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24/05/2015

Il y a 0 minute.

 

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De la lune au modèle une torah formation fan à vue, anesthésiant tout type de décros des velcros public d'affinité atomique des chairs Jésuites ; le voile pudique de peinture statique s’électrise autour de l'iris, le grand feu s'embrasse en dégageant une étude de la lumière par la lumière, une dioptrique saillante d'arc lumineux, s'arque boutant d'un ciel dernier de mystiques apparences a l'autre en décomposition de la langue première de la transformation de l'intelligence épuisée, langue qui ne cesse de bouger, comme se débat l'intelligence asphyxiée pour éprouver l'intuition de renaître de manière encore plus intérieure, éprouver de manière encore plus profonde la certitude éternelle de la vie sous la forme d'un sentiment occulte et inconscient, qui ne se voit que périr dans l’épreuve du redoublement, et non, ressentir l'essence merveilleuse de la vie, remonter et descendre d'un même mouvement, dévoilant une ethnie sans couleur de peau, dans l'intersection distanciée de la fracture temps entre l’écriture proche et lointaine de la présence aimée, a travers le passage du partage, l’écriture ramène l'un au double des clefs de l'appartement mettre des yeux au cadres habités, de focales zoomorphes passés sur l'optimisme naïf de la grandeur absolue de la beauté, celle du vivant, dont le sentiment d’être se confond avec celui de se dissoudre déjà dans le connaître, de s'absorber dans l'abstraction, pour permettre de se récupérer, de se rejoindre soi-même a chaque fin de mouvement, le film tournez encore dans la bobine quand je suis entré, je fus sensible au grésillement de la pellicule froissée qui dansait en butant contre les bagues de focale, mais lent a m'accoutumer a ce tremblement.

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