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05/09/2014

Dies iræ

Il y a vraiment quelque chose d’éprouvant dans la caisse claire de son timbre. Le globe roule sous les sommets de la panoptique vision, mais moi je suis pas le globe et je n'ai aucune envie de me faire gober comme un moucheron par autre chose que par dieu qui exprimera pour moi son jugement sur ma vie. Le résultat est connu mais incertain, d'autant plus si l'avenir , rapport corps longeur de temps, est l'indeterminé absolu, l'enjeu, plus difficile a discerner est ce qu'il y a de plus important, il est perdu a jamais si on s'attachent aux traces laissées plutot qu'a l'expression possible, a travers nous de dieu jugeant notre realité individuelle; ça laisse songeur l'amour, a moins qu'il ne soit estropié, voir complément escamotée ; en redonner la conscience vive en rebatissant la grandeur de ce jugement, c'est butter sur l'obstacle de son importance fondamentale et ssentielle dans le cœur des gens incapable de le formuler ; s'ils ne peuvent en prendre conscience, il traineront un faute essentielle envers l'eter eternllement ; alors on sort les bombes et on massacre tout pour etre sur de bien, mais bien souffrir ; consiemment, consciensieusement, systematiquement, avec une rigueur de chronometre reduisant la surface de ma vie au point noir aveuglant ; alors que de sa grandeur contradictoire devrait naitre tant de poésie dans le spectacle des conflits opposant deux conceptions de l’existence contraire, deux irréductible source de la langue enracinant l'idée dans sentiment présent, a la fois proche et distant, pleinement contradictoire quand elle se détend et se forme une impression d’être; le plus dur n'est pas de vérifier si l’épicier donne bien son kit de pommes qu'il nous faut manger, chacun séparément, mais de vérifier ce dont la réalité escompté vit a chaque instant qu'elle est inséré dans le temps, disparaît soudainement, ou se dissous lentement, jusqu'à la cruauté de la sève entrevue réellement dans la peur; si tu parle vrai de l’être en toute simplicité, tu dis : c'est celui auquel j'ai tout sacrifié. Ainsi tu te comprend éternellement dans tous les sens de l’être. Tant que tu ne comprends pas aussi simplement qu'il t'es naturel de voir le soleil, que le péché exprime la culpabilité de cette faute envers l'amour qui le rend irréel, méfiant, éprouvant négativement sa propre existence comme une peur de se perdre qui est a la fois le creusement du gouffre auquel il faut activement travailler tout en travaillant a son dépassement, rétablissement en dieu incorporé ; mais tout ce que l'on fait n'est pas de nature divine ; beaucoup de nos actes et de nos pensées s’exécute dans l'oubli de dieu qui n'est sur terre qu'un divertissement ; offrir a l'esprit de l'amour, la possibilité de formuler sa propre disparition, implique que le devenir est ouvert par la possibilité de conclure le pacte de avec la vie, l'Alliance, que tu signes de ton existence ; aie foi, espère qu'il ne sera pas fait mention de tes tentations pour l’éternité et que la paix inondera ta maison ; car si tu lis en toi-même que tu n'as pas voulu tout souffrir patiemment pour laisser luire toute la réalité éternelle de l'amour la faute t'incombe entièrement ; et la concevant sur terre ou il te semble que tu ne peux la changer, qu'elle te lis et t'enchaine, pense au contraire,

 

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