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27/09/2014

§bjectiv sensation.;.

Aux racines latines, ajouter l'Orient, le Levant et sa profondeur de vue apaisante comme une oasis déserte; manque t-il une soif au tableau d'échanson ? ... combien de fois n'as t-on pas lu ou entendu dire que certains livres avaient le pouvoir de changer nos vies; autant qu'on c'est vu dans les miroirs, changer d'allure et de physionomie, froissée comme cette époque si prolifique en événements scandaleux et qui ne croit plus au langage, ni a son produit fabuleux !!! le livre reste oublié des œuvres sainte a produire en élaborant le circuit commercial approprié ... ah mais pardon j'ai déjà entendu cette histoire?  a l'envers peut-être ? ...c’était l'après midi des actes mualisés... l’humé nie chimérique, l'inhumainIe forteresse et barriere d'humanité protectrice pouvant tuer, c'est comme la Tchécoslovaquie un pays si pieux qu'on s'y perdrait, sans la legere ration, la dernière, celle qu'on donne aux oiseaux, quand y' plus rien a donner, quand c'est juste le ciel a partager, la versification de l’exigence personnelle du réel identique a toute conscience, forme si tu veux, le beau en toi, a toi t'ouvre comme une terre patrie, ou avance la traine, de ce qui clos ton amour pour l’éternité et te le rend cher par dessus tout, sublime ton sentiment de possession en sentiment d'appartenance a une même réalité ou peut être c'est la firme coca cola qui me boit quand j'ouvre une canette, et que je crois sucer les combles, baiser l'ébullition des sphères dans le champagne de la véritable atmosphère ; le linceul de ta résolution du drame interne en accord majeur, que tu peux aussi bien vouloir détruire sans fin ... désastreusement a chaque instant, contrits tu lui rend, ce dont il te fait grâce, son miroir et ton rêve errant, deux dents aidant chaque molaire a franchir le seuil de la vacuité, ralentie par la proximité de ce qu’objectivement tu crois sentir par la pensée, dévoilé par elle comme une éternité, chacun étant séparé de lui-même, autant que pourrait durer une errante recherche de l’Alto... qui en soi bénéficie du re-voir de l’accueil de la vérité malgré les ruines obscures des regards jeté a la félicité soufflant le jour d'avant, de leur destiné remontant la réalité juste avant qu'elle ne meure dans l'intention qui est toi, et qui explose a chaque instant ou toute la création est redonné, libre a toi d'y aimer suffisamment ce qui te permet de la traverser comme une foret, toi et ta décision unique, ton regard d'avant celui qui laisse luire le présent dans l’indéterminé avenir, et qui peut tout changer... du sentiment juste ou en tout cas approprié ... ou a ce que tu entends par réalité et qui change dix fois par jour de sens ... puis se fige s'effondre dans son arrêt, d’où surgit le dépassement de tout ... la foi ... racine ... algèbre primitif du sentiment ... donné de base de la vie ... qui a des dimension spirituelles insoupçonnées ... que devient elle, cette synthèse, cette symphonie de passion qu'il faut mettre en bonne ordre, pour qu'advienne la gravure, le reliefs, la concentration du regard dans le détachement, la prise en compte du sérieux sur les sombres haruspices du rire crapuleux,  que devient elle cette extase quand il s’agit pour elle de s'entendre exponentiellement dans un sens univoque comme pour l’éternité développant la valeur réelle d'une décision éternelle, et la conscience  qui aussitôt se rebelle et se méfie de ce qui l'attire, et la rend hésitante ontologiquement, indifférente comme si elle venait d’être désignée, par le vide insaisissable a être face a lui a jamais, et a se dé-livrer d'elle-même, a livrer leur être au pourtant de la confession qui reste la seule preuve de l'existence de dieu, cet acte exemplaire entre tous, qui en littérature, devient une disciple des mots au magistère du lux Mysterium Magnus , ce gouffre ou la chair s'effondre pour y recueillir l'esprit dans son plus simple appareil, d’évidence et de vacuité, attractive, foudroyante, dilettante distraite vœux venu d'ailleurs, d'un sans borne sommet le mot sans borne, de comparaitre a la crête sous laquelle j’écris, comme le vide écrêté du tout qui se rejoint réellement en Grèce les premiers temps sculpteur élimaient la pierre jusqu’à la complicité des formes, ils remontaient la boue a la lumière d'une l’étincelle de présence dans la plus complice des exactitudes entre frères, déliés de l'orbe des errances, errants comme les ensemble amovible de planètes mitoyenne a leur sphères annexant jamais dans l'idée par la phase de tes perte de sang; le capitalisme est une pale copie de la bete qui nous ronge...vraiment un pale copie...y' a plus sale ...plus abrupt et desolant.

Jamais éclaire ce qui apparait trans-parent, proche et éloigné comme l'atmosphére d'une présence de l’univers qu'il tient a dieu de conserver dans la parole d'un etre semblable a la lumière buvant toute l'obscurité qui est incapable de se garder de l'humeur des somnifères et du produit de leur descendance, accouplé au division interne montant le temps de l'avenir effacé; suivre des yeux, le passage et contemplée la trace de la crise spirituelle ... n'y laisser que l'emprunte du pardon ... comme la dernière trace semelle des mises a jour du temps seul capable de renverser l’indifférence en sensibilité spirituelle.

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