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29/03/2015

Note

 

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Ce que ressentent les électeurs frontiste, comme la plupart des hommes vivant sur cette planète, c'est que la structure sacré du rapport libre au monde a été entièrement détourné au profit des douze apôtres du veau d'or : Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco, Deutsche Bank, BNP, Barclays; si l'histoire est sens, il est tres facile de determiner quel est celui de cette teléologie qui guide l'esprit de cette meute infame assoiffée de puissance et d’égoïsme absolu, qui ne grandit que de la suppression des libertés et veut répandre sur le monde le règne du désespoir et du néant qui fait d'elle la condition tyrannique du salut démoniaque par l'absolu inconscience qui la caractérise comme bête diabolique et difforme. Le secret bancaire s'est substitué a l'ontologie du mystère, et il est au plus haut point ironique, que le cours fatal du monde dans lequel ces chiens nous entraînent ne tienne finalement qu'au simple tranchant de cette interdiction que ces groupe ont réussit a imposé au monde entier, comme un interdit premier de cité ou de dévoiler ne serait-ce que leur noms (les demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des vingt-cinq plus grosses compagnies américaines tenant les actions des banques reçoivent toujours une fin de non-recevoir sous couvert de la loi du Freedom of Information Act, loi sur la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information, pour des raisons de “sécurité nationale”, qui mettent le profit au-dessus des ultime loi de l'ironie sans lesquelles aucune progression consciente dans l'esprit n'est possible ), avant d’être finalement refusées sous couvert de la muselière casuistique que ces grands groupes financiers armés d'une légion d'avocats a réussit a légiférer ; or légiférer c'est donner a l’idéal une expression dans la loi commune de sorte que chacun obéissant a la loi obéit idéalement a lui-même et se sent libre... se sentir libre suppose cette composition vrai de l'alchimie réelle de l’idéal... or c'est elle que la finance a frelater ; son vrai visage est la sophistique, l’ennemi juré de la philosophie et son faux frère en quelque sorte... la sophistique pratique comme la philosophie un retournement de l’âme, mais tandis que la philosophie tourne le désir vers l’idéal la sophistique détourne l’idéal du désir et s'impose comme sa satisfaction par le renversement du mécanisme de la loi qui élève l'esprit a la conscience de ses intentions , la sophistique elle, supprime la conscience en lui substituant l'objet de sa satisfaction industrielle et impraticable.

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