Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/05/2015

Scyne

trim.jpg

 

 

  Voici, les premières ampéres luxbrifiées du zoame lampion prisent au voici symbiolique du Bleue Ceci primordience, sans intermédiaire d'ecoute, langue au deux oreilles abouchées qui troublent d'esprit, use la joie des cordes devenues chair du temps et du monde, la satisFraction de la dégluetition cosmique des pelotes; le don est l'effort entier d'acquisition vaine par l'éproux du verbe qui amorte la connaissance de l'irrasoleil d'une chiquenaude scintillante dans l'incomprehensibie des peines ou par le plus grand renoncement, les voyageurs découvrent les plus profondes racines de la conscience et des trans-parents du proche défunt descendu comme une main de lumière fouillant la nuit sans cause et sans fin du néabre et qui due renoncer au tractuitre constellé de son hérielé brouillé par les ailes de son pantalon bergbach a sch¨ne, de mozart aux sex pistols, devant le trounid de la définiture streapsique du poèctral devenant, work in production de la struction physique du néant l'objet virtuel qu'est l'objet physique, nommé faussement Chose, parfaite illusion, que le chevalier quantique combat au nom de sa religion au réalisme copié sur les grandeurs paradoxales de la subjectivité d’où fut arraché l’âme, jetée, non au monde, mais a la pleine et entière présence de l'aimé, perçue a travers l'infime inconnu des œuvres de foi en la barbarame des saints tombés du jacuzzi comme un cachet d'aspirine, au moment ou les bulles magnétiques de la pierre de Gilgamesh percaient l'introïsion des demandes a sortir du timbre des formules pour tambouriner aux versants informes des averses sans solution, les ruisseaux de blessu(tu)re emplissent les fascistes fâchés, leur centour du trou est un sensible, devenu inaccessible, le sol de chair palpitante c'est déchiré, ils sont devenus schizophrène et ne voit que pierre tranchantes partout ou c'est le di(e)urprenant qui l'emporte sur eux-mêmes et non eux-mêmes cosmivant, réunissant les plâtres qui réparent les implants, laissent de leurs emprunte des bouts de ficelles infini attachés aux moments clivant de l'existence qui réagissent sur toute l'organisation du son devenant corps et mer, revenant de ses zombes par flux et ressacou chausse l’indéfinissable d'une matière oscillante, vibrante, lié au statut de l’ipse, de l’événement personnel d’être auprès de la toute présence physique de l'aimé et du caractère éternel de sa présence qui s'annonce quand le devenir sans fin se suspend en beauté, au limite entre l’immatériel et l’étendu géométrique, la ou l’é(N)tendu s'effrite jusqu'à se dissoudre dans la plus grande abstraction possible du mouvement, dans l'instrument de l'univers qui s'agite, par leur rencontre dans l'accidentation du temps, l’éclat de la collisson, fait naître la musique du clomage, le concert miramimage confusifflou du vivant préméditant son immédiateté, (certainement un meurtre pour vider la scène du conscient), pour traverser le temps.

ras.jpg

Les commentaires sont fermés.