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07/04/2015

Trouvères

 

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Photo: Marc Yankus

L'imaRge éparse tout terroïde stratellite de l'Un verbanition scalaire d'ondes Epitemps pas encore fanées ; ne pa(î)sse l'infoiscelle au mord du bel habîMhors de téléphage, langue ur-née qui enserre les poèmes rireéns en tronssion défoliant; le pass-mot , coagulant des clef, vagit dans le cloaque immatériel de la substance passée; reste la queue de gamète, la voix des volutes a luné et dévolueaux rapesentrices pieRhissées du certipéde ; partout la Mieige liquoreuse couvre les électrodes des pôles - a lactose in fine ! - d'outre cela, le c'est jou(i)r, percé de l'idée de fausse bouche bée, le mont(d) timbrâle, débouché en lueur des somnuées, la vomîle à poindre égarée; l'éternhuilant reprisé reagréouviérgé.

Change le verbe contre tout soleil, le support vide d’idéalité, turbine l'imagination en feu, la chair mange songe, le mens cher songe a son idéalité, sous la sensybilline cendrée de fidélité d'apparence corporelle ; l'ob-jet du désir le joint distant, la solution dite continuée du jus tissu n'émaille la fuite qui dit : Un effrâle est conçu ! L'horreur du sortiliége chêne ce toril d'esprit, cette antisceptique certiflux sèche d'un corps pore en nage l’holographique livrée d'insubtantielle écriture; les liants sèment d'antique chairtitude incarnée ; l'écrit-vent a la lisière du corps, découlpe la silhouette du sens qui né que pour luire son herméneute chair murmurant l’arôme du ciel solide entre les feuilles de sans-thé ; avenir et passé pressent l’étau-logique d'un matériel certitude factuelle; et c'est le corps d'un trouvères qui prend la lumière quand il devient chas-parent ; au seuil trait un grand boire de silence... je ne peux pas aller plus loin qu'aux confins de la chair et du sentiment ou s’échangent la physique des ligaments, contre la certitude spirituelle du terroïde avenir... aux confins du dialogue ou la terre et le ciel échangent leur forme et se traduisent l'un dans l'autre mystérieusement … les tremblements de la chair inocule l'incertitude du sens qui mourant en pensée injecte dans la glande pinéale troublée le lit du fleuve sensé … a nouveau je respire directement l’idéalité du corps futur du sens incarné ... pauvre homme qui jamais ne veut comprendre quelle alchimique opération se joue en son intimité... repaire de voleur oui, marchandage au temple … occultation du sublime précipité.

 

Le coeil en liesse confusson murhum l'Un avant que n'ayonne plus sur luit les opérateurs logique ! de l’ourse éblouissaint peaulisse sa rognure de cri ! Etoile crût l’arbreuse naissante mort de l’œuf zoologique, la fin mort du temps s’en ampérant du fils d'histoire par les nuées de bobines maltaises ; leur deux m'heure au-duchesses de l'interrupteur quinquet ; v'abord en pierrier lieu accouché d'hydres mots ; nul ou reposer sa tête ; l'eucharstasie du pangluement sème rue pensive de glaïeuls illogiques.

 

 

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Photo: Ruth Thorne Thomsen

S'amour ur-git d'explicaïne tombe, l'invissable apparence filetée du parjure d'ipseité ; son heure est de tout temps, vertige a satieté, sa face visible d'asomptifs rodéo d’éboulement sur frondation de ruine la grandeur citée de l’être réel en bout de sève intégre le dit appartenant du seul connecteur logique du mot recouvrant l'entier par les.

 

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Commentaires

Correction respectueuse:

L'imaRge éparse tout terroïde stratellite de l'Un verbanition scalaire d'ondes epidemps pas encore fanée ; ne passe l'infoiscelle au mord du bel habîmhors de téléphage langue ur-née qui enserre les poèmes rireéns en tronsion défoliant; le pass-mot , coagulant des clef, vagit dans le cloaque immatériel de la substance passée; reste la queue de gamète, la voix des volutes a luné dévolue et aux rapesentrices pierhissées du certipéde ; partout la mieige liquoreuse couvre les électrodes des pôles - a lactose in fine ! - d'outre cela, le c'est jour, percé de l'idée de fausse bouche bée, le mont(d) timbrâle, débouché en lueur des somnuées, la vomîle à poindre égarée, l'éternhuilant reprisé reagréouviérgé.

Écrit par : barbara | 08/04/2015

L'imaRge éparse tout terroïde stratellite de l'Un verbanition scalaire d'ondes Epitemps pas encore fanées ; ne pa(î)sse l'infoiscelle au mord du bel habîMhors de téléphage, langue ur-née qui enserre les poèmes rireéns en tronssion défoliant; le pass-mot , coagulant des clef, vagit dans le cloaque immatériel de la substance passée; reste la queue de gamète, la voix des volutes a luné et dévolueaux rapesentrices pieRhissées du certipéde ; partout la Mieige liquoreuse couvre les électrodes des pôles - a lactose in fine ! - d'outre cela, le c'est jou(i)r, percé de l'idée de fausse bouche bée, le mont(d) timbrâle, débouché en lueur des somnuées, la vomîle à poindre égarée; l'éternhuilant reprisé reagréouviérgé.

Écrit par : barbara | 08/04/2015

correction / proposition / suite,

Change le verbe contre tout soleil
le support vide d’idéalité turbine l'imagination en feu
la chair mange songe
le mens cher songe a son idéalité sous la sensybilline cendrée - fidélité d'apparence corporelle - l'Ob-jet du désir le joint distant - la solution continuée du jus tissu n'émaille la fuite qu'en dit : Un effraîe est conçu ! L'horreur du sortiliége chêne ce toril d'esprit.
Cette antisceptique certiflux sèche d'un corps pore en nage l’holographique et
livré(e) d'insubtantielle écriture. Les liants sèment l'Antique chairtitude (in)carnée; l'écrit-vent a la lisière du corps - découlpe la silhouette du sens qui né pour son luire herméneutique murmure l’arôme du ciel - chair- solide entre les feuilles de sans-thé. Avenir et passé pressent l’étau-logique d'un matériel - certitude factuelle; et c'est le corps d'un trouvères qui prend la lumière quand il devient chas-parent ;

Écrit par : barbara | 08/04/2015

entre les feuilles de sans-thé, les seuils du fondé .

Écrit par : barbara | 08/04/2015

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