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26/09/2014

15H40

L’étang perdu interroge les charmes équivoques d'un paysage inoublié et revenu de son silence, glissant comme un fantôme tourmenté suivant la ligne pale et brisée des fourrés ou se nichent les ciseaux migrateurs de l'horizon effarouché a l'approche des corps a corps extrait de la courbe des frontières, inclus au visage des situations psychique des face a face de l’éternité ; la phase du corps récurrent s’allégeant du poids de l'univers par l’équilibre impondérable de la parole de gravité, cohérence et vérité, corps du péché précédant l’âme de l'absurde violon tsigane, pendue a l’arbre des notes d'un cœur encore informe, et de sa chaire a venir comme viennent les définitions dont seront faites les lignes des premiers gestes des intentions vraies.

 

Nous la trouverons mon cher humecté cette âme du violon, cette chair inengendrée née d'un rire brisant toute fausse contemporanéité, restituant l'air semblable a la doublure du temps, et le sourire de l’immatérielle corporéité. C'est dans un chant et par un délire qu'elle t’impressionnera de son sang immaculée, car c'est l'histoire dont tu te dénude qui te revêt, pour paraitre en vérité.

 

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