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16/10/2014

Note

Ne voyez vous pas que l'univers est l’épiderme de l'esprit parcouru d'onde et de frisson reliant la chair vide des amants ? Nous ne le voyons plus peut-être parce que lorsqu'un monde s'effondre la granulosité de la lumière devient plus instable et semble croiser les confins qui déstabilisent l'entendement, entre l'ipsum et l'atomisation, les positions incertaines de tout commencement réduit le monde qui n'est déjà presque plus qu'a un affolant système d'accidents violents ou en vain le désir cherche les traces possible d'une répétition en lui-même et le mouvement d'un réel progrès sémantique dans l’édification fait défaut. Ère de la beauté mécanisée reproduisant les cellules sémantique de l'avortement herméneute, chemin qui ne mène nulle part, krematoriom en lieu et place du foyer des regards sans vision, totem prophétique du démembrement, tête et jambes coupés, voix sectionnés par la domination du bout de gras dans la gueule des puissance de l'argent roi qui ont en haine la salut de la pensée et tout progrès sémantique formant histoire et chair ontologique ; règne de la virtualité … nous avons hérité d'une violence extrême, d'une haine de ce qu'il y a de plus fragile dans l'humain qui œuvrait dans le monde des bâtisseurs de l’arrogance, d'une violence a la fois séculaire et pressente a chaque instant, créant des vertiges de profondeur sans fin pour le regard perdue dans la contemplation du bouillons de l'inhumain cherchant dans les cendres des chaudière du vide la silhouette des aimés. Elles ne sont jamais apparues autrement que sous la forme idiote du sourire blanc du revendeur de télé. Au-delà de l'histoire, quand un monde prend fin, la continuité historique du redoublement du désir en lui-même nous saute au visage parce qu'il est devenue illisible dans l'alphabet du monde en ruine segmentant toute herméneutique possible ; les confins se confondent, birkenau préfigure l'avenir de nos ressouvenir passant sur la scène de l'histoire impossible comme un défilé de mode absurde et abjecte. Nous sommes né dans un exil bien plus profond et contraignant qu'il peut sembler au observateurs inattentifs ; la sécularisation marchande du monde ni est pas pour rien, l’extrême violence des puissance de l'argent et du nivellement sur lequel elle repose, le lien opérateur entre l’inconscient et la psychanalyse axiale autour de laquelle roule l'ombre des foule comme l'envers des saint rouleaux n'est pas le fait de ceux qui viennent mais l'essentiel héritage d'un échec des générations précédentes a avoir transmuer le désir de l'autre autrement que sous la forme si convaincante du succès palpable de l’aliénation volontaire aux puissance de l'argent ; chose essentiellement risible et absolument indifférente ; nous ne connaissons plus de progrès autre que celui de l'augmentation quantitative du poids de l'angoisse ; et dans l'univers pulvérisé de l'un devenu improjetable les cadre sup de chez google devront mettre en stand by leur désir d'enfanter, pour se concentré sur les taches absolument ridicules puériles et insignifiante au derniers degrés du développement d'instagramm ; tache vaine qui loin de renvoyer en échos le scellement du très cher coagulé dans l'organe cardiaque, ne nous renvoie que notre cri de perdition sans plus personne pour entendre et écouter, mais au contraire, répercutant notre désespoir comme les flûtes du taureau de phalaris, en mélodie qu'ils nous faudra faire semblant d’apprécier pour ne pas être mis a mort socialement instantanément ; là est le prix de votre confort (est-ce ce plaindre que de le dire?); les cercles progressifs de l'inscription dans la vision ont tous été écrasé sous le règne absolu de sainte Croissance des privilégiés ; appartient a la violence tout ce qui est illégitime, tout ce qui ne se justifie pas par le foi; la violence est l'accident généralisé, c'est la matrice essentielle du monde incohérent et sans justification. Nous sommes, je veux dire, ceux de ma génération qui sont né autour de mai soixante-huit les produit non d'une filiation humaine mais d'une machinerie de scène de théâtre ou manque la présence des êtres réels autant qu'un monde comme totalité lisible et visible dans leurs yeux ; nous avons vu le monde leur échapper a mesure qu'il croyaient le dominer, nous les avons vu nous exposer a sa putasserie comme ces mal formé que les grecs livré au vautours et aux corbeaux; nous n'avons jamais été autre chose que des témoins de l'injustice et de leur mauvaise foi, ( mais bien sur le simple fait de le dire nous rend suspect du même vice, voire d'un ressentiment plus profond dont pourtant nous nous défendons) ; œil désincarné apprenant de la manière la plus douloureuse qui soit a n’être rien que les témoins orphelins de l'inutile vanité léguée en forme d'impasse existentielle se surajoutant a l'exil de l'ex-ister s’enfonçant dans le tour du bouillon granuleux de toutes les dimensions du refus de l’arrogance mère de toutes les confusions. L'amour est certainement la chose dont nous avons le plus manqué car dans ce monde illisible tout n’était que compétition, acharnement a la domination, ruse et stratégie de puissance et de pouvoir malin, dénuée de compassion, aucune pitié aucune piété n'ayant plus la force de relever l'univers sombrant dans l'angoisse sans fond de l'insignifiance lustrant le spectacle permanent ou ne règne que les élus de l’indifférence, bête de choix, assassins ontologique de cette humilité sans laquelle l'enfouissement des êtres chers dans le secret de l'esprit ne germe d'aucune lueur intériorisée ; la transmutation de l'aimé dans la lecture du monde qui le rend secrètement partout présent a été substitué par le regne des sans cœur alléché par l'argent ; c'est ce monde là, et cette forme la d'humanité que nous refusons, incapable de comprendre le monde comme la matière ambiguë de la traduction du secret dans sa reformulation consciente ou le secret ne de décante nullement, mais s’intériorise comme tel dans un monde ou tout devient signifiant ; on peut rabaisser la critique a la plainte, et signifier le subjectivisme du critiquant … a qui profiterait ce crime ? …. nous demandons simplement a ceux qui nous précédent : étés-vous bien sur que ce que vous avez bâti soit bien un monde ? Ne s'agit il pas plutôt de votre confort et satiété permanente dont vous avez les plus grand mal a vous défaire ? Et si la question est irrecevable alors je vous en prie je vous en conjure comme un agonisant assoiffé du fluide de la progression sémantique qui a mes yeux définirait ce qu'est un monde comme renvoie du secret détruisant toute utilité et construction de sa manifestation devenu consciente (le secret révélant n’étant pas autre chose que la conscience du mystère et non le fin mot de l’énigme) ne me laissé par mourir dans d'affreuse torture spirituelle, mais visez juste et achevez moi d'un coup sec et qu'on en parle plus.

 

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