Antipoder

Matière soufflée rampe au pieds des abscisses hauteurs; le plan configuré est tombé dans les rouleaux de flacon d'eau de Narcisse; aux berges béantes, l'embaumeur aux idées raillées s'approche tiraillé, du diaphragme et, scalpel en main coupe dans le vif le souffle des calculs mentaux pris aux raie du lac lardé de pousses d'ailleurs... l'outil d'un pieds de long, ondule et brille sous un soleil zézétique, écarte les flots de givre a la recherche du perpétuel mort de l'origine; rituel de mastication des décoctions du décors, jusqu’à l'os du sentiment qui en se déchirant devient plus dense, plus intensément mulet dans le crane externe de la conscience ébouriffée, qui ne dit mot et consent en silence au trop plein d’âme qui l'anime, déploie ses flagelles herméneutes autour de ses pores en dialyse, le long du fond du tiroir en plongeant dans ses linges comme un fenouq dans les draps tapissier du nihil; le contenu de la tendresse, éclot de la sphère des beautés qui prépare les êtres a la lumière ; scribe, l'embaumeur des denrées fut le premier a lire dans l’écriture les contours du continent minute et non les a coté des anorexiques déflagrations des concentrations supérieures de richesses et de beautés qui tapissent le ciel de nids d'éclairs foudroyant la surface des mendiants d'ambroisie tintant de l'air le vibrant pouce en stop des routes de la création dans la croupe de feu invisible; l’âtre au soir n'avait pas de liqueur particulière, ni de couleur autre que la chair coagulée du quaternaire sous-cutané et cubiste recelant les ruines atomique du néant dans les preuves scientifiques de son dépassement ; on s’envolait comme des timbre changeant de contrées; chaque jour les boites aux lettres creusaient plus avant le tombeau du silence et de la transparence sanguine qui imagine ses consœurs autour de leurs fentes amovibles donnant corps a la filandreuse perte des eaux du bain fixateur d'enfantement; mais tous les soirs, la rude et dure conséquence infinie de nos actes nous revenait sereine comme une étoile nourrissant les formes de chaque saison, et les sols de la faim de nos gestes.