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04/03/2015

Tannerie


L’œuf d'un rêve se brise au dessus de l’océan a jamais tamisé, le jaune au crible laisse luire un quart d'heure le doux feu des températures fœtales descendues au cœur de la langue; aiguise ton entendement, affute ta pensée, déclare la fin des maux; forcement le tissu possède une autre rugosité ; a un mille de résolution optique, on aperçoit nettement les pics d'escarboucles grisâtre supersymétriques coiffant les falaises de ronces ; un groupe d'hommes des sables les traverse ; ils sont couvert d'aurores boréales vagissantes comme des ecchymoses verdâtres autour de leur yeux de marbre; a leur passage les vignes contractent leurs grappes, ce sont les mures constellées du sang photonique tournant vinaigre autour de l'effroi caillé de leur peau d'agrumes et de citrons enfoncés dans le coin des plages ; l'eau leur passe a travers, et coule le béton du couloir industriel, étrange pétale ou pousse les pépinières d'entreprises ; l'insouciance absolue est la quintessence du travail, son œuvre et sa conclusion la plus parfaite, faite d'un vide aussi solide que celui ou s'enfonce les étoiles qui tremblent pourtant au fond de notre pauvre gruyère mental ! milles allées et venues du vide qu’achète la monnaie, ne feront jamais au cœur autre chose qu'un cimetière des carats d'usines paniquées et sacrifiées a la guerre du vert billet; c'est la mort des océans, la mort des forets, la fin du règne de tous les vivants, libre et sentant qui s’organise dialectiquement autour de la boule a billet ; penchez-vous et voyez ! … que non pas, c'est a peine utile... redressez-vous au contraire parce que l'argent est une langue qui a sa mystique propre entièrement nihiliste et c'est a travers elle que nous formons nos organe a la sensibilité de la richesse et de la plénitude... ô suprême couillonnade, dernière confusion, pic monstrueux du démon caché dans ce rien, ce détail... si la félicite est une insouciance parfaite, alors assurément le sentiment de la plénitude du temps ne peut se fonder sur le capital qui est un amas de poussière ou justement la langue dit le contraire de la vérité qui est que dieu est le comment on se rapporte a lui... et notre tolérance envers la richesse, si facile a justifier comme a combattre par de faux arguments qui ne repose sur aucun infini de l'idée est au moins aussi coupable que notre lâcheté envers les barbus égorgeurs de mécréants... pourtant c'est dans la langue de l’argent que nous élaborons et décidons de nous mêmes, de nos libres projets existentiels ou nous nous effaçons a nos yeux, non par mort sacrificielle de Narcisse qui rendrait l'esprit sans trace objective de sa réalité semblable au moi réduit a sa subjectivité, mais pour laisser luire dans la mort de l'esprit les grattes ciel de la puissance fondée sur la catastrophe spirituelle... mon ami court éloigne toi je t'en pris, cette prégnance de l'argent est une prémisse de l'enfer qui grandit a mesure qu'elle devient insensible.... ouvre les yeux sur ce medium ! Cette loupe ou tu t’entre-aperçoit drogué jusqu'au yeux sous les traits mystifiant d'une réalité qui ne repose sur aucun ordre, aucune corps, aucune fusion, interaction permanente de la pensée et du sentiment corollaire, aucun fondement légitime de la réalité de l’être en toi... est-ce bien toi, d'ailleurs quand tu paniques devant les objectifs du mois? …. dans la boule de cristal de ce medium au flux impalpable et éthérée, nos routes sont toutes tracées, effacées, rayées de l'extase et non redoublée en elle... et les suppôts de ce verbe seront assurément inconnu de l'esprit qui n'a jamais rien su de l'argent, qui trouve tout naturel de le faire venir au monde d'une manière absolument inexplicable, insensée, comme vomi du ventre d'un poisson payant le droit d'entré en capharnaüm ce lieu ou selon l'essentielle impensée de la langue de l'argent, les moyens n'importent pas a la fin... souviens-toi, que le contraire est vrai éternellement, et que la fin des temps refermera sur elle-même la conséquence infinie de tes premiers mouvements au jour du jugement.

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