Borgnes interdit

Il pierra le croire d'un mouilloir bien souillé de temps haché menu, petits souliers de rien venir jusqu'au sang troubler la reconstitution historique de la création qui titubait, ne tenait pas debout. James, le regard perdu éternisé sur la couverture de mon édition, regardait le folio fixement, l'air d'inter-loger, d’enchâsser une lumière entre deux tranche de mie de pain ou plutôt d’écouter le vain sourdre a travers la dialyse de la traduction ; juste l'espace pour une photographie ; la photographie de son corps correspondait encore en moi a l'idée de son corps vrai photographié, ininterroger et qui n’était pourtant pas présence ; ce qui me donna de la marge pour avancée dans le concret de cette emprunte d'un corps ininterrogé qui s’effaçait a chaque instant, se dédoublait comme si la photographie réelle du corps et son idée irréelle se représentait l'un l'autre, représentant chacune un tiers corps bien réel qui n’était pas devant moi ni d'aucune manière présent autrement qu'en pensée, alors que précisément il ne l’était pas en tant qu’être signifié, étant réel hors de la pensée qui l’appréhende, et plonge le penseur dans le retrait quantique, un mensonge sur sa situation réelle, dans l'illusion de la victoire que la boucle crée en tant qu'image, terme dernier de la représentation ou repose la jouissance de la réflexion infinie, qui me le représentait faisait plus qu'associer a son nom a son idée, son nom a son nom, engendrant l'idée d'une téléologie de la pulsion (impliquant une certaine égalité d'humeur entre la passion et la réflexion ; celle ci ayant trempé aussi bien dans les eaux glaciales du vide décharné de l'abstraction, que dans les lac de la grande absence de toute sympathie amputée, qui avait signifiée aussi, par ailleurs, la présence possible du corps exprimant la réalité entière d'un être dans l'histoire était achevée, en la personne d'un autre, comme a d'autre moment, la présence réelle de Joyce dans mon salon, chargé son corps de l'attention a l'humaine condition, venue la soulager de la mort en lui inoculant l'inconnu; a aucun moment le corps réel de Joyce n’était pourtant là présent, mais ce qui m’était donné de croire a travers la dialyse du roman de sa représentation sur la couverture, fixant Folio intensément me laissait penser qu'il n'y avait de réelle présence du corps d'un être que dans le cadre de la plus stricte ignorance de sa réalité que je désigne pourtant comme ce que je me représente comme ne pouvant être saisie ; drame humain de la langue ; mur des lamentation sur lequel Platon faisait trotter ses marionnettes ; contradiction infantile, mais aussi insoluble en elle-même que l'est la conscience éternelle pour elle-même ; ineffaçable a jamais, malgré la cargaison douteuse d'acide sulfureux signifiants le signifié a son tour par d'autre signifiant, ; masse assez importante de l'esprit qui emportait le corps a son relief se dans les fourrées de possibilité diverse … moyenne d'age, vingt ou trente ans... l'intention de l'intention se dilue en elle-même, c'est la nature même d'une intention, de se visiter partout en elle-même ; par forcement de se masturber, mais d’être a l’affût de son propre étonnement, du caractère sublime d'un être qui se comprend, s'appartient lui-même totalement et voudrait, pardi, bien sur, partager la chose avec d'autre... on sait les difficultés de l'entreprise... celles des bonnes intentions qui fleurissent sans porter de fruit éternel, mais refondent leur bouquet dans la masse satellitaire de l’indifférenciation qualitative qui ne parle pas, ou jamais ou si peu, peut-être, alors, malgré elle, du réel, comme ce qui me rejette dans la position quantique ou être disparaît de mes représentations tant et si bien qu’étant perdant je me retrouve vainqueur, trinquant sans le comprendre sauf si je veux comprendre encore que je ne peux pas comprendre qu'elle soit réelle autrement, malgré mon impuissance a le dire ; comme si l'intention , l’intentionnalité elle-même était la chose vers laquelle la conscience s'efforce en courant mont et vaux. L'importance de la filiation dans la bible, est une manière directe d'exercer le lecteur au raisonnement, de l'exercer aux prémisses du gambadement des pattes de loop de la l’arachnéenne réflexion quand elle n'est plus seulement mémoire, mais lumière de la foulée entre les pas, qui soudain prendrait conscience des choses réelles et horribles qui sont dedans, qu'elle peut éclairer parce qu'elles sont faites de la même étoffe qu'elle; celles dont on parle et qui se discriminent un instant, pour prendre la mesure réfléchie du relief incommensurable, fort heureusement, pour la raison, de cet abîme entre elle et elle-même, ou elle doit se perdre pour se retrouver, dans une réalité insensée ou a cause de cette brisure en elle, entre elle et Lui, flotte autour d'elle le verre brisé d'un repent, une leçon donné par l’Être de la réflexion pour apprendre a se voir revenir seul a la raison comme un chien fou jaillissant du bois d’amandes.

 

 

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