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30/12/2014

itinerantur mentis

 

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Les régions eidétiques appartenant a l'univers ou être n'est qu'une fiction, ne reposent comme son univers parallèle , son double, sur rien de fondé mais ne sont pas non plus comme ces nature morte, figé dans leur suspensives réalité ; le premier contact y était en tout cas, un événement flou qui oscillaient difforme dans des galaxies de représentations autonomes et protégées les unes des autres par des remparts satellitaire de paquets de concept orbité qui dérivaient dans l'obscure matière du sombre désir, comme des photons eteind depuis plus d'une éternité.

 

Les mots avaient quand a eut suivit une voie singulière, pendant que nous nous déplacions comme des ombre organique aux frontières de la lumière, ils avaient eux voyagé comme signe de son dans et par la lumière.

 

Le protocole de l’événement du premier contact avec l’être ne pouvait prendre chair dans les univers de fiction que nous traversions a la recherche de nous-même en courant le risque de devenir fantôme, de disparaître a nous-même, a cause de la fascination exercée par le vide absolu; nous nous remémorions les premiers pas de l'homme sur la lune, et la bataille acharnée des techno-cerveau pour passer a travers les portes glacées du vide galactique, qui s'incurvait comme un tissu toujours plus malléable , une frontière indépassable qui limitait notre appréhension de l’être a une portion inexorablement pesé, frontière de l'infini qui sous le poids de notre vaisseau se creusait comme un trampoline de cirque renvoyant notre peur a la révélation de notre volonté manquant de se représenter ; volonté qui plus d'une fois dans nos périples fit les quatre angles du ring ou les cordes , au centre la renvoyait comme a la surface d’elle-même, a sa conscience, dans une aube qu'une aube matérielle ne peut singer.

 

Henry été électricien devant l’éternel ; il avait fait milles boulots dans sa vie, mais aujourd'hui il était électricien, et tenait dans ses mains les fils rompus de ses rêves qui vomissaient de la lumière et une chaleur infernale ; le teint de plomb de son visage défiguré par l'effort luisait dans la chambre électrique du grand hôtel des disjonctions, du m^me bleue au yeux et aux joues que sa salopette d'amiante et d'acier ; il a l'air de lutter contre un reptile géant aux écailles pré-historiquement vide de couleur ; ça lui donne l'air d'un saint Georges luttant contre le dragon ; l'air d'un magicien nécromancier racontant sur son fauteuil rembourré des murs en ruine de son immeuble, le miracle électrique de l'attention accordé ; un sentiment de bienveillance éternelle semblait émaner de cette force naturelle quand elle était raccordé au système général et publique d’électricité ; pendant toute la bataille le monde n’était que miettes qui se sont ressoudées avec la mise sous tension du raccord.

 

Nous approchions de l'Ampoule d'Ohms, des régions du cerveau vivant de leurs propres fréquences quand la caisse de résonance du moteur porteur s’était subitement éteinte, matifié; la distance réverbérante avait disparue, le paysage n’était plus cette lande arides et désertique de sub-luminosité par ou passe la lumière comme entre des ombres qui n'indiquent rien d'autre que des interférences dans le rayonnement, mais on retrouva dans les pales du moteur les reste de la distance broyées qui s’étaient éteint au moment du passage a travers l'autre coté du rien, qui se caractérisa pour tous mes compagnons comme pour moi-même, par une absorption du contenu de la plaine, vent sable et marais, en une révulsion de la peine qui nous attirait a la surface du monde peuplé d'ombres disparues et fossilisées comme des charmes graniteux du désert.

Nous nous souvenions aussi des régions minérales de l’épiderme psychique, avec ces colossale avenues de l'absurde, et de ses temples hérissés de dorsale saillante comme des pyramide de végétation enrochée couverte des teintes lépreuses de l'incertitude et de l'improbable ; avenues que nous avions emprunté et qui avaient éveillé en nous les glissements de terrain schizophrénique ou flambaient les torchères des murs plus lisses que l'azur de la transparence ; dédoublé en tenaille nous avions voulus saisir le trophée mais a chaque fois nous nous étions réveillé brutalement de ce cauchemars étrange qui nous tombait dessus comme des coups de poings entre frères qui s'entre tuent réellement pour un monde insaisissable et qui déjà n'existe presque plus, tant ceux qui vivaient la, n'avaient plus d'attention que par ce que l'esprit dit être réel.

 

La ou nous nous réveillions, partout les fleurs de la fantaisie pour nous séduire ; mais aucune de ses fleur n’étaient carnivores, capable d'engloutir notre peur; bougé dans le vent de la mémoire, les feuilles longue au couleur abstraites des papillons, vraie Kandinsky, vraie Miro volant, ou zébrées comme les lièvres qui courent dans les foins de juillet rejoindre Sam francis au fond de son herbier d'ether veritable tonalité coloré des diverses regions de l'etre, qui detonne le manche de la guitare, pour transporter les cardes en d'autres regions toutes aussi accordées. Mais la densité des points sporadique du commencement souvent s'ecrase comme une vesse de loup part en fumée, car elle s'epuise vite de leur cartouches de poudre au yeux, trop vite en tout cas pour laisser penser a l’événement d'une transparence qui prend racine dans un insaisissable et mystérieux projet, ou sans s’abstenir, le concept consent a ne juger de rien, a rendre l'image au vide, a voir venir comme en une peinture, la naissance d'un soleil que les brumes cachent, mais qui n'est que pure transparence, insaisissable image disloquée, que l'absurde remonte convenablement, précisément pas a portée de main, comme l’éclairage de fond de la radioscopique tension du périscope oscillant de l'image a leur négation, entre lesquelles nous avancions en louanges et oraisons.

 

Socrate força ses deux interlocuteurs à reconnaître qu'il appartient au même homme de savoir traiter la comédie et la tragédie, et que le vrai poète tragique qui l'est avec art est en même temps poète comique. Forcés d'en convenir, et ne suivant plus qu'à demi la discussion, ils commençaient à s'assoupir. Aristophane s'endormit le premier, ensuite Agathon, comme il était déjà grand jour. Socrate, les ayant ainsi endormis tous les deux, se leva et sortit avec Aristodème, qui l'accompagna selon sa coutume: il se rendit au lycée, et, après s'être baigné, y passa tout le reste du jour comme à l'ordinaire, et ne rentra chez lui que vers le soir pour se reposer.

 

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