Les voies accessoires

Oh ça oui alors, il se porte bien... si vous voyiez... il se défonce a tout, il se torche dans la confession, bâtie trois ou quatre échafaudages de sa contrefaçon pour remonter, mais en chemin il se saoule et se fait une drogue de tout, il s’éclate, se brûle le cerveau s’évapore, s’explose la tète incapable de s'inscrire dans une longueur de temps autre que l'instant, micro-cervelle de l'histoire, chair baliverne qui prend dégoût sitôt que l'occasion se présente, il défragmente a tout va, et a peur de se perdre, et s'engonce dans une multitudes d'entraves, qu'il se forge, de rappel qui ont finit par entièrement recouvrir la plage interdite au bitume; ils a finis par aimer le morose, le neutre, par prendre goût a l'insipidité ; mais les tours de verre ne forment pas la veine cave entre l'humus de la première déflagration de l'univers qui a réduit a rien le néant, et l'air du ciel qui tombe sur leur têtes de disparus; de l'air pour respirer aux bonbonne de gaz dans l'ambulance, c'est plus qu'il n'en faut pour être achevé par un déluge de questions concernant toute ces information sur moi-même qui ne peuvent me concerner et qui ne peuvent pas se savoir, sinon on disjoncte tout... a moins que le grouillement dernier du mal dans l'herbier se retirant de nous, ne nous le fasse savoir... alors on veut le sentir comme une nichée des vers refluant dans les ombres de l'esprit ; les segments cardiaux-vasculaire des conduits électrique reliant l'ampoule des aiguilles électrique, au lampadaire de la centrale atomique sont peut-être cause l'un de l'autre ; il faudra demander au témoin des nouvelles du voisins ; cela fait que désormais on voit aussi bien en pleine lumière qu'en pleine nuit ; on voit davantage en pleine nuit de ces rêves éveillés brouillant la solitude perceptive des salles d'attentes, de peur d'y sombrer peut-être en silence, on déplie un strapontin et on contemple le terminal boursier des transactions du crédit qui se fait en nous ; si on a de la chance, on verra le sens concret du pari apparaître, ses trait son dur comme ceux d'un archer décochant, sa symbolique est guerrière comme celle de l'Instant, mais parfois aussi, une seule fois peut-être a suffit pour qu'a jamais quelque chose soit conservé de soi dans la mémoire des hommes, et la transaction demeurée silencieuse du crédit racheté cash de douceur surnaturelle, de ces êtres capables de campagne infinies ; la corde indirecte frappe l'avant scène, bouscule le retour, soulèves les pieds de cymbales s'engouffre dans les murs, rebondit comme le linceul du spectre des baguettes et ressort rincé des mecs qui les émettent et qui vocifèrent dans leur turne fermer a clef de sol et de bras; si on le leur demandait ils diraient qu'entre ces événement ils ne sait rien passé détissé, rembobiné dans un flux noir et profond des embobinés qui roule leur rêve comme des bulles roulant sur l'eau et ils scintillaient davantage et plus encore que le soleil des païens, d'un astre fait de la plus pure idéalité ; éclairant par les voies lactées de l’éthique les sources du cœur jaillissant du nihil, aux reins des saints qui viennent a nous comme des êtres sublimes et fantastiques adapté a l'histoire ; beau comme les rois mages pataugeant dans l'encre de chine des ancêtres, surprenant et léger, plus léger que le globe oculaire sur lequel on voulait absolument me faire marcher, alors que je préférais mille fois, m'y dissoudre, comme un insecte jouissant de sa fourrure.

Au cœur du système, l'effondrement permanent, le chutes du Niagara spirituel concentré en un lieu qui réunit a lui seule toutes les forces opérante de ce monde, le Temple de la Loterie une fois qu'on a brouillé toute les données « naturel » en terme géographie, d'espace et de lieu, une fois que les actions réduite a leur intention supposées, sont délocalisé, dématérialisé, extra-théatralisé et échangé comme des valeurs en fonction d'un marché qui n'a de limite que les enceintes et ramifications des plus grosses entreprises multinationales ; puisque notre géographie découle de là désormais, multinationale et théorie des ensembles et non plus des cartes et des obstacles physiques de la cote d'autre continent, frôlant après maint périples, les coques de bateau, nous ne descendons plus de ces aventuriers, nous devons vivre en intégrant non seulement la valeur de nos actes rapporté a eux même dans le détails avec des moyens amplifié de perception, et le jugement de tribunal que nous refusons ; ce lieu qui rassemble toute les soies de la force humaine éparpillé de part le monde ne tisse qu'un tissu grossier et sans motifs, mais c'est sa fonction peut-être, son essence d’être ainsi pour les société athée le rappel de la donnée irrationnel de l'apeiron a intégrer dans le système de vie par ailleurs sensée qu'il rend possible de la libre initiative et production de chacun; la société c'est une cathédrale byzantine qui a des airs d'auberge espagnole ; une caverne mystique aux entre sols défoncés, si caractéristiques des vieilles demeures oubliées qui se divise pierre après pierre et fronce comme de la pâte molle entre les dents, et qui pour beaucoup de gens, a le goût acre du métro ramant entre les invalides de jour, parce qu'ils leur semblent que vivre c'est comme nager coupable dans la victoire des autres ; parce qu'ils encore des vœux a brûler a l'ambition terrestres, parce qu'ils grésillent entre leur dents, les demi mots de leur pensée, parce qu'ils aiment leur condition d'infant, de non encore parlant, condition qu'il aiment et qu'il chérissent parce que leur rend possible d’épancher leur cœur le dimanche au bras d'une fille, et laisser soupirer la mécanique du fluide muet, le silence encore invisible des mots d'amour quand ils sont jeté a la fin des sciences qui marquent le débuts du temps du salut entre ces marques on se promène le dimanche pour changer l'air des boutiques, renouveler la mode des cactus a plume... interrogez la doxa !! … elle vous dira les premier mots du pouvoir quand ils viennent en foule célébrer au bord du cœur, l'eau et le sel a laquelle ils s’épanchent et se noient, ils abreuvent leur actes aux même cercles de néant, et ne reconnaissent pas l’âme de la soif d’apparaître devant dieu... c'est a Wall-Street que tous c'est dénoué, puisqu'on lui doit l'invention de la valeur d’échange entre les actions des hommes, une bourse aux actes, les réunissant tous comme la matière première d'un artiste, mais ici produisant une valeur autre que l'extase du travail, une émulation au bordel général, un appel a toutes les forces productives de l'humaine liberté, de ne laisser croître que l'action rectrice qui impliquerait et absorberait toutes les autres... le Graal du banquier, une valeur d’échange entre les actions des hommes qui ne coûte rien mais rapporte énormément en fonction des volumes traités, facilite le brouillage de l'idée ordinaire qu'elles devraient se suffire a elles-mêmes, sans grand renfort de publicité, au lieu d’être rassemblées en désordre entre les parieurs sur l’échiquier sit en quelques endroits bien précis et localisés de l'antique apeiron; le fait même d'avoir produit des institutions comme des bourses ou s’échange la valeur des actions de tous les hommes, en fait un tribunal, une Mecque de la Folie ou la grande part de l'humanité apporte continuellement son amande....