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26/05/2014

sans titre (en cours)

Pie tira de son gousset la montre globale du temps généralisé ; les racines de chronos s’étaient heurtées comme un thorax enfoncé sous la pression accidentelle de la confusion des demeures ; le mètre ruban s’écoulait lentement sur le dos des limaces invertébrées qui jalonnaient les rues désertes de la ville ensablée de sommeil ; entre les dunes était perdu la lune sous les taches blanche du sperme d’Osiris au phallus disparue dans l'entendement des ténébreuses réjouissances; Pie expectora les relents de chapelure de la web piraterie de son smart phone, et se faufila a travers un champs de dattiers ou il cueillit les hydres du calendriers des vamps couvert d'enluminures évoquant sur des flyer en papiers glacés le souvenir froids et sans nostalgie de la vieille Europe rejouant son éternelle douche froide dans les troquets de la contraception spirituelle; la ligne sept du métro aérien s'enroulait en voluptueuses volutes de songes ferraillant avec les cieux une cote de maille étendue sur le grand huit de la foire du trône ou le roi divertis faisait sécher son linge au souffle de la nuit ; l’Éveil voulait que Pie tint tête a la nuit, résolument, en remontant les traces de l'ancien fleuve de faute jusqu'à la source du soleil démembré; les rail étincelaient et palpitait comme des instrument en métal creux et évasé ; la pulsation des battements des marteau l'un sur l'autre rendait la voie impraticable au coupe coupe de fortune ; Pie plaqua son oreille d'indien sur le silence du grand canyon et bue a grande lampée une immensité de silence reconstituant sa canopée cérébrale; le train disparue un instant entre les nuées, il s'enfonça dans son rôle et remonta le col de son pardessus élimé ; il se sentait las de n’être pas lui-même ; heureux de le reconnaître; il était grand temps de s’éclipser du Becket's club et de rejoindre la société anonyme du On ou en règle générale les bannis du réseau ferroviaire, poursuivaient jusqu'à l'aube leurs festives ablutions qu'ils clôturaient universellement d'agape digne de ce nom.

Le On était un ancien cloître déchaussé a la sacristie convertible comme un canapé, en barnum ou se retrouvaient les acteurs de la ville en fin de spectacle potentiel ; souvent il passaient le reste de la nuit a examiner ce qui aurait put etre leur victoire, si les enjeux de la reussite avaient eut leur mort sur la conscience du publique; au « On », tout ce qui avait faillit exister au court du siècle dernier, y banquetait dans un décors de quai de gare ou Pie descendit en pénétrant dans le club ; l’arrêt des machines n’était pas un indice viable pour vérifier la pseudo existence du train des illusions, car a l'allure ou les tables étaient servit et desservit, il lui était toujours loisible de se croire engagé sur les rails du rythme cardiaque dont la durée limité étaient dûment stipulées dans de gros contrats soumis a finance plus ou moins virtuelle, du moins autant que la reconnaissance publique ou celle des pairs dont les tables réservées plusieurs mois a l'avance était souvent grosses d'agape digne d'un rêve ; quand Pie s'aperçu que l'horloge sonnait encore il fit le décompte en fonction de l'ardeur des présupposition que la lassitude régnante dans son corps lui permit de faire sur le point de l'heure; les acteurs qui dînaient a l'ombre de leurs doublures n’étaient pas autorisées a pénétrer dans le club, puisque trop mourraient réellement de faim chaque mois, mais celles qui étaient cascadeuses et spéculaires, pouvaient être admise dans le cercle aux alouettes ; au fond du restaurant les meilleurs réducteurs de têtes, avaient vécu milles vies, milles fois la tragédie de l'amour avaient réduit en cendre leur cœur, toutes les expressions humaines avaient brouillé leur teint, leurs traits étaient autant de bouche sur la cloche en dédicaces a la folie, et ceux qui garder une expression humaine, portait en eux une profondeur vertigineuse et élastique qui superposer les yeux des tragiques grecques et ceux des drame français, milles cercle concentrique scintillé autour d'un vide de chair, on aurait cru voir l’icône véritable des saints, la manifestation physique du résumé de l'humanité dans l'onde translucide de la mandorle de chair. C'est qu'il est capital pour un acteur de bien choisir son auteur, celui qui mettra dans l'axe de ses mots les différentes faces de sa personnalité ; capital d’être transit jusqu'à la mort, milles fois recuit, pour recevoir l'estampille incontestable de l'authenticité du déluge de l'esprit sur l'animal le mieux adapté au milieu du spectacle omnipotent qui le fait vivre ; l'acteur vieillissant se couvre d'un fond de teint qui est tous les visages de l'humanité ; mais parfois la chirurgie rate, la plastique explose, le mannequin devient difforme, s’étire au contour des lèvres, devient borgne, ajoute un branle inaudible au chasse du battant, et la cloche se fend ; Pie aimait ce lieu ou il pouvait dîner sereinement, dans un wagon restaurant le plat métaphysique de son poids de mystère sans être mécompris ; chaussé de ski, glissant sur la neige vierge des a pic de la vie, il voyageait intérieurement, de station balnéaire suédoise ou les mouettes parlaient de l'Afrique des village jusqu'aux sublimes sous-entendu, des régions secrètes et inexplorés du cœur renversé d'amour ; son corps putréfié lui semblait mangé par la lumière, l'humus battant d'un corps de texte ou le soleil n’était qu'un point d'interrogation formé par les effluves de la question, qui en dehors du club, transpirait les grosses gouttes de sueur froides dans le froids glacial des relations strictement commerciale moulées a l'inhumaine indifférence du pain cuit au manque de chaleur ; la note en fin de repas était toujours un indice du crédit de l'auteur envers l'acteur, et on ne payait jamais en finance abstraite, monnaie de singe ou titre sur papier, mais toujours d'une ovidienne obole de la face cachée de la justice quand du verbe résonnait l'accord de la jubilation parfaite.

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