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07/01/2015

La technique elle ne se la raconte pas (la subjectivité sans histoire, industrielle).

 

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Le regard des autres sur nous est loin d’être homogène, c'est un miroir déformant ou l’universalité des points de vues rejoignent le singulier, c'est a dire le manque ; c'est un peut comme si tous les points de vue possible d'une même langue s’étalaient devant nous, s'aligniaient et siégeaient comme a un tribunal ; pour certains on n'est qu'un clown burlesques, pire un triste sire, pour d'autre on incarne le mystère qui suscite le respect ou la défiance ; pour d'autre encore, un raté, un ange sublime mais au faciès trop empesée du camionneurs, un dandys presque s'il n'y avait tel lourdeurs sur tel point de caractère... etc... etc... c'est ainsi que la présence de l'autre capte l’étonnement solipsiste angoissant et indéterminé ; la présence des autres est un moyen de tramer l'eteonnement de la réflexion dans la relecture de la pensée ; de le décliner non en projetant directement l'existence de l'autre, mais en modulant notre propre angoisse; ce que chacun recelé en lui vis a vis de l'autre, n'est ni plus ni moins que le droit d'existence selon la reconnaissance de soi que chaque parties démêlent pour elle-même devant dieu, et attend de la justice de l'accord (tombé d'ou?) ; un amour terrestre te retiens d'aimer dieu ? Serais-tu frigide spirituellement ? Pourquoi s'exercer a la dialectique des années durant, pourquoi danser jusqu'à se briser les reins, si ce n'est pour approcher l'autre en frère, sans autre partialité que l'audacieuse prudence mêlant courageusement distance et proximité, comme s'il s'agissait de simples caractères d'imprimeries a enchâsser dans les réelles distances entre nous qui sont variable, voire volatilisées et pixelisées que met la réflexion par amour dans les plis de l’être, pour défroisser, celui qu'elle aborde comme un être complet, formé d'une contradiction interne essentielle qui met au supplice et au chaos, toute la pensée et ce qu'elle n'est pas.

 

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Chacun se souvient de la primauté de la question ontologique dans être et temps et le recours a la différence ontique comme privilège discriminant les deux grands ensembles de la pensée qui se forme quand elle se divise en elle-même pour se rapporter a elle-même suivant la circonspection de la préoccupation qui est d'avant l'occupation, la place mal occupée de l’être; coupé de lui par autres chose, plein de choses, un plein d'autre chose que de ce dont il est soucis par la procrastination de la pensée  desirante (et qui reprend sous une autre formes les prémisses de la logique chez Hegel (quantité/qualité), devenir, synthèse permanente d’être et de néant); et bien ce que l'on conteste c'est qu'une chose pareille puisse se produire a partir d'un événement impersonnel de l’être ; et ce n'est pas moi, jerome ruffin, qui le conteste, mais toute la langue qui le dit ; et ils viennent, eux ces corps et ces visages, apporter autant de réponses que de lumière transfigurées dans l’éther du mystère qui se creuse ; c'est profond et silencieux la dedans, comme dans une tombe ; semblable a celle qu'on se creuse en apprenant a parler ; c'est a dire a penser et a sentir comme on le peut des qu'on remet entre les mains d'un autre la définition de tout ce que l'on est ; les masques les plus terribles, peut-être les plus nombreux sont ceux du commun affaissement des érection; le regard a terre, même quand ils regardent ou croit regarder le ciel; mais entre eux, d'autres viennent comme des prêtres insouciant, incarnant l’espérance, porteurs d'offrandes ; des enfants insouciants courent devant, c'est tout le rire de leurs pas que tu entendras dans l’éternité ; leurs chairs sont panthéistes a l'exclusion et au rebours du reste de l'univers qui n'est pas voué a la répétition, comme le chewing-gum interstellaire des visages acide sur la face du trocadero l'annonce météorologiquement, aux corps évanescents qui le traversent sans penser a la grâce qui leur est faite a chaque instant, de pouvoir être auprès du premier et seul glorieux qui se sacrifia pour que nous vivions de son sang.

 

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La place change alors d'aspects, ce n'est plus l’élément solide de mes représentations inconscientes mais la connaissance qui reprend du terrain, et double au col l'ignorance sur son propre terrain ; la coupole se soulève comme un couvercle de friteuse et les murs gris s'effondrent avec leur colonnes maillant l'iris d'un œil géant qui reste là a m'observer a me le geler sous un ciel froid d’éclipse ; puis, l'instant d’après je suis l’électron libre, l’élément indépendant, l’incontrôlable dans la matière céleste défroissée ; j'aime cette heure chaude de fin d’après-midi, quand j'ai l'impression de baigner comme un piston dans l'huile du moteur premier et que tout est dans l'ordre de sa volonté, quand j'ai plus rien a me reprocher, quand je suis monter jusqu'au tribunal avec job a mes coté et qu'avec lui j'ai apprit a dire, et donc aussi a faire, l’Évidement dernier de la conscience au confins de la culpabilité et des douceurs absolue du repos.

 

C'est une fin d’après-midi tranquille l'impossible monde est la a moitié couvert de nul éclat ; respirant comme je respire, a l’écart plongé tout entier dans le livre impossible d'un ciel de primitivité a venir.

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