07/09/2014
Crocus
Le bourreau lévite dans l'ivresse des gémissements de son enveloppe pendue au écorce de chairs des forets dont il fait des bouses qui sèche de larme alimenteront sa haine, pas de bazars dans son vertige, la tornade n'avalera pas toutes les minute du ciel de son procès, ou maintes déceptions s'effacent du regards contemplant le rien ; le ciel est ouvert qui commence dans les recoins étranges des meubles couvert de poussière, comme son crane qui était un temps couvert par les cheveux; ses amis sont sans lien dans l'imaginaire manifestation de l’Être impersonnel, la lecture du sans-lien est assez difficile si elle ne s'abreuve a la certitude d’épuiser l'impensé dans la présence du monde; si ce n’était sans compter la voie du bourreau ondoyant dans l'ombre, ce coin de ciel vert tapisserie et coin de nappe dans l'angle du buffet, ces cote de la vision incertaine de bien voir dans la lumière ; frissons quand tu me manque, quand j'ai peur, frisson bouillonnant ses roches plombant les fond marins sortie du détendeur de la bouteille, de la buée d’océan qui attise les mégots de lave des cigarette, tentant le grands écart de clope entre les sables mouvant noyant les frontières dans d'autre contrées découverte n'appartenant a aucun livre de recensement, sinon au trait qu'on suit comme la trace de la roue du grand char quand il s’époumonait sur le pont en s'en grillant une entre les filets ; la mer se déchaîne autour de lui, il prend le paysage en pleine tête, les yeux collés dans les fissure liquide des frontières et comprend en pleine tempête, que ce n'est pas lui, mais la mer déchaînée qui pense au foin qu'elle fait ; s'il ne se tient pas, il prendra le bateau en plein râtelier puis la face de la mer et le front de terre sacral et pré-religieux; la terre du regret, on joue ce soir, pour les morts, l’éthique de la catharsis ou la durée de l'extase de la révélation suspend le temps a la voie qui illumine le monde, lui donne son point d’arrêt, tendus entre chien et loup qui aboient dans une cours, pour qu'un talent d'or plaqué au fond d'une cave millénaire, bouge sa monnaie de flamme, s'agite au bout de l’échelle perçant par temps clair quelque brume de roche prisonnières des pistons de la corne de brume, ou voguent les chalands jetant leur grand filets sur la mer des rencontres opportunes ; tant de pèches miraculeuses nous attendent que leurs motifs se confond avec l'a venir a découvert de l’indétermination.
Le présent ça s'infecte et ça repousse mal, ça se greffe rarement sur autre chose que sur un commencement absolu ou l'on sait déjà a priori que l'arbre des fruits de la dissociation de l'espace et du temps ouvre par delà l'effondrement des déceptions a leur possible arrivée par le trains de dix-huit heure trente trois, avec leur marche pieds rivé au aisselles de la répétition heureuse ou le « même » présent en quelque sorte, attend et reçoit autre chose de son avenir un substrat d’ipséité qui tient lieu de lumière dans la clairière éclairée; pourquoi ne peindre que l'absence des les lauriers, parce qu'elle fane toute image calorique du feu ; la vie est combustion, progression de la flamme sur le charbon des pensées, aussi sombres soient elles, qu'on pourraient s'y allonger et dormir quand même sereinement, comme une flamme courant sur un charbon, confier au chirurgien des hypnoses les tourne mains et le savoir faire des lumières qui redonnent de l’âme a la philosophie vers laquelle notre esprit tend ; l'absolu cours du temps ; l’éveil au grandeurs relatives de développement d’être, et de situations, que retransmet a tous de bras la télévision comme des événement certains, dont on est certain qu'ils ont été, alors qu'ils sont peut être déjà oublié, regretter comme des faute par rapport auquel on a pris un nouveau commencement.
00:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
On dirait du André Breton, vraiment.
Écrit par : Cleomenes | 07/09/2014
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