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31/12/2014

Musir

 

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De l’époque neuromotrice du reptile, nous nous ressouvenons la reptilienne synesthésie de la cornet ; l'onde grosse d'une loupe rasant les verre arbres meringués désormais cuit a point par le soleil de fin d'année, de fin de règne de l’indétermination, ou se répète le commencement d'une décision absolue, se reprenant dans l'infini texte de son interprétation inachevée, raccommodant le temps au temps, les saisons au format syntaxique du souffle paysan. La paysan s’arrête l’hiver de travailler; et ce qu'il cherche, les yeux perdues dans ses pensées, ce n'est pas un roman, ce qu'il écoute et qui roule encore dans son cœur, c'est toutes sa vie accumulée, retenue de mémoire, mais dont il ne sait pas encore s'il en a apprit l'unique leçon, et c'est elle, ce plan inclinée ou rien ne tient debout ou tout est vu comme effiloché en bout de course, rompue de fils au vent flottant par une grande indétermination au restes sombres de la pièce, qu'il renoue en soufflant dans sa barbe, les mots du drame qui se joue dans l'ombre, et qui relance sa réflexion a la poursuite de son être, tournoyante toupie lancé sur elle-même; elle a dévié de son principe, s'y est contrainte sans amour, l’intérêt encore larvaire hypnotiquement sommeil dans les lacets de la pensée fait d'un savant mélange de chair et d'esprit, l'une pour faire chier l'autre, l'une usant l'autre jusqu'à l'irritation, l'impatience oculaire, l'œdème de la vision,  qui se rend compte, qu'elle voit de tout coté, l'espace et le temps illimité, l’édifice informe pour notre piètre entendement, ou pourtant il faut s'accrocher, creuse sa tombe, chacun de son coté sachant seulement que le caractère de ce qui est réel se reconnaît a l’inépuisable source de pensée qu'il est ; certains son morts près de cette source, d'autres y ont déjeuner, prit le bain, fricoter, certains nous y voient déjà transformés en os de lampe allongées dans leur suie comme sur le divan d’à coté, mort a écouter le bruit réel du monde égrainant le chapelais des roses du matin ; cette voie que produit le monde, qu'Aristote entendait chanter dans la gueule des galaxies; elle résonne aussi poétiquement libre d’elle-même, sur terre, quand elle est comme une parole qui avoue son vœux, celui-la même qu'une âme bien née renouvelle tous les ans, chargé d'un peu plus de ciel seulement ; sur des plans inclinées selon des angles différents, Galilée faisait rouler des boules d'un même poids ; puis il prenait certainement le thé, et les doigts encore graisseux de cacahuète, reprenait, en variant, et faisant rouler des poids différents sur un même angle incliné ; ce qu'il vue, ce sont nos première lois du mouvement, elles était invisible enseveli sous Pyrrhon ; lui il les a vu... enfin vu, façon de parler, il l'est a inventé, construites, mais en même temps décelé, chasser de leur repaire en bousculant la matière, en la frappant contre elle-même jusqu'à ce qu'elle lui livre son secret ; elle ont donc pétrit dans le moule évasé de la relativité ; si vous voulez, c'est tout aussi recevable pour nous ; du moment que le regard embrasse, qu'il est de tout coté, même vue de personne il est ; l’être contrairement a l'objet répond a un mode d’apparaître qui correspond a l'apparition d'un monde, comme la traîne du regard, jeté sur ce qui doit être vu de tout coté pour être manifeste. Vu de tout coté, la sensation interne est la pensée elle-même, mieux , tout notre être interne qui éprouve son corps a la fois comme une limite et comme un infini, est la même chose que la réflexion ; autrement dit la réflexion n'est pas une qualité abstraite de la pensée, mais le nerfs organique lui-même de la tension.

 

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