Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

15/04/2015

L'ordre hésitant.

 

701431507.png

 

Image: Jérôme Ruffin

 

Tels limaces aglomurées au pot civile, deux statuaires grecque par la rocaille scrutaient sans croire être vu, l’œil fée qui les devinait a travers le sirop buccal des doubles vocalises ; le cerveau murène l'azote des papilles, et la reptile sensation s’éveille, prise a la prise, la même merveille qui les scandalisera plus tard, pour qu'il s'évident de toute savoir et respire touche de la sensibilité parfaite la seule grâce de l'Être, réel et vrai, pour qu'ils s’éveillent, reprisés, sensuellement libre de toute attache terrestre au éternelle réalités pendant qu'ils balancent entre les vers malins.... l'esprit de vérité est en soi plus fourbe que le malin, plus fin que sa fourberie, et frise intérieurement l'appogiatique écrasement des plans d’évacuations du sous-soldes des données, attiré comme des lettres par la propriété des bibliothèques, retenant captive la parole, créant l’émetteur capable d'écouter, le prix de l'amour est unique, c'est la mort selon que tu veux la jouer ; c'est elle qui decide de ton sort, pas l'histoire du monde ou il te semble être emporté par une sensibilité qui n'est pas la tienne complètement, tout en étant partagée, par les prix unique, peut-être, vendu entre les parts de marché, comme une dette toxique, un atout de l’esthétique a jouer face au brelans éthique que les dernières paroles prononcées, ajoutent, a l'infini des conséquences éthique recroquevillées comme un nautile dans notre dos, le sac a dos du pèlerin, la montagne et la nuit, les perles qui ne cesse de scintillé malgré qu'elle soient éteinte, voilà un fait physique, astronomique qui pourrait presque servir de preuve ontologique a l'existence de dieu, croire aux étoiles perçues alors même qu'on les sait inexistantes et disparues depuis des milliards d'années ; la création est l’éclosion de l'esprit, c'est a dire d'une impossibilité, d'une faille de San Andreas dans la conception du conçu, qu'on peut suivre en camping car pèlerin, taxidermistes amateurs d'art pavillonnaire, traiteur de guêtres professionnel le cul de cuivre des comètes enchaîné aux taches des vachettes ; a rien on ne peut l’enchaîner, hormis lui-même, comprendre son délire c'est remonter a la source de l'Auteur, du seul que tous cherche a imiter, le parfait auteur du délire sensé qui vient a notre connaissance en passant par la parole vers l’être crée, l'instant réel en son efficience brisé, et ses fêlures de verre infinie et qui nous porte a croire et a penser que nous existerons toujours parce que le verre est vivant et se répare; tel serait le dasein d'un être qui réintroduirait dans la clairière l’œuf de l’éthique, la coquille brisée du délit qui engendre la qualité du réel comme conséquence incalculable sinon au calcul absurde du schisme qui ouvre la dimension de l’être conscient des conséquences dernières du présent quand la cause immédiate est reconnue a la fois absente, et possiblement revenue a elle par nos voies inconnues de nous.



Les commentaires sont fermés.