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13/11/2014

Note

La description du monde, si elle est possible au-delà de la volonté de sauver les apparences qui fut le soucis premier des antiques savants, ne relève d'aucune science mais des mêmes règles que la critique d'art qui se défie des règles en matière de beauté, de bonté et de vérité, (ce qui déjà établit une filiation sémantique entre la théologie de la transcendance, l'anthropo-génése de la révélation et le critique esthétique encore inconsciente de son objet) parce qu'au fond elle ne parle que de la présence au monde d'une intériorité consciente qui idéalement perçoit tout comme une unique création qui se révèle par la lutte a mort de l’herméneutique subversive. Autrement dit la critique esthétique ne fait que développer la langue de la seconde puissance de la conscience, la conscience de la conscience, l'idée de l'idée. Mais sans l’élément théologique de l'absurde absolument, cette parole s'effondre en elle-même, au même titre que la pure spéculation philosophique, parce qu'elle n'a aucune idée du défaut ontologique, du manque d’être que soulève cette conscience au carré dont Christ est l'image la redoublant comme événement iconique du père auquel nous sommes conjoint d'aller.

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