du mal absolu ? Surtout ne pas le supposer, ce serait une insulte a l'époque de la perfection technique et ostensible, de la soupçonner de prolonger les vices de formes de l’intériorité laissé en jachère permanente offerte a l'ivraie de toute sorte ; mais les pensées sous la serre, n'en poussent pas moins a l’envers en creusant sous leurs pieds l’abîme que le monde ne peut voir sans trembler ; le monde en son printemps fait de main d'hommes, de maraîchers et de vignerons soucieux de cacher leur contradiction par laquelle le pouvoir politique les tient en laisse comme des chiens, les oblige a la mascarade subjective du mensonge existentielle et leur offre des fondements branlant sur lesquelles aucune perception de la hauteur éternelle de leur conscience n'est possible, les contraint a lustrer leurs salades pour masquer la sordide exploitation des frères ; la politique représentative est un art de l'intercession et du maquillage des consciences dédoublés dans des rôles pourrie pour des cœurs a variés ; un art de l'assemblage du double face, scotché dans l'asphyxie mentale de la lumière intérieure a la poix des tue mouche ; un art de la raison d'exister qui lie les choses entre elles en évitant soigneusement de relier les pôles pour que ça tourne rond ; en ce monde clos, la transparence est un leurre qui scelle l'ouvert ; l'y introduire c'est foutre le bordel, le rendre apparent, c'est réduire les fausses valeurs a rien, c'est faire apparaître les murs de la prison noétique ou la fable enfermée tenue a l’écart, sent le rance ; et c'est dans cet Éden de souffre que l'infernal cohabitation se dissous dans l'acide des problèmes entre locataires et autres fils de l'adoption ; le solitaire y né non dans une étable a flanc de colline, mais dans une jungle de câble et d'acier ; né indéfinissable élément d'une construction sans totalité organique ni queux ni tête du moins rapportées a l’idéal du cœur rapprochant les contraires de la transcendance du sens  vraiment cohérent ; il est sans nom au milieu des océans multiples de bitume plus arides que les déserts de Galilée ; le solitaire ne se vend pas au marques d'affection hypocrites ; il se fige plus précisément dans son retrait, si profond que tout s'efface quand il s’apparaît dans sa dit solution ; il passe a travers son propre hymen, a travers les voies noétiques de son habitus de penser ; il tombe comme un souffle dans son propre instrument sur la seule note juste de toute son existence ; mais c'est ce mur, cette toile eidétique première, cette sous couche de civilisation, de fausse humanité qu'il faut écailler parce qu'elle est le filet de la chaire prise au rets de la finalité qu'il a jeté sur toute chose en dieu ; et le solitaire sera plus que jamais exposé a la différence absolue ; mais en déjouant les tours d'illusions, il se retournera vers la contradiction platement abêtie par la civilité, constatera qu'elle l'habite et qu'il l'habite comme son plat de souffrance ordinaire ; mais désormais il le saura ; et l'humour germera de sa sensibilité déniaisée, il défera le lien de prétendue vérité qui circulerait entre les hommes, et le reliera aux prémisses de l'esprit ; une rumeur d'ailleurs courre aux basques de cette opinion depuis l'origine, la suit partout comme son ombre qui est l'eau ou la parole publique puisse son coin pour rendre la représentation indescriptible et ensevelir le lien a soi-même dans les schémas sans mystère des retouche de phot-shop ; mais le solitaire remonte au souvenir de quand il ne jugeait encore de rien ; le citadin y trouve la même impression de froid glacé qui siffle entre les barres nocturnes des immeubles coupe-gorges et la même lumière au réverbère pend du regard attentif jeté sur ce banc qui jour et nuit attend les amants ; la se réunissent ceux qui veulent rendre au monde sa voie, aux éléments leur souffle dans la poussière, et aux hommes, la longueur et la hauteur de l'infini sentiment d'exister ; le banc les écoute éclairer leur conscience déposé comme un diamant au fond d'une immense dalle de béton qui fut a la fois leur berceau, leur cerveau et les premiers anneaux de jeu, l'hydre des briques de la terre dissimulée, qu'ils firent tourner dans le ciel quand la lumière rapprocha leur mots, leur cœur identique, et mélangea leur pores ; les murs de l’horizon se soulevèrent pour eux de leurs cercueil, et en un instant leur grandeur avait dépassée toute proportion ; l’écueil cependant restait intact, inentamé, entier, mais leur cerveau n'y prêter plus attention le mal n’était plus qu'un vide irreprésentable et devenu transparent comme la rivière d'amour qui remontait abruptement ses rives le long des colonnes de feu des building de verre qui plongeaient leur pics renversés dans le corps du Styx en expansion ; un rideau de gaz s'enroulait autour de la concentration du temps comme un spectacle de revue légère levant les cuisses lourdes de plusieurs millions de tonnes sur le seul atome de gravité, tenue en équilibre au seuil du vide ou le même grain de sable que le ciment urbain servait de fondement explosif a la construction qui le redouble. Au centre, il n'est plus que l’énergie du tao universel, et en périphérie, l’algorithme cinématique de nos vertiges de projections du silence profond sur fond de la matière du malentendu ; intention paradoxale en soi si on devait la créer nous-même ; l’indifférente nuée dure comme des draps de béton enrobe les pieds du sommeil encore chaud dans la nuit de notre émotion ; devant dieu c'est tout autrement bouillant ; l’infiniment grand et l'infiniment petit se rejoignent en son esprit ; le solitaire s'effondre, se concentre, se transforme intérieurement, l'ombre de sa peur devient le vide essentielle de la vision, et la vision touche a la lumière ; l'amour se révèle ; les amarres rompus, l'animal se perd dans son propre désert, et quand il est perdu, il le trouve, se découvre trouvé quand tout lâche et que tout s’éclaire, s’écroule et s’éveille ; un reste de nuit emporta le passant vers son centre silencieux ou cesse l’écho de voies humaines, ou tout résonne mieux et autrement comme dans le ventre de l’abîme dans l'estomac de la baleine ; l'animal informe se perd plus sûrement qu'une caravane dans le désert a de chance d’être prise entre le marteau et l'enclume de l'aube ; il suit avec elle la ligne de crête, d'aiguille en aiguille décousant les pores de l'affection du désastre, réduits les ports et les havres en poussière, devient errant, fantôme hantant le désert qui pourtant est la chair d'une autre parole, chaire de poule a l’écoute de l’anachorète qui habite le sable et le vent comme les ponctuation essentielles du verbe ; sa différence d'avec le policé lui sotte a l'esprit, comme celle du sable et du ciment....l'implant conceptuel de l'obstination politique a se croire agissant tombe en miette, son intelligence ensemencée d'un germe d'absolu s'illumine de l’interrogation que ses propres actes soulèvent de conséquence éternelle dans le temps.

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