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21/04/2015

Liensibilité

 

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J’étais loin de toute distance numorelle, en ce lieu jaillit du temps et que le temps effrite comme une roche sombre plaquée sur la mémoire en geyser, la frustration du corps brisant l’idéalité du partage joue de mon cerveau comme d'une balle de tennis des deux coté du verre, pendant que j’écris et couche sous la lampe, la lampée du jour qui m'échoit. Je t’approche l’enfanuit dans cet hôtel délabré et vide, qui semble respirer comme un poumon de brique a chaque claque du vent ; les persiennes incisent le fond de l'envie d'une blessure qui ne demande qu'a parler, se dire, enfin, comme si elle découvrait une formule sacrée du sentir, sa saveur entière humée en plein dégout, fumée de sentir son corps éclore de la nausée d'un monde en ruine, palper paradoxalement le monde comme un gouffre inhospitalier et au cœur des ténèbres, ou tout est refus, ou tout s'entête a luire malgré moi, sentir arraché a la peau un chiffre tatoué sur l'avant bras, qui est l'eau désampoulée, pâle et grisante de l'aile saignant le nombre d'or du vol parmi les ombres et des terreurs qui ne peuvent ramener a des nombres, le verbe irrationné. Approche le matin, ou les arbres jailliront de la terre comme une fumée, comme on lève un voile, comme on révèle ce qui est en brûlant l'incomposé, pendant que dormirons dans l'inconscience de leur tourments, les cœurs durs, et insensible a la beauté de la chair qui est d’être vu vrai, plus que nu, chaire morte avant d’être vivante , vivante comme une grandeur harmonique et monadique, tout entière insuffisante et vide de son souffle, et puis, une autre fois, chair aune de la voilure gonflée a blinde par le vent, qui désamarre tout, s’atteint en ce monde comme ce lieu inconcevable ou a lieu le miracle de la sensation, qui se porte presque naturellement, a la gravitation personnalisée, comme un poids qui s'entraine lui-même, s'enfonce dans les dunes, de l'impression d'exister éternellement, de toucher du doigts le mystère qui résout en une pensée ultime, une douceur de l’âme que la pensée réveille, la présence autrement infernale de ce saint mouvement, intérieure du corps attaché a son détachement, proche de l'intime a travers l'eau lucide de l'infiniment distant, et de l'espace qui joue a trouver la profondeur et la surface de la chose réelle qu'est la peau, entièrement paradoxale, sans aucun regret de l’être, l'ayant pourtant déjà mainte fois regretté auparavant, mais présentement, affectivement attaché au rien de l'avenir comme a un lien indéfectible qui tient en son pli, un regret, plus grand que tout autre tache, plus impérieuse aussi qu'aucune des voies intérieures de la folie qui la démultiplie en légion de mutilés qu'il faut soigner, aimer, chérir comme s'il étaient nos frères, les morceaux d'un puzzle encore plus sensible, moins contrôlable, comme une liberté lancé a travers les sphères découvre les qualités et proportions successive de l’épaisseur spirituelle de sa chair éternelle, et qui a travers elle perçoit un monde ou elle n'aura fait que naître, une oasis de passage ou l'on a fait de son mieux, pour repandre un peu de cette qualité interne et propre a chacun ; cette conscience qui devraient être l'objet dernier de nos soins entre nous, et qui devrait definir notre lucidité en fonction des positions de sympathie qu'offrent les divers régimes de lectures prenant en compte les points de vue tout relatif et absolu des autres; a la hache l'art reduit en une œuvre, ce faisceau de conjonctions qui se recoupent et se heurtent violemment ; être lié exclusivement au tache économique c'est s'offrir a la lecture capitaliste dont le bien le plus precieux est l'outil de l'indifference, visage de la solitude infinie du trader qui est une figure bien plus mythique que jésus christ, elle parle plus puissamment, comme la personnalité de laquelle il importe a chacun d’être reconnu, une vie non conforme qui pourrait retenir vibrante toute la lumière chaotique, serait deja mieux pourvues pour soulever les failles dans les murs peu a peu conscient de la geôle cereales, le carcan cérébrale détend ses mâchoires en consommant, il est vrai celui qui se relève de la mort et qui le sait par un savoir transcendant, en rupture avec l'immanence, comme il se doit, donc tot ou tard forcement dogmatique, cru comme ne peut l'etre que le verbe dont on ignore ce qu'il peut prononcé, et si ce monde et ses horreurs est sont dernier mot, mot disjonctée pour l'occasion, d'apprendre le mode miraculeux de la révélation de l’être qui fait notre être au monde, est un nouveau savoir immanent, une bonne nouvelle a annoncer, que l'esprit, vit qu'il l'a prit, et a apprit de l'existence du temps le décompte absurde du dépouillement de la grâce pour une liberté consciente d'avoir toujours voulu être en rupture de dictature ; cessons d’être les tortionnaire de nous-même; l'amour saint ou toutes les bêtes s'abreuvent, il semble avoir pourri dans les caves, fermenté comme les champignons d’intérieur qui le recouvrent qui mycosent les visages atomiques de ceux qu'on aime, la personnalité première, et la peau paradoxale qui descelle la présence aimée, celle devant laquelle chacun se sait connu avant même que d’être, celle a travers laquelle il pourra recomposer l'intuition a partir de l'intention retrouvée, celle de se trouver en se perdant, qui fait comme un tissu de la mort d'un point du temps a un autre du temps, le brouillage de l'essentiel lucidité de l'inconcevable, de ce dont on ne peut rien concevoir de plus grand, tao de se perdre, jusqu'à vouloir en plein chaos, de soi-même comparaître devant dieu, pour retrouver sa personnalité, après l'avoir offerte en sacrifice, comme on jetterait la poussiere dans la lumiere sans laquelle les formes de la beauté restent secrete, invisible comme ensevellies a priori sous la cape que se dechirent des chiens, ils en déchirent l'idée, font un pas de coté, qui va jusqu'au tribunal des naissances ou est aussi enregistrer la mienne; seul un cachet spéciale de la missive, peut répondre au regret de ne pas avoir assez fait de son vivant, pour qu'il se taise a jamais, le reproche d’être et qu'enfin, ayant cesser d'exister, nous poussions envisager de parler des choses célestes (c'est a dire de la personnalité des hommes; un homme de loi boit dans le silence la curée d'un doute, il se dit, en son regret, non pas qu'il abandonne, mais que la prochaine fois il fera mieux et laissera au barreau s'exprimer toute la plénitude de sa conviction, avocats de la réalité, il ajuste les couches libre du vivre, organise l’être en fonction d'une solvabilité organique de l'esprit et d'une dette économique qu'il ne peut pas effacer, puisqu'il doit son être conscient a celui qui peut tout, qu'on ne peut payer a la manière des marchands qui voudraient se défaire de Lui, le rétribuer autrement qu'en engageant tout leur être a croire a son existence, qui laisse aujourd’hui passer dans demain, et avec eux tous les chemins de l'instant ou l'on voit la navette coudre ce qui n'a aucune raison d’être, dans la même atmosphère baignées de signes d'être digne de la félicité, dignement mort, d'avoir souffert pour la vérité et de se relever sain et sauf, de cet enfer dans l'aune insaisissable des cataracte vibrante de la grandeur ou l'on a aimer si souvent se laisser emporté par la candeur des ondes du délitement des fatigues et des vêtements de lassitudes qu'on porte sur l'atome, ou qu'on remue difficilement au fond d’étrange tranchées de boues ravinés par les pleures, milles morts misent bout a bout forment une chaîne mais pas une plan vivant et conscient d’être sa propre finalité, quoique difficilement reconnaissable, autant qu'un mouvement dans le néant, a moins que privée de repère on brouille la position d'un nouveau repérage, et qu'a nouveau on sente sortir de la terre, au printemps, les pousses premières d'une forme dénué de surface, la situation duelle, entre deux, intéressée de la peau.... la peau c'est du Schrödinger non pas seulement horizontalement dans l'entrelacs du montage historique que chacun se fait de sa vie, et qui ne porte nulle part si elle ne duplique celle d'un autre qui l’éclaire dans ses avancées, mais aussi verticalement, comme dans les associations libres ou l'esprit cherche a anéantir son propre principe de séduction, a retourner la lumière en elle-même, comme pour retenir la bulle impondérable de l’âme, l’énergie du néant, établir le plus grand contraste que la chair puisse concevoir, la chair lampe se demande ce qu'il en est de sa transparence, de son être quand elle disparaît, quand elle est zéro animation ; la nomination parmedienne chemine entre les colline de la combustion, tandis que l’équilibre de Pythagore brûle l’âme sur un lac de haut-plateau reposant sur le tranchant d'une flûte a bec, que le chaman mâche pendant qu'il trempe la pointe des flèche dans le cul rare, l'empoisoeilant l'hors d'un globe de verts tabac que n'use pas l'amour si on le porte a saturne et au sanctuaire de Wadirum, bouffées nécessaire de néant qui écartent d'un ecran de plongées l'importun in vivo, le monde usant de ne pas s'aimer, et d'organiser la politique sur le progrès de cette conscience, car sans la forme politique la conscience ne se projette pas complètement en elle-même, l'individu apolitique et le personnage publique ne peuvent pas dialoguer, ils n'ont rien en commun, pas plus que l'individualiste moderne qui est l'homme solitaire, qui a perdu le goût et les manières de conserver la confiance et l'amitié, l’âme tierce de ceux qui sont cher, ce sont des images qui n'ont aucun principe en commun, l'homme politique n'a jamais vécu la vie de maçon, il vit de la société que d'autres entretiennent pour lui, et qui le mettent en valeur comme une personnalité remarquable, qui ne se soucis pas pourtant de la subsistance comme le maçon, et ces millions de petites mains, qui façonnent a la sueur de leur front l'enceinte ou se joue leur sort, la cage, barreau d'heures après faisceaux de groupe, selon la division du genre qu'on nomme hiérarchie, l'envers de l’élan vital, la bureaucratie de l’arène politique, ramener la vie a un scandale, ils ne veulent pas qu'elles décident pour eux, quoiqu'ils veuille au plus profond, participer ou collaborer a l’œuvre humaine qui bâties les pièces de son aventures, dans les vieux greniers a chiffons de la races, mauvais scalpel pour penser la division, qui pendent inutilement a la dévoratrice patère sur le miroir, entre les manteaux de pelisse rousses de sa mère et celui de sa propre fille, il se souvient de sa propre fulgurance politisée, quand il percevait encore a cause de l'ignorance des forces réelles en jeu dans le monde, et parce que cette impression ne s’était pas encore complètement embrouillé en lui, la plénitude du vide intérieur, verbe établissant la communication entre l’intérieur et le dehors quand ça tourne parfaitement.

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