Canada-dry ou Jack Daniel's ?

Hareng sorti du boom

éponge le palimpseste du monde

digéré par l'initiale cantate du bond en rond renouvelé

chignole champignon ! Avale le dégoût immonde en blanchiment d’efflorescence grammaticale dans les chaudrons cardiaque de l'huile sainte lubrifiant le ronronnement linguiste des sourates du ton de l'impression revenant de l'absolu ; donne a ton cœur son poison, il est le format de l'impossible ; l'impression refoulée du très improbable promeneur des éthers, remonte du pétrin des charités obtuses; alimente le d'indigestes horreurs qui te chassent de toi-même ; recouvre toi du palimpseste de son apparence et engloutie sa vision jusqu'à résorption de son disparaître en apparaître renouvelé... pousse plus loin ta pensée dans les replies in-sondés du cœur et sa véritable puissance de subversion se lèvera en toi comme une aube ou le soleil est partout, une autre lumière défroisseras le trou émondé de ta vision vacillante comme une flamme transparente qui paraîtra entièrement infondée ; apprend a rendre possible l'impossible en retournant sa douleur dans l’expansion de l'omni-plaine présence de la joie sans motif apparent; c'est le seul revêtement du cœur; et si la haine encore te brûle les yeux, si elle t'interdit la contemplation de la pure transparence du cœur pur, alors contemple les œuvres les plus barbares qui enflamment toute la tuyauterie du scandale, qui consume l'idée même de vengeance et inocule le germe de la démystification des pourris sans once de réalité éternelle; la pureté du cœur est une idée insupportable aux arbres stériles et sans fruits, elle prend en charge la somme de toutes les peines et les renverse, une fois les amarres de la raison coupés, en leur contraire ; cet espoir, s'il né en toi du processus de conversion , même s'il n'est pas plus gros qu'une graine de sénevé, possède les prémisses de la transparence éternelle qui t'es donné d’être et d’éprouver comme l'amour infini qui a vécu sur la terre ; et cela a si peu a voir avec la sexualité, que la joie absolue bien au contraire ne s'appuie sur cette dernière qu'a titre de comparaison approximative avec l'incomparable sentiment absolu de l’être entièrement éprouve. Parce que la pureté du cœur ou ce fonde ce sentiment absolu de soi-même, n'est pas enraciné dans la physiologie des besoins qui ne sont qu'une chiquenaude syntaxique pour la lecture du sentiment effroyable de la pure joie de l'absolue transparence de soi devant dieu qui les rédime précisément. La fin du désir est l'absence de critère objectif du sentiment imparfaitement ressentit comme besoin.