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13/12/2014

4H27

... Après vidé de tout ce qu'il existait de bières, les putains de sonneries d'horloge qui raisonnent dans la ré-verbe… putain !! le lit … tu comprends couché, au rythme de l'eau … au rythme des bouillis nom de bulle donnée a l'élévation ?… ou être gracié qui ne construit pas la grâce, se dynamitant passe en ça et s'engouffre dans le feu d'une volonté impérieuse de luire malgré le scandale devenu indifférent …. il masque la beauté de l’être qui me plaît, et auquel je n’attribue aucune imperfection, aucune effraction d'affectation ; aucune prédilection particulière n'ouvrir sa rencontre, ne le travaille secrètement sans le juger, la pensée libéré de tout le croit être de lui êtres ainsi sans affectation quand elle se croit aimé, et la chose est plus dure a convaincre qu'il n'y parait; destiné sa trace forme la mémoire de la substance solitaire du dernier carra luisant dans les sabots du troupeau comme un métal a jouir et a traiter … et son incompréhension qui pourrait aquerrir une force supérieure, n'ira pas plus loin cependant que ça, prit dans le calcaire réverbère du feu, instable a point la nuit ou l'instrument éclaire ta pensée d'un avenir confiant, vue sur le chaos assuré, rendu conscient, quand tu, toi putain, ton être éternel, cette chose qui n'en est pas une qu'il faut, ou que tu peux devenir, elle repose sur tes cordes, tes longueurs d'onde a faire germer une part de cette planète conçue non comme un rocher de boue tourbillonnant dans les airs, mais comme une matière ou le vertige d’être sublimement homme s'inscrit , et ou tu peux apprendre a voir une création dans et par ta vie … tu le peux le faire, c'est ce qui t'es impartit, dans l'art notamment, mais dans d'autres domaines la conscience de l’irréalité de la chose qu'on désire peut aussi devenir consciente, c'est ainsi qu'il est permis d’être soi-même sans affectations particulières, aimant, simplement ... éternellement confiant la putain de toi … , parle déterminée (pardon mais je m'engueule moi-même), dialectiquement, « j »'apprend a penser vraiment que le jour s'efface sans regret dans les vapeur d’échappement sans regret de l'exhibition spectaculaire de l’affirmation devant dieu … moteur de l'avancement, symphonie de contradictions, espace humain du fioul domestique…. D’éternité tu dis ? … quand te voient les yeux et la bouche vidées, sous tes chicots de vielles forets martienne !! et la lèpre vomit de tes pieds, a genoux bénissant sans plus aucune arrière pensée, fossile de crampe fœtale, recueillit par milles étranges sommeil constellés , milles mirages milles trous livides de pensée, de toute beauté, indescriptible, de sensibilité pleine et entière d'humanité, ou la pensée n’atteint pas … parce qu'elle réfléchit trop certainement.

 

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