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15/05/2014

note (en cours)

 

En général le monde se divise en deux catégories complémentaires d'homme œuvrant au sein d'une réalité dialectique dont il ne conçoivent jamais la totalité nauséeuse : les trous du cul et les lèches cul ; et cette situation n'est absolument pas fortuite ; elle tient a la fois a une mauvaise conception de l'histoire pensée comme progrès sur le calque de la technique qui soutient effectivement l'homme dans ses vices, alors qu'elle n'est qu'une régression d'une point de vue spirituelle, ou s'augmente le poids premier de l'angoisse qui reste a vaincre mais autrement qu'en bâtissant techniquement un monde de parfaits exilés.

D'autre part, l'imbrication dialectique du bien et du mal formé des l'acquisition de la langue et de ce qui la déborde en terme de signifié transcendant reste toujours un non dit qui s'angoisse, se délite a mesure qu'il se forme tant que le travail de l'angoisse n'a pas porté l'existant jusqu'à la certitude de l'esprit ou la dialectique imbrication cesse de détruire sa propre position de réalité et que l'alternative absolue et le choix décisif de l’éternité se posent.

 

Plus il y a d'angoisse et plus aussi la possibilité de l'esprit est grande ; qu'elle immonde tas d'ordures n'a t-on pas proféré a propre du mariage quand la loi a ouvert son champ a l'homosexualité ; la persévérance, la constance, l'unicité, la fidélité et la confiance sont des déterminations noétiques permettant l’appréhension noématique des qualités éternelles d'un individu ; et que cela se réalise dans le temps est un pur miracle ; mais non, lèche cul et trou du cul n'ont parler que de filiation, génération, sexualité...foutaise et encore foutaise dont on perçoit avec la plus grande évidence que la travail de l'angoisse n'avait pas encore mûri la langue de ceux qui parlaient du mariage en laissant planer l'essentielle irréalité de son sens éternel qu'ils ne percevaient ni ne concevaient. Pourquoi ? Parce que bien et mal sont encore trop impliqué l'un l'autre et non parvenu, a la victoire, a la certitude éternelle qui pose le pieds sur la tête du dragon mort de l'incertitude. Mais de l'angoisse a la certitude, de l'imbrication dialectique au choix pathétique et absolu le progrès ne se fait pas en vertu d'une qualité immanente qui surgirait de son propre fond....c'est la toute la difficulté ; c'est précisément parce qu'elle manque, cette position de réalité immanente dépassant l'alternance de l'angoisse et son mixte dans la sensualité, le doute et la volonté pélagienne (atteindre par soi même l'objet de son désir revient encore a ramener toute la réalité a l'angoisse, puisqu'on ne sort de l'angoisse qu'en se rapportant a ce qu'on n'a pas soi-même posé), que l'angoisse creusée jusqu'au fond ramène a son contraire, l'objectivité du don excellent et parfait de la qualité qui n'a pas jaillit du cœur de l'homme. Mais encore faut il le demander...ce que ni les trous du culs, trop épris de leur position dominante ni les lèches culs trop soumis a leur peur de manquer ne peuvent faire. Comment les soigner ? Souvent il faudra sortir le fouet de l'amour.

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