Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/06/2014

sans titre (en cours)

L'arbre grelottait de copeaux de vent, comme une tête secouée des milles grelots d'une impossible vision, les flagelles du cauchemars griffaient la cendre des protozoaires lumignons de la nuit, les fines bandes de lin de la menace horrible, sourde a l'existence des arrières monde, entendement amputé, avaient trouée par l'acide des mites, la semence d'effroi qui en germaient silencieusement comme une légion de cloaque toujours plus pétrifiant de brûlures encore fumante de braises de révélation de ténèbres sans fin, de crépuscules milles fois réitérant l’éloignement de la lumière et le rapprochement de la sources des lésions qui , a la fin, s'engendrent elles-mêmes, produisant leur propres comble de maléfices et de rumeurs horrible que font les innombrables colonies de cafards en s'accouplant au désert d'organe, rongeant les tripes de tungstènes qui auraient du s'illuminer et ne découvraient plus qu'une cage d'os assemblés dans un ordre déroutant qui semblait les lettres du tangage ou une âme effilochée avait basculer pour l’éternité hors d’elle-même, du fond de son exil insensé, blottie comme une molaire contre le pôle en sang de la muqueuse des ténèbres qui n'en finirait jamais de la digérer, la revêtait de confusion, de l'incisif ensevelissement d’illisibilité, la queue des rats jaillissant de la racine pourrie et le nerf putride de l'attention brisée flottant a tout vent, comme les mandibules désarticulées d'une mygale devenue folle agrippant dans l'air les vapeurs d’éther qu'un cerveau formolé en manque de tension cardiaque ne pouvait respirer comme l'air du néant d’où il émerge en concevant la langue qui marche sur le roulis des ténèbres.

Les commentaires sont fermés.