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13/04/2015

oRaison préSence

 

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Photo: Michael Wolf

 

 

Enfile ce vocument, le saint foin l'a biblé, des les premiers salves du saint os montant en chair, ce sont les derniers traveller’source du sui generis ; deux vastres ages se répondent, s'attirent et se repousse, pour former l’intériorité du ton, le cœur indivis; la fragilité de l'enfance s'y pointe pour recevoir la candeur de la réponse qu'elle ne peut pas se donner ; et en ce temps rond en toi, se forme l'unité du ton, la langue de la création ; la langue de la beauté ou baigne l’être qui s'engendre lui-même dans l’élixir de la raison, quand elle exhausse le cœur a vivre selon sa perpétuelle clarté, dans le sens d'un accomplissement sans fin de son désir; j'avais comme un insecte semé d'imparfaite chenilles le longs de son vertige, l’échine parfois a mon bras jetée, s'emballait, et je croyais alors possible de la copier, de la reproduire... la beauté …. la comprendre !? …. vous imaginez la suite... la pousser le soir bourré dans les escaliers, la tirer dans la caisse entre container public, elle qui engendrait tout, elle qui était le prisme de Judas a travers la pensée, la vision du monde tel qu'il est, en sa parfaite et éternelle clarté pour bien éclairer ce puits, ce trou elle noyer en permanence la vérité sous mes yeux..... la qualité de l'air et de l’atmosphère engendrait la réfraction du vide chassé ; c’était la fin des ennuis, la mort des murs contre lesquels l'angoisse inventait des armes intellectuelles, pour libérer la pensée d’elle-même, libérer les facultés toutes soumissent, a l'impensable, au diapason de l'imagination échevelée, sans fin, souvent ardu, absconde et absurde, pleine de vertiges et de démêler avec elle-même, d’hésitation immédiate qui peuvent durer des années, mais suprême élévatrice, captivante faux de la mort perchée au croissant comme un regard solide, un clin d’œil des pharaons, sur une secrète pyramide de sphères concentriques, un cône d'onde carnées qui confinent a l’exercice de la perfection des plus hautes ascèses, armes spirituelles capable de détourner le mur a son profit, de le faire imploser, et du vide parfait de son inconsistance spirituelle retrouver, sentir dans le pouls effondré de l'enfant s'apaiser, s'étirer la bourrasque d'angoisse, comme la première fulguration échappée du premier contact avec soi-même, jusqu'à n’être plus visible, perdu dans le chaos des conséquences dont je ne sais rien, sinon qu'elles me retombent dessus avec la poussière du premier pas dans la lumière, et que son cosmos me fascine qui bat le pouls du vide, la plus longue pulsation qui fibre sur toute la totalité du temps... mémoire et désir si violemment tendus, de la gare a la maison sur la mer, si proche pathétiquement du parking, ou j’égarais l'éternité de la vie se percevant elle-même, elle même perçue donc, atomiquement, en son grain instantané coupé de tout, lié a son passé, mais tellement grosse de mystère, qu'a son approche les obstacles, les malheurs, et les douleurs se caillent et tournent a l'avantage d'aimer, de grandir la foi a l'infini... et de la redoubler, de la renouveler en elle-même … comme si par elle on accomplissait intérieurement, le premier temps de la mesure qui en comporte une infinité tellement prodigieuse qu'on ne peut la décompté autrement qu'en la saisissant a l'instant dans le concept de son unique lumière capitale dont il sera tenu compte dans l’éternité ou elle ne s’éteint pas.... l’éponge parfaite du vide inconséquent qui ne manque de rien..... elle renvoie la société a sa sieste qui ne signifie rien de plus qu'un vain bruit, rien de plus, …. la lumière n'est parfaite que quand on est seul... la se comprend le sens profond de la distinction kantienne entre le goût et le jugement esthétique universel et singulier, il est la forme de l’intériorité qui fait plus que lire la beauté du monde, mais l’intériorité qui luit en lui quand elle est seul avec l’Être …. c'est a ce seuil dialectique disait ce maître, qu'il te faut prier.... comme Descartes, il le disait sans le dire, et on a voulu leur faire dire autre chose pour combler nos besoins de pitreries intellectuelles, nos démangeaisons spirituelles qui sont le signe davantage d'une rouille au niveau des articulation de la pensées et du langage que d'une quelconque supériorité des interprétations laïque qui ne peuvent que se perdre dans l'absence d’être..... car quand bien même mon imagination serait en feu en permanence, combien même alors si je n'ai aucun être a ressentir je ne suis qu'un airain qui résonne.... un rien a qui on peut aussi bien dire qu'il doit chercher tout autre chose sur terre que l’Être, unique, éternel, premier et dernier.... autre chose ? … celui autour duquel le souffle s'enroule comme une pensée.... tout alors se contracte autour de se point qu'on a focalise, et de ce que présuppose notre cœur, nous verrons de la matière informe et insignifiance, germer nos plus grandes peurs... jusqu'à ce que nous apprenions a penser a Lui...

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