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09/05/2015

Note: un sentiment nouveau

 

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Puis il dit : allons comme le lion au bout de l'insilence des ténèbres, revêtir notre argentique peau de convers sous les bancs nénuphars de son Nil imagier; chaque picotement est un concert de cordes et de vent qui écartent la venue du vent dans le tuyau des grandes orgues de l’élucidation extensible des passages du temps ; vois le devenir puisqu'on n'est plus au temps du théâtre mais du cinéma, comme nous en somme paradoxalement revêtu du ciel kandiskien d'une dépouille incorrigible a nos yeux; lave vitre et chiffon, sont les deux voix accessoires du cœur qui bat le pavé des souffrances fragmentant la pouls plus profond de l’éternité reconstitué.... c'est certainement ce parcours qui se nomme le wake et qui fait de Joyce autre chose qu'un déconstructiviste, parce que précisément ce qui est en jeu dans cette ruine du langage ou s’édifie une autre idéalité, c'est disons l’énergie supérieure de la foi, vécu comme ontogenèse de l'ipséité qui se reconstitue a travers et au-delà de la souffrance dissolvante comme atome d’éternité et temps vaincu.



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