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06/04/2015

Voûte Balatine

 

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Photo: Erin Hanson

L'aveu nerf avide ma tiers traîne haut-mat restant et vitre les reliques peuplerais d'effrois qui pissent des cerfaux l'insubsistante fêlure, la lumignôle chine des défaillantes sentes ; l’écho bu spongia la hante dé-tairons des serrées mueurs d'inter-faim ; femme écrâne de l’étau les reins du beffroi ; les pensées pleurissent des taches bleues bergères du centaure ; leurs veinures granicorce la jatte anche des cors grenats dans l'incendie truand des sacres pucerons piémiettant les dièses orphelines des molécubes d’arômes ; nuée d'entre rogne les guirlandes charcullissent des sorbiers repas les sèves poussées des cris de racines dans la tubulaire des vers ad pâtres ; les saisons divorcent selon les cases conséquentes des plus lointaines grossesses que le printemps éventre de pollens démentant les flocons de l’interprétation du ventre ; les usines ajournent l'orée des bois; clairièrent l'ampoule de larmes fermes ratissées, et soufflent des organes de sang dans des perles de verre ; les cadavres reçoivent en fin de mois le prix d'administration minisérielle, dans l'ombre dans grandes bure krematique de rations orthonormées que l'on peut voir et dénombrer nominalement insignifiante, vomir a la nuit d’indifférence; après, ils morvent la robinetterie séminale du hagard dans leurs poches frêles ; des mains tâter l'industrie des sept mamelles fervent de louve mécanisée ; les hautes cheminées compressent l’atmosphère d'un bar comme si les voix de hautes pensées, chiffonnées , ramassées en buissons ardent, brûlaient a terre enclumé de jours en travaux; les hommes roulent leurs doigts de faucilles dans du papier a cigarette et les femmes dévorent les anses de cabas comme s'il s’agissait de cheval d’Arçon pour amazone fashion.

L'exo-plastique indus-trille la pyrolyre insubsantielle saveur de l'omnitologique gouteuse becquée ; le prédécoupé immatériel se presse tôt sans prendre le temps de ramasser suant la drome et la luzerne d'un ex-tête papilionacé. On y récit les hydres guindés des tailleurs de menhirs percé de mandorles ; et dans les faux bourg, le soir, les sentiments équarrissent l’ongle pèlerin des biomasses ; l'avenir est la matière du sentiement qui pisse des cerveaux l’écart d'un corps en rives de grandes pensée, acculé aux piles de durée industrielles, reproduisant l’ontogenèse l’étincelle libératrice qui coule un lait d’émeraude de la méthode immatérielle de la réflexion visant le pieds désinstalle amour enchaînée a l’intérêt capitaliste du cumulo-nimbus des décharges célestes ; la production mécanique sol pollue l'absolution des restes ultimes de l’immixtion des branches de la connaissance qui arbre de la fiente aux fruits des connaissances ; par le monde, entre l'usinage et le fraisage des pièces de collection, l'inconscience accouche de la monstrueuse conjonction de coordination de toutes les cosmiques inductions du cœur maçonnant le mur cérébrale de la tourbe qui n'aura connu que l'efflorescence des ronces de la confusion …. L'Internelieu: T’orras m'anger de tourbes du jarbain; mais pas de l'arbraissance du bienmal, car le jour où tu angeras, tu dégénésera ….. l'algorythme du poison remède, allume l'incendie de la connaissance luminant l'être rapporté a luirême … ensemble le plus grand par delà les rives du temps.



Commentaires

Mon doué !

Écrit par : hervé michel | 06/04/2015

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