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28/10/2014

Devenir vibrant.

L'alpha et l’oméga de toute religion d'amour pourrait se résumer dans l'apprentissage de la bonne forme de l'amour de soi ou la géométrie variable de narcisse peut fleurir de la plus haute pensée dialectique qui éponge sa propre buée sur le miroir du divin reflet ; entende ici qui a des oreilles pour entendre car il est aussi difficile de rendre phénoménologiquement la dialectique scintillante de l'unifié que de peindre un lutin avec le chapeau qui le rend invisible. Les sentiments se rongent les ongles, quand ils ne rogne pas sur l'essentiel ; ils sont le pont dont on ôte une a une les planches au fur et a mesure de l'avancement de la sustentation de la grâce ; mais l’intériorité dialectique d'un athénien subit un fort affaissement pathétique au Golgotha ou le gratin du gotha s'arracha les cheveux devant le mystère du moi. Peut être l'envie de te tailler les veines te hante chaque soir … retiens toi … d'abord parce qu'aun homme n'a connu d'autre chemin que celui du desespoir … mais comprends moi bien ensuite, quand tu croit que tout se ferme que l'un s'effondre dans un écaillement de ton ciel ou plus aucune étincelle de sens ne semble pouvoir vibrer et vivre, c'est aussi qu'une cellule plus haute dans la demeure du ciel s'ouvre a toi … alors réfléchis bien avant de te supprimer ; la société peut t'accompagner quelque temps sur cette voie, mais a la fin elle te trahira … toujours puisque tu ne peux que traverser seule l'ombre de ta mort … mais si tu as apprit a parler la langue résurrectionnelle du désir, l'opercule glissera sur toi en un clin d’œil apocalyptique … souviens-toi aussi que la félicité dont on parle les plus grands génies ne l'ont connue et ressentie dans leur chair qu'a de très rare moment de grâce durant souvent une longue existence passer a languir de cette pâte d'infini compréhension de soi … si tu n'es pas pécheur tu ne pourras jamais renverser ton amour propre en amour vrai, traverser jusqu'à l'explication dont tu n'auras nul besoin, et ta chair pourrira dans l’accroissement exponentielle de la relativisation de la relativisation … d’Athènes a Jérusalem la liberté conquiert toute l’épaisseur historique de son redoublement … du dieu inconnu a l'identité du Père, il y a la même différence qu'entre la liberté ironique négative et indéterminé de l'esprit dénué de redoublement historique a celle, mettant a son tour le sentiment en abîme de l'esprit relisant son dévoilement historique, de l’indétermination ou la conscience puise le redoublement de son choix a la précision ultime de la plénitude du temps la ou l'infiniment subjectif, relie dans l'histoire de ses souffrance le risque absolu de l'esprit d'amour faisant sens aussi bien dans l’éternité que dans le temps, la même différence encore qu'entre l’absolu et le relatif quand l'attachement relatif aux réalités relatives constitue la forme du sens et la valeur absolue de l'être-vrai, alors que pour la foi, la déclinaison épistémique de l'arbre de la connaissance érodant d'incertitude le sentiment de l’appartenance a l'aimé, reformule le mystère du moi offert en énigme a l'omniscient qui en détient le secret dont le désespoir reconnu ne laisse contrairement a ce que tu crois tant que tu n'a pas reconnu ton péché, aucune trace parmi l’émiettement de l'arrachement de l'amour propre faisant du même coup, le tour complet de la tragédie sphérique de l'incommensurable ou subjectif et objectif se recouvrent l'un l'autre en une grande parabole de réconciliation et de paix qu'il n'a pas crée … et la est le plus important … le désir entendu freudiennement veut sa propre ruine pour des raisons de jauge pulsionnelle dans les niveaux énergétiques du corps …. mais le christianisme n'a rien a voir avec la pulsion puisqu'il veut te communiquer la forme de l'extase de ceux qui se rapportent a ce qu'ils n'ont pas eux même créer (et psychanalyser la croyance est un pur verbiage fait de contre-sens car c'est bien le réel divin qui est la contradiction qui nous soulage de la notre essentielle au sentiment mal réglé et par la peur amputé de lui-même comme dans la lettre a mon juge ou le démoniaque n'ose descendre dans la folle formulation du mystère qui le sauverait des tribulations et enfers de son amour propre)…. c'est l'essence même du sublime … toucher a l’être en se rétractant … s'attacher en donnant de l’indépendance … tous les existentialisme hormis celui du grand danois ont bousillé le paradoxe … aucun n'a perçu et encore moins conçue et pensé l’extrême conformité du nouveau pathos fondé sur le rapport au sacré qui possède sans posséder, c'est a dire en esprit (puisque c'est bien de cela qu'il s'agit sous couvert de félicité incarnée dans un sentiment dialectique en soi, et non plus d'une simple pensée socratique libérant l’âme et non le moi), rend libre dans l'attachement qui libéré comme il rend grâce en fin de compte au père de pouvoir lui rendre grâce … ainsi on passe de l’indétermination respectueuse de notre ignorance du premier principe exprimer dans le rapport relatif au réalités relatives de ce monde, au risque absolu de la précision ontologique de narcisse mort, de l'amour incarnant son esprit dans la différence absolu du lieu de l’espérance et de la fidélité de la foi en l'aimé ou se redouble le sens éternel historiquement.

 

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