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20/09/2014

Pardon.

On ne peut pas reprocher aux autres ce qu'on valorise par ailleurs soi-même, et on ne doit pas se satisfaire de la révélation de la puissance adamique de l'un encore tenu dans les rets du fantasme qui se croirait réellement subversif quand il n’atteins effectivement que les horizons fumeux de l’imagination sans avoir creuser encore un peu dans son propre dénie jusqu'à toucher du doigts la terre sacré de la réalité absurde des êtres; mais fais comme tu voudrais qu'on te fasses ; on ne peut pas sérieusement reprocher a un auteur qui met en relief l’état d’émiettement extrême de toutes cellules de sens dans la sensibilité post-moderne affolée par sa propre hystérie déboussolée, son incohérence et son manque de talent dans un texte ou l'on encense indirectement la beauté du donjuanisme pourtant infiniment plus écœurante et signe d'un enlisement bien plus profond du cœur éloigné du divin, surtout si on veut en outre, faire valoir que quelque soit le niveau d’émiettement du sens dans la sensibilité et le degrés de délabrement de la sensibilité au prise avec le chaos de son incompréhension face a une transcendance seule capable de faire réellement sens et lien de son être, on prétend donner a relire avec le cœur la réalité de l'amour comme intention transcendante, et par ailleurs le faire valoir comme la tache post-moderne universelle aussi bien propre a chaque individu et a l'histoire personnelle de son extase, que du collectif.

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