05/11/2014
Anti-ride.
Depuis la sphère éthérée de l’élocution sibylline, perché sur un rayon de la consciente clarté, il observa la trope pyrrhonienne de la société anonyme de communication émettre ses gargouillis de vaseline remontant d'un cul de basse fosse avec des grincements, et des tintements métalliques digne du théâtre no, qui comme chacun sait est une musique du ressort cassé de l'intelligence qui a pour but de greffé a nouveau, le sujet amputée de la moelle épinière de ses vocalises et autres vociférations; du haut de son perchoir, il apercevait la ville béante et débraillée qui défiait toute réflexion et mise en ordre ; la pensée y rode comme autour des os comme la chair du kamikaze rode autour de l'explosion qu'un journaliste recoit en une pluie de pixels exsangue; la faille évanescence, ou se cache a nos interrogations la naissance évasive de l'interrogation pointant son mal de tête et ses maux de ventre, a sa souche par l'approximation du mystère qui la relie a elle-même, n’entoure pas moins Sa présence que celle de notre chair éclaté; le contrôle d'identité nécessite d’arrêter le véhicule du devenir en démontant les deux face idéale du souffle et matérielle de sa réalité qui reprendra sa course autrement après la révision mécanique de ses tungstène dans les potards de l’éternité; c'est un peu comme si l'ampoule cherchait la lumière, crée le regard a partir de l’étonnement avide de tout, surtout de la transparence de l’évident noyau de son verre soufflant le phénomène du bout de fer en tir bouchon, l'incroyable fascination de son embrassement, l'incroyable cause de la source de la lumière, cette roche noire et morte si différente de son scintillement, sous l’épiderme d'ossuaire résumant toute la misère des hommes de ce monde ; toute souffrance compatissante recycle la forme paradoxale du mystère, et porte la conscience aux limites du savoir de sa qualité éternelle d'etre; étrangement la chair n'est pas faite que d'eau et de carbone, mais de tout ce qui d'elle assaille la réflexion qui tremble en elle, comme une mèche qu'on vient juste d'allumé et qui évide la pièce ou la bière est conservée ; toutes leur souffrance réunies et exilées sur un continent étranger a la parole qui circule dans d'autres seuil de tolérance et d'insensibilité, d'autre soleil, plus pale quoique plus fascinant et imposant a l’immédiateté dénuée de réflexion ; mais la barbarie est un items de trop de l’idiosyncrasie de la pulpe sacré ; et elle peut se secouer dans la bouteille, le paysage du monde reste tout imprégné de la mort ; a son seuil l'effigie d'un bouc chevauchant une baleine, posé en buste d’émail juste devant deux buis en forme de gouttes jumelles ; la porte est précédé d'un temps infini d'angoisse, un champs miné de dynamite, qui font la peur venant de l’appréhension du non-être en lieu et place de soi-même, la peur instinctive de se tromper, la peur de la non-verité objective de l’éternité ; peur de passer a coté de soi-même, de passer la main a travers la poignée de la porte restée fermée, peur de voir qu'ouverte elle me reconduit immédiatement a ce que j'ai voulu quitter en la voulant différente ; peur de ne pas comprendre, saisir, et être saisie par cette nouvelle qualité qui renverse la peur de soi-même en croyance, possédant la qualité d’effeuiller l’évidement de l'angoisse écrasée qui permet de la reconnaître ; la croix est le mole autour duquel s'articule la mise en plis des deux face de la réalité du devenir ; peur de passer a coté, peur de ne pas l’accueillir ; peur qui se rompt d’elle-même dans l'effroi qui la développe et porte sa mécanique jusqu'à l'explosion de la révélation, de la qualité nouvelle que d'anciens récits, plus vieux que le bois de l'arbre dont sont faites les portes du paradis, disent éternel quoi qu’ayant la capacité des sèves de croître par la fin réelle, sa disparition sustentant Un être éternel pour lequel l'effacement de soi est encore une pensée, un souvenir qu'il se raconte comme une histoire qui fit feu de tout bois; le soleil se lève enfin, les goupilles disparaissent des bras, les ligament se font plus leger quand la pensée devient la chair d'un savoir du monde ou l'homme que je suis n'a aucun savoir de la réalité ; c'est le savoir de l'impossible, la catégorie de l’éternité objective que tu a sous les yeux en forme de synthèse solitaire du lien liant l'absence de réponse qui t'habite a Celui qui te comprend absolument ; combien de smartphone faut il produire pour rétablir l’intérêt et la passion de l'infini en toi qui s'exprime dans la finitude de ton œuvre achevé ? Combien de tube de vaseline te faudra t-il pour que tu cesse de mettre le moindre espoir dans ce monde et que tu te décontracte gravement, te détende comme les alpiniste a mesure que ton corps s’étire et que naisse (et non ne renaisse) en toi la forme primitive de l’éternité dans le temps ? La mesure infini de l'univers est la dimension réelle de la parole objective de la subjectivité se retrouvant grandit d'avoir sue mourir au monde qu'elle croyait avoir conquis ; l’orgueil de toute entreprise humaine est condamnable et souhaitable comme un cheminement dialectique de la pensée accompagnant l’essor de la sensibilité pathétique jusqu'à l'autel de la mort narcissique des ancienne impression de soi ou se doivent épouser l’âme et la terre tout autrement que dans un soucis de confort et d'argent devenus réalité; ce qui pourrait aussi bien faire rire que grincer des dents ; car lutter intérieurement contre le soucis c'est déjà évider la pièce de toute sa lumière pour apprendre a voir avec d'autres yeux qui nous regardent, plongé dans une autre lumière ; celle ou ils sont vraie comme les nœuds des bûches dont le peintre soutenait le regard; notre époque s'y connaît en mesure rompues et corrompues, la corruption est son mot d'ordre, sa joie dans la segmentation, mettre l'or de coté, les lumières au pieds du mur, bien sagement couché comme les chien aux pieds ; braver l'interdit, mettre de coté, éradiquer la fait contemporain que tout impression vraie de la réalité, loin de faire fi des indiscutables vérités lacanienne, semble prendre au contraire la chose très au sérieux et assimile ce sentiment a l’interprétation du vainqueur qui n'a pas gagner la force de dieu, mais la sienne, qu'il ressent totalement quand il écrase, tant il veut non seulement effeuiller toutes les apparences des meubles de la pièce mais aussi, évider leur présence dans un acte qui se recoupe complètement, comme les dire d'un menteur lorsqu'il s’intéresse suffisamment a son intérêt, a lui-même pour devoir en dire toute la réalité sienne, sous peine de douleur sous cutanées a la tête, pas si personnelle que cela d'ailleurs puisqu’à la première occasion il l'a perdra, et retournera sa veste jugeant de sa décote sans définition du point céleste d’où se risque cette voix de la voie, sur la voix de sa voie, de quel cieux descendent l’assertion de la joie, d’où se tire sa dissertation, sans désertion, sans avoir, et comment savoir une telle certitude sans connaître la longue et tortueuse phrase, par ou s’annonce, souvent brisée, le rapt commun du réel et de l’idéal réconciliés et non troublé, par sa déclaration dans le risque prisonnier de l'énoncé et de ses formes qui s'en retournèrent dans leur maison de l'ouest, subsumant essentiellement le sud réel des naissance sous l’idéalité de la faute qui creuse le déficit de représentation en surinvestissant la sensibilité d'un contraste extrêmement violent entre le malheur et le bonheur, qui ouvre l’épaisseur de la plaine au confluent des fleuves de matière et de souffle, ou nage le réel en dehors des catégories du bonheur et du malheur, et le met en mouvement en prolongeant ses ombres poissonneuse de nuit et de néant, la peur de soi, l'impression absolu de la chair, pour que s’élever intérieurement la puissance de la mue supérieure a la peur (et ce n'est pas de la psychologie nietzschéenne parce que cette mue ne se situe pas dans l'indifférence au bien et au mal, mais comme accomplissement du choix absolu du Bien éternel), comment donc une telle réalité de l’éternité deviendra une réalité de paix éternelle ? quand elle aura franchie le Rubicon du jugement et que l'extraordinaire poids de ses peaux mortes auront défigé ses yeux ceint d'un arrêt de la réflexion, libre par ailleurs de toute appréciation esthétique qu'on voudra, mais éternellement établi e en elle-même par le rapport a l’être qui peut tout libérer du souci de savoir, d’appréhender; c'est une décontraction qui est une suspension sans fin ou seul les concepts germent, un suspens infini, qui pousse partout l'individu a affronter le mystère, et a se revêtir de l’incompréhension qui est la sienne par définition, quand il aura appris a parler de son être dans la langue d'un autre et a reconnaître la similarité des deux nature humaine et transcendante ; leçon qu'il ne peut avoir inventé ; les semences de goniométrie pousse avec les fougères géantes de la première palmeraie ; a chaque instant il est ce qu'il sait de lui-même, par et a cause de sa propre indétermination réelle de sentiment dépassé comme volonté baignant le présent le passé et l'avenir dans un même bain de lettres que l’âme d’Œdipe devant le sphinx eux sous yeux réunis au moment de se les brûler; de indétermination possible on parle en vérité ; le risque on le choisit en attendant de voir venir la vérité, le réel tel qu'on l’avait dit ; présupposé, préconçu, fomenté comme un terrible secret peut-être; mais toujours conçu digne de l'avenir, rayonnant, exempt de ces problèmes et autres soucis irraisonnés ensevelis la veille, avec bougies, encensoir et procession au père la chaise dans une catégorie a part, celles des fous, des ridicules, des bords de champs de toute l'humanité rompue au trou et au cellules bravant la démesure de la réalité objective de l'existence dont nos pensée ne sont revêtues que de catégories de pacotille, aimant le clinquant, séduite par les mesures que rythme de vif contraste voulue sans heurt, berçant dans les vagues de la mer de la tranquillité, les mœurs de la volonté qui se meurt, et qui est le vrai délice du charcutier , la tendre joue de la mort a soi-même fondant comme un sucre qui descend dans l’épaisseur des contraste violent comme des flash cru de pure lueur ; le présent de la mémoire, les mort qui ressuscitent c'est le moi qui s’assèche de la peur non a l'aune des choses de ce monde mais au risque absolu des tourments que préfigure le vertige de la chaire ou s'enroule les plaine d'herbe sauvage comme une bracelet enlaçant le bras de la danseuse ; ne pas laisser la justification croupir au pieds de la justice sans que l'ombre de tes gestes ne t'alarment sur leur manque d'huile.
Babel d'ombres du jours, anonyme et silencieuses, prenant de la nuit la rumeur d'une rhapsodie grippée en guise de conversation avec l’éternité ; les trompettes de stentor soulève les boucliers de l'armé et la pousse dans la chair comme un vide, une confession, une déclaration d'amour qui a tout dit, qui peut tout dire, non pas toute la vérité, mais toute sa vérité ; et qui ne laisse a la fin au vertige dépassé, que les tourbillons squelettique de la poussière effacé, des trachéotomiques orbites forées pour les cavités des yeux marron, version cercles et perles mangas remastérisé épileptiques et grosse goutte de sueur; elle luisait comme un autel barbare assoiffé de pensées, un pilon d'airain brisant en son creuset la moelle et les os de tout parlant ; jamais un centre d’intérêt commun ? Est ce bien raisonnable ? C'est l’émulation ? Plus peut-être ? c'est le non-lieu réel de la parole pour s’adosser a elle-même doit se purger de son propre vampirisme qu'elle chassera dans les plaine aride en se pourchassant elle-même dans les avancées de sa peur recréant le trouble premier de la création qui est a faire comme s'il aller t’être révélé pour la première fois , tout en gardant les mains dans les poches gigognes de son jeans dégorgeant du larcin des chandeliers témoins du piaillement de leur mèches d’astucieusement limiers recréant les modulation fantasmé depuis l'age des mer en limoneux océan de poisson; les griffes du maître y trouvent leurs proies.
Dans un monde ou est prit pour aune idéal de la réalité un paquet d'assertions sans locuteur ni récepteur réel, règnent les bains de foules et l’hypertrophie du sensualisme grégaire arrosé en permanence par le rappel des prix écrasant la concurrence des besoins lié a la vie en société du néant. Ce si proche parent des concurrences amoureuses de l'hysterie.
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