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30/04/2015

Rensaigner les momes parfaitement

 

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C’était quelques mois avant la glace, avant que dans l'herbier cruel de l’hiver figé, le temps ne puisse plus être retourner comme son rêve, avant de se rendre compte que l'espoir de voir s'effacer le temps, habite désespérément toute notre présence au monde, c’était avant, donc que le temps passe ne passe, et qu'avec lui paraisse, l'autre temps, son envers, celui qui s'efface et qui jaillit charger d'invisible espace de contemplation, vain toucher du regret qui prend du jouet cassé le montage des pièces de la consciente vanité, c’était au temps présent l’inquiétude d’elle-même dans l'ignorance après l'avant d'auprés, qui avait reculé d'une épaisseur d'os, et c’était bien notre vaine s'était ouvert encore a c'te heure ci avancées de la nuit, avant qu'il soit conscient, des horaires enquêtant par eux-même sur l’être entre l’après et l’avant.

Les crêpes sursautaient, faunes, entre les cadavres tragiques des westerns urbains, ils fallait compenser la métriques des ondes pour que l’atmosphère de famille gagne sur la puissance du poste de télévision ; des haut-parleur de police hurlaient en sourdine dans d'outre regions télégenique qui faisait au fond de la pièce et sur le vieux mur de briques rouge, de tomette, une boule magique, un œil reptilien qui clignait des paupières abondamment, son irisation, gagnait a mesure que déclinait le jour, et dans la nuit, quand tout s’éteignait, quand la campagne le monde disparaissait, dans le silence profond de l'obscur, elle luisait comme un rayonnement sidéral de la vie, la parcelle d'un astre d'une infini grandeur, un feu des caverne encore jamais embrassé, une machine capable d'imaginer l'histoire d'un monde désenchanté ou les histoire qu'elle contenait, décrivait, la raconter elle-même ou l'oublié de très diverses façons; l’écran resplendissait d'une réflexion physique parfaite, fasciné par ce ballet extraordinaire de photons maîtrisés, comme des prêtres d'un seul tableau digital, d'une église dématérialisé, nous nous tenions adorant l'outil de la transformation radicale en nous-même, absorbé de dévotion par la Toile de toutes les toiles possibles et inimaginable par la fenêtre de cet outil fascinant qu'est l’écran, fond transparent, hallucinogène puissant, œuvre d'art parfaite, qui marche comme un candélabre vivant dans le redoublement intentionnel de la sensation, son possible renouvellement infini, absurde peut-être, qui dans une maîtrise parfaite, scientifique des éléments, produisait un espace de tension fractal capable d'engloutir Ulysse a l'heure du JT et des sirènes de polices hurlant robotiquement, des ordres d’aller se faire foutre pendant qu'on assassine impunément, ou de nous faire partager son voyage ou chaque soir il parlait du foyer autour du puits de parole, la communauté, pour écouter l'histoire de tous, alternait les premiers plan lyriques et leur contrechamps de musique martial et de groupe, ou jouait par des groupes, le groupe c'est comme une mécanique ou advient la parole, les mots a la bouche, la langue a la conscience, l’épaisseur de la pensée recouvrant parfaitement le corps de toute sa transparente ignorance, ou celle du peu de linge que tu portais ce jour là, et celle qui encore se racontait, l'autre histoire, celle a propos de laquelle au moins tous nous étions d'accord, l'histoire qui raconterait la naissance dans le temps de l’éternité ou elle trouve aussi la mort ne pouvait être qu'une pure et complète absurdité... mais précisément c'est ça l'accord de la religion, le ton pathétique de la conscience qu'elle donne a l’élément graphique de la pensée quand elle se décompose au rythme de la machine a écrire écrivant a la machine a café qu'elle la réfléchissait beaucoup, physiquement en soi, profondément ensemencé en ses tourbillons par des nuit de cristal qui ont vu le jour sous un autre feu, ou tout n'est plus que verre et tuyauterie infini dans l'immense usine a gaz, les belles celle des séries télé, ça remplace avantageusement la culture quand on doit faire face a l'écran, au dévoreur qui absorbe tout comme un trou noir géant, l’œuvre d'art parfaite, avec laquelle aucune ne peut rivaliser, l'instrument de l’énergie, le verre luminescent, et ses spirale capable de conserver identique a elle, sans aucun support autre que les lois de l’énergie, la présence de l'apparence d'une chose qu'on prend vite pour la chose elle même ; c'est la kénose format de poche, ouvert par tous le vent, au recueil incendié des brûlures cassis sur ses reliures de métal entre ses galbes plastifiées, ou l'automne s'enroulait transparent; il les feuilletait le soir d'un œil renard, ne sachant trop ce qu'il cherchait, certainement, un refuge, un espace dans les mirages du feu ou se décollent les apparences, avant qu'elles ne s’éloignent et ne se figent a nouveau dans la glace, un asile, une folie cohérente propre a étourdir, a démonter quelque crispation intérieure qui pesait sur sa respiration mentale dialogue les teinte fauves dans la brume; il se plongeait dans les livres pour lire, pour être déranger, pour déloger et sublimer les fossiles du temps en toutes sorte de gaz composant l’atmosphère intérieur d'un acte qui mimait l'absolu ; l'eau de la fontaine ne guérissait que quand elle était troublée; et la lecture ne composait qu'en apparence un ordre qui secrètement se nourrissait du compos de ses terres intérieure ; en lisant il devenait a la fois le créateur et la créature, ce qui le plongeait dans des état de rêverie absolu, le laver de toute réflexion univoque ; le rêve envahissait son corps et transformer son ancienne sensibilité en une pensée qui consumait le verbe en sa présence a soi.

Les premiers mots présents projetaient dans l'absence d'espace et de temps, mon être qui se découpait dans l’algorithme d'ordinateur, a la dentition d'une image pensée et pensante, simulacre métaphysique produit par une machine qui incarnait pourtant bien une part du savoir désincarné de l’énergie qui habitait les hommes d'ondes et paroles sur les morts et sur leur sort leur qualité éternelle, mais avec l'outil, le plan parfait de la créativité ou l'absolu est la matière de la liberté de représentation, il avait voulu faire autre chose qu’éclairer, aussi y venait jusqu'à son bords évasé, en irisant sa surface une eau intérieur au tunnel qui frôlait des coudes les bords du cristal et détachait de la lumière la manne qui une fois en mains couper court au sentiment, de sorte qu'on apprenait du toucher que ces doigts qui disparaissaient, étaient devenus aveugle et sensible en même temps, mime du modèle transparent, parfaitement gainé de blanc fuseau face au totem ontologiquement lucide de toi; certains spectres ne disparaissent qu'en étant convoqué par ce chant hanté qui résonnait, encore en toute parole nécessaire pour faire trembler l'eau de la conscience un peu plus loin que l'univers.

Ai je déjà parlé a un ordinateur?

Si l’hantologie brute et l’hantologie résiduelle incorporent des traces réelles et identifiables du passé (samples, craquements, effets de production…), l’hantologie traumatique incarnerait la partie du courant qui ne crée pas à partir d’une trace auditive du passé, mais à travers les répercussions traumatiques des souffrances présentes.

 https://www.youtube.com/watch?v=AVr5FEeyQ5o

 



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