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21/09/2014

Pardon.

Nous ne croyons plus a l'amour, ou si peu que nous protégeons de sa tache en disant qu'il s'agit la d'un simple pléonasme; nous ne concevons que très faiblement l'harmonie et l'entente surnaturelle qui découle de sa réalité transcendante quand il devient lui-même, passe l’épreuve du développement de nos facultés concomitant a son essor, et pose les êtres au-delà de tout malentendus dans une fraternité qu'aucun berger basque ou corse ne peut négliger puisqu'elle habite depuis toujours l’idéal de leur cœur. Mais la masse et le nivellement nous tentent sans arrêt par l'illusion du bonheur, de la demi mesure du reflet de soi dans la bibliothèque billy de chez ikea, accordé avec mon humeur piégé et parcellaire impression de moi-même, vendu comme consommateur de la traversée qui doit être effectué entièrement d'un bond, et nous laisse pas encore tout a fait poreux, ni transparent, mais obstrué, encombrée dans la mauvaise humeur de la traversée des apparence avortée, buttant au seuil de la mort a soi-même ou pourtant c'est la joie absolue qui appel a être. Mais il y a parmi les hommes une espèce de rats qui y ressemble comme deux gouttes d'eau et qui a renversé la puissance subversive du cœur en son contraire quantitatif ou la qualité explose, se réduit en miette et ce sont les don juan, les coureurs de jupons qui , incapable de penser et d'affronter la difficulté inhérente a tout amour, sa mort, pour que luise le caractère ontologique du transcendant, renonce, renverse le langage et subsume sous le beau terme d'amour un enfilage de perle quantitatifs qu'il s’ingénie ensuite a justifier esthétiquement ; ce qui donne a terme naissance a une pseudo parole ontologique du style : parvenu a son cinquième mariage Ducon comprenait de mieux en mieux l’idéal d'unité que requerrait l'amour....etc...j’abrège parce que ce genre d'histoire n'en est pas une c'est l’être post-industriel et pas post-moderne évoluant dans le pure quantitatif, dépersonnalisé et désubstantialisé, indifférent ontologiquement.

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