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28/03/2015

Conscient son

 

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Photo: Pierre Bonnard

J’étais la cave en train de ranger les bocaux d'haricots vert tendre entre les loupes et les lentilles de schiste cristallin, que des courbes, des fibre de jus d'airain, serpentaient, comme elles le faisait déjà du temps de ma grand mire morte au puits de vu avant longtemps quand je put jurer de sa réalité sans pareille ; aux enchantements le cœur s’éveille a la recherche de l’être dont la voie le faire battre; et être comme par enchantement, elle remontait la nuit a visage découvert entre les ampoule pendus aux arbres que la tempete soufflait et couché litterallement sans qu'ils bouge a aucun moment pour autant, figeant de glace un grand verre d'une musique naturelle que j'étendais couler nonchalamment en me déplaçant autour d'elle, se dégradant peu a peu en ces chutes sans fin, ces statues de sel corsetées sur le point de prendre ces teintes qui ne reflètent plus que la douleur d'avoir perdu l'essentiel durant tout ce temps, une de ces choses que l'on aime fugitivement comme l'ombre du monde in-spectré, l'Hadés lumineux des grandes barres de fer, des couteaux mielleux de terre et de pierre fanant la mer quand elle me tendait et conservait sans sentence toute sa bénédiction, impérieuse comme la réalité autre d'apparence, d'une même lucidité pourtant que la souffrance qui m’enlaçait d'un crachin d'onde et de distorsions plus et moins nauséeux, plus ou moins effacé d’elle-même, mise a distance, ouverte et comme dissolu, dans la fin d'exister sans faim, abreuvé de son front reversé et penché sur son fond, l'insondablement fleuri, joyeux et merveilleux de bruit de rangement, d'ordre posé et calme, roulant comme une source de joie, scintillante comme une onde qui m'envahissait, m'irritait l'oreille puis tout a coup, disparaissait, me laissait seul a seul avec la glaise, l'odeur d'humidité du caveau m’étranglait silencieusement. ...ggggggrrrrrrrcvccchhhhiiinnnnnccchhhchchchchchggergrch

grchgrchgrhcgrchrgchr... chuintement de longue date, strates du pont dans les loueuses lumière blanche du tunnel d'apparence... au parcours toujours, t-dujour vrai sous un angle universant... silenne, ponctuation, parcours de préfabrication du télégraphe roulant inventé par l’électricité d'un clown en calèche dans le Périgourdain, pour les matière de première main, la galantine, qui se passe avec les main, dans les cheveux, la main heureuse de l'esprit serrant la pince des réalités dialectique de l'esprit que nous présupposons toujours être dialectique usine a photon de chuintement d'un déchirement crachoté d'une radio au fond d'une tombe, et son flux continu et permanent de medium rejetant ou bord du tour, aux ourlet des mur développant leur poudre sous mes yeux au rythme des nano seconde ) y succédaient, modulation plus souple, moins panique quasi articulées réellement.... presque audible comme le son de sa voie quand je l'entends, comme je l'entendrais toujours et a jamais m’appeler, Jérô(e)me, et moi qui pensait que ce son venait des ailes d'un papillon après lequel je courrais, si ce n'avait été cette souffrance qui grandissait et faisait pâlir mon rêve pour le chasser prendre sa place, ces mots qui venaient  manger l'insecte a sa mère, le faner en plein viol, comme s’éteignait l'action, brulé, carbonisé d'un coup, expulsé de la vie et de l'infini vertige de la liberté, au moment ou il me fallait y renoncer, renoncer a le poursuivre infiniment, attiré par plus d'une de ses ondes qui allaient et venaient vibrionnant courant comme une vague sur les feuilles de l'abricotier bruissant, ou giflé par le carrelage de la cuisine, étouffé loin du froids, de l'hisnuvers a distance, battant un plein poumon de neige au rythme palpitant des fonte de radiateur brulant qui tonnaient de foudre leur tambours ruisselant de timbres troubadours légers a plus d’un éclair vertigineux distant de l'orbe gigantesque de l'outre mur, qui reprenait comme en morse le point d'orgue glacé de la nuit battue en brèche, mon être déchue du sifflement de sa retraite ......grinchrhechregrinchecgrincegreincgrince... je tapotais sur le ventre pilé de ma sonde d'onde. Le crachin repris. …. du moins je le prenait en train, et n'avait aucun moyen de savoir ou il en était de son développement, l’être qui disparaissait dans les saisons, quand de grandes portes s'ouvrent et emporte tout nourrir l'interrogation, grandir l’étonnement, a ce que pouvait bien recelé l'univers, restait un mystère plein et entier, dont les tenant et les aboutissant , mes certitudes aussi réduite que leur effondrement, ne nous donne guère l'impression surnaturelle d'exister, non plus ne se propose d'avancer comme s'il y avait l'esprit a sauver en nous, et que nous soyons a prêt a rompre douloureusement tout ligament qui nous racine au péché de croire l'esprit en danger, ayant besoin de notre aide..... seulement pour ne pas nous épargner quand il exige l'excision, le sevrage d'une joie, pour qu'on apprenne a marcher seul vers elle, en elle, en ayant appris a marcher dans les sacrement la ou son image est réelle....

 

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.....  pasapppppapppapppappsspsppspdepdranteconfondudanteconf

j'arrivais presque malgré moi a discerner comme des parties, une houle fondamentale de l'esprit roulant syllabe, presque j’aurais pu ramasser les mots comme un gravillon au fond d'un lit dans ce charivari de fréquences mêlées, que j’écoutais avide avec plus d'attention, je me surprenais ramassant des pierres qui venaient d'ailleurs, qui n'avaient pas de terre, mais un au-delà de mes yeux, dont on me soutenait qu'il était un sorte d’ailleurs semblable a la terre, image, mais radieuse, par rapport a laquelle les merveilles du monde qui passe, ne sont que des cloques flétries dénudant de sa terreur la douceur de l'immuable ... le regard de l'immuable donne aux yeux un clinquant, inimitable, quelque chose de violent et passionné a l’extrême tout en étant absolument sage et voyant, ouvert en tout sens, de travers autant que canoniquement, stablement, fermement établi dans l’immuable, contre lequel le temps semblait se fracasser et se dissoudre en lui-même, se résorber avec le mal qu'il apporter aussi et rejeté finalement, diluer de sa voie menaçant, déchue de l’être, résolu en son bruit, bruitant parfois l'attention, filtrant a d'autres moment de chinoises catégories, il me semblait même que c’était, ce message confus qui voulait défiler ma pensée de toute ces pesanteur, l'enlever ravie, se faire connaître d'elle, délivrer la pensée d’elle-même, rendre comptable la sagesse et l'absolue irréflexion, délie de l'enfantement de chair en esprit non sous forme de science ou de théorie mais en famille du vivant..... intensément concentré sur la moindre faute d’interprétation qui aurait pu se glisser dans une lettre d'amour....rrrardanchhhhéonraverméamjectébravelureaireœud

cela n'avait pas de fin , on aurait dit que la radio c’était mise a retransmettre la liste exhaustive des nombre premier, a dire l'unique nombre premier composé de tous la divisé par eux-meme, la premiere application métaphysique du discernement les epalant les uns après les autres tout en conservant le sens d'ensemble du nombre réel sur leur ensemble difforme..... les contradictionés globéons dans les machilles de painballés, ramassés sur les piges des mille noprunte d'aprimeur verrins, juste sous vernis lavie couchécroubotomisée, costumisé des théorine impersonalité, engendré du systeme des fausse couche contraind au sustain des nolife mondialisé ; enface béni dans les quart-tiers de petite bourgenerie d'on; blancharepasser le quark d'onde agrossir la marée ; ecollage de l'appargent durant quelque sannés ; puis vogue goutellute vers ton tirant d'eau plate ; a mesure se dessale les maingouilles de l'exproprié priahallique jusqu'au degout butal des clochures parentes du vide encensé; aucune distracture pourtant ne peut handiscalifier l'apodictique plénitude du rienégard versé ; rein n'avit dessoiffé le sable de la mendicité quand vint a l'heure du blase de la Mort-Nom l'éjansfert de place insigisante n'ontomme la parcellaire subtraction du stillate félicitant ; croit ce que satyrience ne peut dévoiler ; la porte de l'absurde profila son défilé Morija-golgothéon pétri de bleu mermure et d'illative joire en nage de verber ; on dervichibre du flethale cours de l'ex-pouls vers la gongante centrée ; mais le rare bu peau persista en sa plus haute polysibilité , de miradorer l'invisible goulag des fils de faire babeliant ; la sangbiance des lugions vernie aplani la voie du soufloeil au seuil de l'oblation ; les sept anneaux d'enceintes a inocujecter percés, seront mis au remises des matiere rejeté, par degout et aversion profonde qu'elles cause a l'idée de traverbal'ilsé proverbialement incontinante cité ; l'ab-sang pond la porte aux scellées ; c'est la mort qui défroisse l'inscience infusée des orbites caves de l'arbre structurant le néant de ce qui hante l’être, quand dernièrement il se retourne pour occire les fantômes qui le poursuivent, et qu'il traîne comme un chien des regrets, qui ne sont pas les siens, pas plus que ces poux, ses lambeau de chairs sanguinolent, qui couvre son corps d'un ocean de l'arme couverte de drap blanc ; le vivant chirurgien, le dernier squelette d’incompréhension, au doigts sur,  gisant définitivement au fond de la galette, la fève est dans le trou du temps un trou du grand vivant, ou Ground control méts-bas-Tom borique achevé de comprendre l'un par l’autre les détachement de son attachement essentiel.

 

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