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28/04/2015

Orgue oeil et fêlamption.

 

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Périmmobile de la mapierre gravitaphonielle au cœur duviérgéflux de chaodanum, clama dans la trombométrie du vif aryolt trapercé par des chemiompatibles glangages de phyclique spinituelle arômétrie, chaque respirâlerie panta gnose l’egohystére par l'espace sans soutient.. il se rattrappea une bréchéquation … « Mon O christo choux bain d'omballisphére !! que de bide, l'Ubuquidité par ou seul le vencrit de s'oeil le facement de l'onscrit … et rien pour l'ohm housse que le mentaille de terrassouterrain faconnantle branchouffle de l'aïe prit aux poubelle technodulation de la fragmesthetique fêliaison du quotient épidermagnétique...mais intérieurement, il pense, encore en les voyant surpris... on les dirait de verre pris dans leur exactions … l'errance ascétique astique le nectars parlant... » tout repose au vide, tout resplire la nuée toile, pour qu'entrent les bris, le brisé m'ordre au sang passé... la mort délivre des écrans, du peintre elle haute le regard inquiet, aimant, dément le fils des échardes de verre qui déforment la pensée zoonlogique ; s'il s’ouvre le huit cresson c'est en rissonnant les degrés de sa sensible éclosion, au temps personnel de cuisson, cet écoutement du balais de paille sur la dalle de béton, le manche de l’œil prit sous terre, en bouture souche sous les racines qu'ils pourraient voir s'il cessait de croire qu'il les comprend, au risque de se perdre il lui faut déconstruire toute les mise en garde sociologique, tout le quand dira t-on de ta santé fragile, qui conserve sa vue au formol boutiquier, a travers elles, inattentive a leur organes devenue ciel ou champs et mer viennent se loger, battre de par et d'autre du Pô, le verbe et sa campagne qui s'enfonce dans les airs comme un nuage de confettis glacées; là n'est pas ta demeure dernière, car l'organe en formation a besoin d'un être avant même d'une maison ; ensemble ils créerons la maison d’être d’abandonce dans le sens de la lumière et de l’évidence d'aimer ; les matériaux disponible a cette œuvre sont aussi subtils que pesants, aussi opaques que transparents, on les dirait d'une manière non-humaine, aussi indéchiffrables que les causes de l'esclavage perdues dans l'inconscient rayonnement archaïque de l'univers, plus lourds que la tristesse sans plancher et plus léger que la sphère qui se soutient du vide de son explosion en expansion ; plus bas un arbre creux aux foudres pétrifiées, et son ciel ancien descendu en un jardin de pierre, s'agrippe a une mer fossile ou plonge ses racines, comme des tuiles de mer léchant les corolles d'or de yeuxplancher du printemps, et les radicelles qui suturent les étaminant débris d'hibiscus géants, dans les grands voyages de la pensée a coté du saule, un lauriers en langue parle a l’étang des écorces de terre qui furent projetées dans le vide avant qu'il ne pousse sur l’atmosphère l'humus décompose de la terre, le cri absence de lumière en ce regret qui est notre présent de sève ; de celle qui se languide de nid, d'essaim d'abeille a effrayer en jouant des casseroles qui envisagent de couvrir de gaîté tous les détours de la mélancolie. C'est le lieu du non-dit, le lieu de la pensée de la divine joie de con-être ou l'on ne parvient qu'en naufrageant, l'enceinte de la philosophie, sa grossesse, son espace, n'est qu'une seule vie, une eau de pierre que l'on voit ou pas, d'un seul jet réticulaire, ici le ciel est un mystère qui contient toutes les lignes de fuite et d’écoulement, c'est la vie après qu'elle vous ait écrasé et réduit a néant, c'est la source de beauté ou naissent et baignent tous les vivants. C'est un lieu confiné dans l'espace infini d'un cœur libre qui nous accorde toute sa confiance pour l'imaginer. C'est le verre d'eau que l'on tend au mendiant, c'est l'amour tous les jours tous les temps, c'est l'essence de l'art, la limite de la pensée, la synthèse de la sensibilité par l'esprit si différent, quand devenu frontière elle partage gloire et souffrance au même organe de feu flottant. Il s'enfonce alors dans une foret de signes noirs, que l'absence de feuille rend plus signifiante encore, il ne sait pas a quoi reconnaître les fruits, il lui semble qu'a vouloir s'enfoncer, il s’éloigne de la raison de ce qu'il cherche, et qu'il ne comprend plus ce qui le pousse et l'attire; intérieurement l’inquiétude se debat au moment d'etre démembrée, par la confiance et l'espoir fou, crucifiés de ne pouvoir trouver que ce qu'il perdent, comme il perd la route du jardin, son chemin qui s'efface étrangement de sa mémoire l'attise de telle indescriptible façon qu'il sait qu'une fois perdue, consumé de poussière, il n'y aura plus que la lumière noire du regret, et plus de route vers les cerisiers plein de chœurs il sait qu'il doit se perdre, vivre sa mort complètement pour s'en libérer, pour que s'allume d'entre les ombres serrées son amour immaculé, fidèle par la mort, a concevoir le ciel in mente, il sent au contraire, que la vie du jardin le quitte, que c'est le savoir du regret qui l'habite maintenant qu'il sait reconnaître les fruits aux feuilles, et qu'il ne pourra jamais retrouver le jardin ou tout était bon, quoiqu'il se sente toujours soutenu, exhalé et écrasé, retenu par la foudre du jugement d'exister qui pourrait tout aussi bien a chaque instant, le bouleverser entièrement et le récréer bêchant des rides a la lueur d'un front de ciel. En tel lieu dit, la mer sera toujours comme un orage sous verre, ou un œil jeté sur le cœur devenu transparent, une clef paisible et inquiétante, les chênes seront toujours ces croûtes de lave noire comme les milles paupières dormantes du silence, dont on cherche les grondements dans les prémisses du volcan, ici, les tilleuls auront toujours le volume exacte d'une pensée qui s’épanouit en sombrant, ils joueront a jamais aux verts dominos prés du puits d'obscures flammes ou a passé la mort de ma vie. Là est toute l'entomologie régionale de l'être. Le carrefour ou a lieu ce croisement nécessaire a la pliure de l'esprit devenu conscient, ce monde qu'on peut décrire comme la condition de possibilité du parlant décrivant le Vivant.

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