Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/05/2014

Où donc est l'expression de votre bonheur? (en cours)

 

Parfois j’écrivais comme un enfant dessine des épines au soleil retourné dans sa lumière ; d'un trait d’égal transparence, je recouvrais le sillon d'un clin d’œil dans la tombe; entre temps la semence était enfouie en secret par le vent, entée en astre de transcendance, prompt au pourrissement necessaire de l'ancienne langue, desormais retournée, pliée en deux dans le silence dialoguant du cœur sur les réalités douteuses du monde, remettant a l'esprit ma dose de conscience éternelle et désirée. Ma volonté d'etre connu de dieu, mon désir d'etre entierement vivant cimenté d'absolu insouciance, m'inoculaient ma mort, jusqu’à la disparition de ses faillites qui tuèrent ma raison et relevèrent dieu de la tombe, tout était bon alors sans que j'en sache rien, sans que j'en puisse juger, quoique le cœur pur reconnaisse qu'il collabore et qu'il n'est pas une volonté de fer, mais un être brisé, perdu, sans appuie et sans force, livré a la déréliction de l'abandon de l'ignorance équilibrée a la Sienne Perfection, calibrée de transparence pour témoigner de Son action, de S Providence dans l'histoire pitoyable des souffrances de ma vie ; alors comme un poids de gloire, pour l’éternité, la joie gonflait mon cœur d'un sentiment indescriptible, exempt de tous les maux effroyables qui avaient emprunt la langue humaine de l’héritage du péché, entachée mon cœur et mon âme, et qui m'en menaçait encore malgré l'interdiction divine de toute distinction morale que du fond de mon être, dans mon adoration, je méprisais.

Les commentaires sont fermés.