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06/11/2014

L'attention immuable.

Nous vivons dans le monde des vagues imperceptibles de Leibniz; mais au Livre de la création manque le chapitre du cas échéant ; samsung fabrique des objets amazone archivés dans les bibliothèques de la nano-antropologie netflix des shoots a courte mémoire ; civelle vibratoire du parkinsonien tremblant face au mur de cils d’huître palpant la branlette simiesque de la fête foraine de l'absolu; y trône tagada la fictive approche de demain que prépare la peur de soi tournant la manuscrite inscription du social engineering, dans le sens de l'histoire déjà écrite et voulue par Microsoft comme praxis et anthropologie consécutive a l’évangile capitaliste du développement de la cosmétique de la misère insensible aux amputés noétiques de leur intentionnalité constitutives, mais encore inconsciente de leur césure transcendante, de leur régime transcendant,  guillotinées par l’accès immédiat des barbes a papa fleurant bon le mielleux sucre des séduction affectives elle pourri justement en gonflant de vacuité l'existence irréelle d'un moi dénué du savoir absolu et repentant; le savoir de soi du nono-desir du règne de Poros, est précédé par un monde œuvrant a la vitesse de la lumière et aussi étincelant qui ne pose aucun problème aux passagers clandestins qui se sentent ontologiquement grugés par l'empire rayonnant du hardware puisqu'il suffit de se quitter pour sauter ; et tout groupe de black métal digne de ce nom, démontre phénoménologiquement que ce qui bat dans le pur temps electronique et foudroyant, dénuée de sentiment, est une fracture dont le bris est un échos de sirène aguicheuse infiniment et accéléré qui sature et décelé malgré tous les catégories de la totalité qui appartiennent au cœur, et reviennent en chair comme un sentiment de folie supérieure réveillant l'angoisse devenue consciente en la jetant comme un acide au visage de toutes représentations déjà installées noematiquement dans les boucles de l’hystérie égocentrique courant moins vite que la lumière dans l'ombre de son arrêt invariant qu'est la synthèse inexpugnable du choix absolu de l'un transcendant qu'elle cherche inconsciemment a répéter en buttant contre des hautes fréquences électroniques dans le déluge du verbe tombant en indétermination de droit, dans l'oreille en ventouse plaquée sur la demi somnolence juridique du cœur présupposant les apparences de l’être crée ad-venant a travers la digression infinie de l’odyssée algorithmique de la géopolitique de l'ironie retrouvant l'épaisseur de l’écran invariant de la vierge lumière du concu inconcevable advenant; on peut sortir de la caverne, c'est même la seule manière d'envisager l'avenir ; la sub-stance de la caverne cinétique s’anéantit, s’écrase, s'effondre en elle-même dans la mort de narcisse ; éternité et temps sont disproportionné par le parallélisme du web et des praxis noetiquement fondées ; l’écran mélange les faces, touille la synthèse sur la palette, mange ses faces, et, l'hupokeimenon, créant l'apparence des écrans a son importance dans l’économie noématique du petit objet @ ; mais la muselière de l'esprit tombe hors de la grotte élastique quand la blessure de narcisse sort du comas idyllique de l'entropie de la réflexion piégeant ses piges par le double fond du zoom sur le zoon politicon ; la réflexion des écrans est vide de substance, nous n'y projetons que nos rêves, et l'attente de nos cœur ; rien, absolument rien ne parle de lui même dans l'univers si je ne le fais parler. La chair d'un coté ouvre ce manque de sens comme angoisse qui le produit a la manière de l’œuvre autour de l'un qui est transcendant, mais d'un autre coté, ou plutôt en même temps, au même instant, c'est ce qui réifie la pensée qui dissout la matière de l'apeiron insignifiant, elle le reçoit, elle subit ce qu'elle pense, comme une loi de justice immuable qui l'habite comme une règle transcendante dont elle s’évide a chaque instant en produisant de la durée, une synthèse extatique de l’éternité et du temps que nous et dénoue le mystère du croyant.

 

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