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04/09/2014

note

C'est pour me toucher que mes caresses sortent du poudrier par la manche d'alpaga du vizir, qui recule dans le cri mendiant l'eau de tes yeux au moment d'en effleurer le pourquoi du ciment; je suis la réponse que tu vois interrogeant ton trésors pour qu'il paraisse ; a quoi bon mettre des gants quand on se sert du ketchup ? La sauce et les frittes elles ne se touchent pas ; on les plonge dans l'huile bouillante pour peindre de travers comme il se doit et comme il se fait que bras, avant bras, phalanges et doigts sont des segments réfléchis du toucher, calculé ou pas ; s'il ne l'est pas il souffle sous la veste couvant son crépitement ; et s’encrasse comme la mort n'en fini pas de compiler, de revisser a l'infini l'ecrasement des données compressées sur elle-même, entrecoupé d'alerte par d'intemporels segments de liberté, formant au mieux chez les presque humain, un pointillisme de l'intention dont les syllabes disparaissent dans le sacré quand elle se rend a lui, complète et éclatante; mais s'il calcule, il ne touche pas le soleil et se passe les menotte pleine de chewing-gum empatté ; il n'y a que mes rêves sous l'oreiller quand je dors ; ils chuchotent en silence des formules soporifiques ou des gloires érotique quand toucher n'est pas prêt ; dormir c'est mettre l'oreille contre la nuit, c'est plaquer la fibre sensible contre le mur du plus profond silence ; c'est écouter le vide organisateur de la pensée qui redouble en parole l'indicible feu auquel le corps fait écran ; c'est eux qui me creusent l'oreille de mélopées délicieuses autant que venimeuses, collé aux fleur de coton ; sous l’oreillers l’éclat aveugle est oublié ; une cuillère remue les sachets de lettres d'un gros bouquins infusant ses vues tenues en faisceau par le tuteur des graines; le tic tac du temps, les cents pas de la réflexion finie dans la geôle possible de la pensée, tricote des somnifères qu'on refourguera a la rentrée littéraire ou pas, pour que coïncidence il y ait, pour que la schizophrénique réalité abolisse le toucher fluide et renversant du pas bouillant dans théière; pour que l’école soit a l'heure, les bus sur quatre socles de bitumes aussi noir que les siècles d'extraversion a pieds monté sur des échafaudages de routes tirés a quatre épingles comme si l'extase zettaoctet c’était maintenant ; mais les oripeaux du sublime ne sont pas le centre de la lumière ou mon cœur veut se reconstituer souffle en plein milieu de la voix ; la lingerie coquine des secousses n'excite plus la parole qui vibre dans la dépouille anticipée du sens incarné qui forme la vie de l'esprit; la pastille de vitamine effervescente en plein ciel, me laisse des bulles bleutées sous les lunettes de soleil ; et quand le silence s’éloigne sonne la glandes phallique de la grande fatigue de la vie conjuguant l'unique verbe profiter ; pouahh...vite, donnez moi de l'essence pour mon briquet pour les lueurs vierges du sacré, il n'y a que le vide qui puisse m’éclairer, me rapprocher de mon cœur, si loin de lui-même qu'il s’écoute rêver comme un chien a l'affut courant après une bête pensée aussi invisible que lointaine; le corps écran est un amas de laine qu'il faudra tisser pour qu'il attende son remplissement qui est évidement, avancée dans l’idéale réalité a laquelle plus aucune bête ne croit ; écoute les rêver … elles disent par delà le bien et le mal est l'unité...et ils disent presque vrai s'ils se morfondent dans le pétrin du repentir qui mélange le sel et la farine dont au contraire il tirent d'illusoires profits qui n'engraisse que leur vicieuse maladie de vouloir paraître bon, leur peur d’éclater et de se perdre dans l'humiliation ou la conscience meurt pour renaître de la connaissance même de sa fin ; étancherais-je ma soif si je ne versais dans mes verres la flaque des famines hermétique comme ces fioles recueillant les poisons d’où jailliront les sources du lavement? écoute leurs attentes.... elles ne sont pas la venue du don excellent et parfait, mais l’étirement infini de leur chaos martelant leur propre poitrine vandale comme s'ils s'agissait des seuils de la lumière ; le promeneur au contraire, passe dans la vallée qui résonne de ses pas, et se rejoint dans la coïncidence du rythme mat ciselant la venue du battement de l’éternité ; écoute sous le tintamarre des branleurs de désespoir, l'ombre remonter les flancs des cavalcades du souffle; j'ouvre une porte de page blanche derrière laquelle je dessinerais le point aveugle de la rencontre des bouts de ficelles noires du redoublement de l'image en elle même ; peur des fantômes peur des revenants ? Certainement puisque l’icône s'enfuit sous les ponts, disparaît dans les gouffres des rendez-vous manqué de l'attente, ou le lapin entraîne Alice aux chamades du vide derrières les apparences de pins brodant l’avenue de part et d'autre, le levain circule entre les formes du tableau, remontent le long du poids morts de la morts, dans les yeux rougis des enfants blêmes aux visages translucides comme la façade de leurs écrans tactiles ou ils tâtent les doigts raidis le filet nerveux de l'étendue des pulsions en décompositions, l'échantillonnage de la recherche sous leur imitation de maint rayonnement; dans la poche, une photo de ses proches, et une carte du monde qui ne sert a rien ; une note a la page neuf du calepin: ne pas oublier de se perdre ; une bouteille d'eau jaillit des sources tremblantes des frontières et un crayon a papier macérant a l’intérieure du doute pour que la mine se dénude comme un noir rayon d'obscurité. Et sur la table de nuit, plusieurs téléphones et ton numéro cinq comme de l'or extrait des mines d'un autre monde ; maintenant je peux toucher le sacré.

 

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