04/01/2015
υn νον
L’ange exterminateur de l’immédiateté tourne autour du lien indirecte de l'esprit que la tentation protège, pendant que l'univers simule l’orgasme des intelligences artificielles en manque de chaos pour faire avancer la foi; un fax tombe de la bobine de galva : peut-être n'est ce rien d'autre, la pensée, que la musique réelle des battements de cœur, alternant jonction et disjonction dans les labours profond de la terreuse éther des antinomies de la raison pure qui sont le bouillon de culture, la base alcoolique de la sobriété, formé d'uinegale tranches de lumiere dans les trou du pain de mie ; la transparente répartition atomique de la structure de l'esprit laissera plus d'un matheux ko sur le tapis ; car il doit bien exister aussi chez le scientifique pur cet instant sublime de comprehension qui semble s'incarner dans la formules qu'il trace sur le papier, et qui ramène a leur foyer de lecture des strates incompatibles entre elles de l'Instant qui s'illuminent, s'organisent autour d'un axe au moment ou l’écriture disparaît dans l’écrit sans laisser de trace autre que la musique des spheres errayant leur diamants sur les sillons sylvestres de la terre; l'ecriture est le plis etincellant de l'essieux sur la route ; il indique comme une lueur qui est ce qu'elle eclaire, le fond rond et poreux de la boule sur laquelle marche la raison ; il serait intéressant de remarquer que la philosophie devenant au cours des siècles, de plus en plus un exercice d’écriture a aussi ramassé en une expérience centrée sur cet exercice, toute les diverses manière d'éprouver réellement le fait d’être en vie, d’évaluer l'importance que cela a pour nous, comme si notre intérêt infiniment fécond a exister pouvait se résumer abstraitement sans l’expérience de la vie; quoique d'une certaine façon il mette en lumière une forme privilégiée d’exercice absolument incommensurable, pour prendre la mesure nouménale, seconde, de notre intérêt le plus vif et passionné vers l’être ; pas le dernier mot de la vérité, mais son élan, son ton, la rétine et la cornet touchant a la lumière mais n'y discernant encore rien dedans.
Le trou bleue du lagon était ceinturé d'un front de schiste lunaire ; serviettes et glacière sinon rien, sans chair dit-on ; on dit aussi qu'il faut avoir lu ceci ou cela pour être et exister vraiment, et que ceux de la haute ils s'en gobergent a foison justement parce qu'il ont lue ; moi les livres m'ont gâte l’estomac et je préfère une bonne chair a une autre bonne chair ; ça et ça et ça et ça encore, additionné ne font rien, me laisse le soir malgré tout sur ma faim ; reste le lagon et sa louche bleue sous l'azur d'un vert différent gonflant des joues pleine de diamants.
Lumijoue de l'azurneuse … des hooops en fonction de (x), parfois sacré remous pour les algébriques dimensions de l'être … l'apparence de l'instrument posant probleme quand ses dimensions ou leur multiples sont confondue avec les trait dominant de la venu de l'etre dont l'apparence est en cours de formation ; c'est comme au debut de la phenomologie de l'esprit, la toute premiere question n'est pas celle plus naturelle et spontanée de l'etonnement, mais celle de l'instrument et de la nature de l'illusion et de la démystification lié a la saisit de son paradoxe.
Mais etre a soi-meme l'instrument d'une vision qui nous depasse, Joanne avait du mal a le comprendre quand le probleme prennait les formes et les dimensions de sa belle mere qui s'incruster sur sa toile suffisement de temps pour que le souffle et le rymthe des revelations et des secret qui forme les premiers points de croix de la trame familliale universelle, en soit partout chamboulé. Et c'eteait pour elle a la fois une epreuve a traverser et une remise en mouvement de sa propre constitution ipseique.
Louis au fond des tranchées, la peur et la faim au ventre ressentait la gestation d'un ciel d'absurdité dans la fausse plaine d'ombres couverte d'une pluie d'acier et de bombes.
Et puis cette dernière expérience absolue de l’absurde, a propos de laquelle je n'ai pas autorité pour parler : l'appel de l'aube a Tréblinka.
Et puis l’écriture commune a tous par laquelle s’écrit nos vies, quand pensée et sentiment sont réciproques en nous et que les tremblements ne sont plus que des lignes de franges indifférentes, autant que le nom physique donné a l’événement métaphysique de la conscience sécante a la pluie atomique des lignes de fuite épicurienne tombant sur un monde ou la physique est un événement corporel advenant sous nos yeux a partir d'une forme frayée dans la fracture de l’œuf bleue flottant stoïquement en sa besace lumineuse, au plus profond d'un bain d'ondes drues, parallèles et déformantes, de suite notre regard sur le « monde », ou notre intérêt sort si souvent, de notre champ de vision.
En toute chose, en nous même autant que par rapport aux autres, le goût de l'Un retrouvé; Platon dit, il faut virer les mauvais poètes, mais le spectacle est nécessaire, ne serait-ce que pour figé les éthers condensée de la pensée, et les rendre communicants ; j'en profite pour remercier Jackie et tout ordre politique nous autorisant encore a boire tout et a produire de l'ivresse qui remembre les zones disparates de nos existence démembrées sous une syntaxe commune, un souffle de pure logorrhée arbracadabra transparentesque au demeurant, ou luit a grand renfort d'alcool les glandes a zéro du poilue sous la bombée ; contact direct avec l'incommensurable, sans possibilité de fuite ; c'est important de bien se piéger, on ne le redira jamais assez, se miner bien sûrement le chemin systématiquement, se refermer toutes les issues pour que au moins même si elle ne signifie rien en rapport a l'histoire du monde qui prend d'autres route, notre existence ne nous ait pas laisser l'impression d’être rien moins que la prémisse de l’éternité.
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