19/06/2014
sans titre (en cours)
Soixante soi par minute, cinq écrans par heure, douze mois salariés par seconde le comble c'est le nombre clinicien du va et vient, le quotient ubique du camping sur les flots bleus de la plage rapporté au travail des serpillières épongeant les remugles des vingt-quatre images seconde, la sueur effroyable de l'absurde en moins, plus de migration hors de l’hystérie collective mais des outils adapté a sa croissance et a son développement, les merguez et la bibine retranchées de leur coût de production psychique, importés en bouche trou du fond dont ne sait quel déracinement avec les congés payés par la prod. imaginaire des besoins du salaire liée au travail inexistant ; entre les seins du cercle vicieux l'imagination tangue comme les bouées d’embarcadères, n'oublie pas ta bouée mon chéri, la plage n'est plus très sur quand elle est désertée, pourrais te noyer, il n'y a aucun sol sous tes pieds, aucune clameur quand vibre le vide, et son atome battant de ton conflit intérieur que tu ne remarque pas, tant te sollicite tout ce en quoi tu ne devrais même pas avoir le gout de fourrer ton nez ; faire un pas est risqué, c'est comme marcher sur l’océan suivre la crête des failles, la saillit ondulatoire du corpuscule insituable et remonter jusqu'au cime des névés toucher des yeux le cœur du ciel noir et pur comme une huile de vidange, pardon c'est vrai tu n'y touche pas, de nuit ? Ha non c'est vrai le poésie t'emmerde, toi t'as les pieds sur terre, tu veux du concret, de l'or en barre noire pour djellaba pissant petro-billet, alors la, oui, voilà qui impose le respect, te clou le bec, l’âme des safari en quatre-quatre sous les turbines géantes pompant l'eau salée des inculture du cactus asséchant toute vie spontanée ; ils déferlent sur le monde, vitesse grand v, plan de carrière assuré, grande école de gangstérisme, charisme de rotary club éculé, manque absolu d'imagination, mais comme chacun sait il faut être le plus plat des êtres pour réussir dans le monde ; la recette ? Hyper-simple, récite toute ta vie les prémisses d'une leçon que tu n'a jamais eut le courage d’approfondir et tu sera a la mesure commune de toute la hochante veulerie humaine ; abjecte rejeton d'une mitochondrie de parole désincarnée, conscience informe, revenue, non pas d'entre sa mort, mais escompté en kilo fric au trésors du nasdac bon public garantie banque a effet de serre du braquemart sphérique de la central quille de gouvernance certifié sans pilote au terme du contrat stipulé inconsciemment de l'abandon de ta réalité par ton psy rémunéré aux même orifice du rêve nauséabond; puis tatoue sur ton biceps tout un code barre de diplôme en police libre de hiéroglyphes que tu laisses entrevoir sous ton sweat de flanelle sport estampillé commerce équitable et le tour est joué sexe et pognon sont relié a travers ta chair ton esprit est pris au maille du mensonge collectif tu ressent la proximité de tes pairs comme la justification qu'il te manque intérieurement, je t'assure t'es presque sauvé..., car immanquablement tu retrouvera, selon ce que ton cœur d'amibe bifide de docteur es crocs, est capable au mieux de concevoir dans l'ordre du bien, le délicieux assentiment de tes quatre ans, quand tes maîtresses déguisées en écolières nipponnes te sucerons la pine structuraliste des orgasmes de chèvres dilués dans un cosmos que tu pilles sans contrepartie, et qu’après ton plaisir tu les trouve tous juste bonnes a tondre et insupportable a braire leur ignominie féministe sur les valeurs traditionnelles qu’elles charrient partout au grand dame de ton manque de taille, que dis-je ton émasculation spirituelle principielle qui fait de toi un sac a foutre une viande a variée piquée de mouches ayant tout juste assez d'imagination pour mettre en rapport sexe et pognon, pute et combine, meurtre et succès ; dix ans plus tard la tronche refaite façon sac plastique remarié vingt fois tu prendra plus encore de plaisir a la volupté, tu éprouveras une juste colère tautologique de ventriloque sourd et muet, envers les coincés du cul qui prônent les vertus focales de la fidélité grossissante sur les voies d’éloignement et de proximité, car le parachèvement de ta vie atteindra son acmé c'est a dire son crépuscule abyssal dans l’idolâtrie du plaisir absolu, valeur sur en soi- et pour soi, lorsqu'elle est déliée de tout, assumée dis-tu sans te comprendre, (ce qui est l'inverse de la honte, l’orgueil des fat) alors que règne en toi, comme un astre lugubre dans un éther noétique d’indifférence absolue et d'acide dissolution dans l'irréalité. Alors ta vie s’éteindra dans une explosion de bizarreries sans élan, mais plombant d’abîme la légèreté et la douceur d'élévation de la compréhension, tu verseras dans la consommation éternelle de la racine du néant que tu n'auras pas voulu coupé durant ta vie ; tes richesses, tes honneurs, l'acclamation du public se changeront en ce qu'ils ont toujours été en terme de terrorisme de l’âme, et de culture de la peur, et du coït noétique final des trois-huit de léproserie au profit dégagé sur la nuque, jaillira le structuralisme infernal de la dislocation éternelle de ta vue dans le verre soudainement brisé du rythme alternatif des grésillements du machin, l’écrou au centre de la vénération était a toi tôt destiné depuis le matin café crème ou tes jours coulaient dans le courant, les trains, la pointeuse, le stress des grossesses nerveuses, l'imitation simiesque de la pression de millions d’être exercé en même temps sur la vide adoration du néant.
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