Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/06/2015

My sentimental archive

 

 

Marcus Jansen,,,.jpeg

marcus jansen

Marcus Jansen,,,,,.jpg

Marcus Jansen

 

 

Pres du Pole d’entraînement des effets de chaînes nous avions embarqué une pédale d’échos, qui passant prés d'un chantier de bande passante en construction sondait les rêves ubuesques de Soho, immeuble grand chevalier a armature de verre et effets contre indiqués ; il y a quelques mois les éclusiers avaient plâtré la brèche avec des images en noir et blanc de stars du sport des années soixante-dix qui dansaient dans la lumière. Intrigués par la façon contradictoire qu'avaient leur images de se laisser imprégner par ses couleurs qu'elle semblait n'emprunter a rien d'autre qu'a elle-même, nous nous sommes arrêtés au bloc opératoire ou d'un homme ouvert en deux, un chirurgien sortait un filtre de gitane ; la date était précisément flou mais une fois photographié avec les ondulations de pâte sur le papier, ils semblaient - les échantillons physiques ultimes de leur journée à gauche de la météo en atteste - que des rides perpétuellement entamées frétillaient encore comme des cordes a sauter. Dessins à vide brillants de vents contraires, la capture d'images inverse la tension un moment, envisage l'avenir dans l'effondrement, ou plutôt par et a travers l'effondrement, ou l'on git comme en une fosse profonde, une tombe d’où sans foi on ne sort jamais, et renverse le sens de l'action, l'inspecté luit d'occultes accroches a la nouvelle action des photos suivantes De Texas Oviatt et Joshua qui depuis quelque temps cherche quelques bons plans intérieurs comme un complément a la fonction Cote De Texas. S'il vous plaît d’utiliser le lien pour plus de photos de sa maison, choisissait d'ouvrir ses coordonnées sous world et une fenêtre word augmentera votre réalité des cercles d’Héraclite des moulins qui ornent sa magnifique maison a vent ! Enfin , un merveilleux , propre et contemporain usage des lignes aux pays de la purée, très chère pétunia notre perspective d'avenir était perturbé autant que nous vous le souhaitons meilleur au chemin, ou soudain le paysage prend forme, se fait magnifique et le voyageur insignifiant a l'approche du Père des lumière qui bruit sa peinture dans une tension particulière de la conscience, quand prend fin l'ignorance de la valeur absolue des sentiments qui tapissent les boyaux de ce monde comme un étendard de tripe offrant l’éclat de l'or et le gout des oranges portant a l’écorce les motifs caché, surprise de son piquant, l'idée de ce déplacement du fruit de l’ascèse rayonnant autour du solitaire râteaux des sillons, croque et se ressouvient de la pomme; sa trace est resté tissée au fil arachnéen des nuées de lien brisé que nous traversons au contact des lumières, chaque ruptures de fibre renforce, la tentacule cosmologique qui se recoud, ailleurs autrement, ou se referme sur nous comme sur sa proie; seul un être solitaire dont la faillite a fait naitre des rêves qui sont devenus vivant de la compagnie d’électricité, exigerais que nous payons les arriérés, les murs du temps, baillé au préteur sur gage, et ses hangars d’hypothèque devenu triste et morne, vide sur vide imbriqués, qui incise la vue en instillant le dégoût des vanités, qui en brulant, libèrent la substance d'insouciance a jamais des vers de cerveau tournant a vide entre les nécroses du rêve objectif et l’âme de l’événement réel de l'Absolu pleinement délié, offert a la vue, ouvert a l’ébréché de la lampée baignant dans la roche de son sang suivant le wake. L'invasion du froid dans l’échange, dénature la pensée, la rend objective, incapable de laisser palpiter les mikado ancillaires du rapport aux organes divin de la respiration, sensible aux boucles brisées de l'exploration de la surface terrestre flottant dans les parfum d’évangile des belles de jours ou fleuri la rupture dépressive d'un fil de la lumière nécessaire a la représentation objective de l'élan surgissant de la tombe ouverte des mots; de l'espace obtenu à partir des cercles ancillaires, un siècle sang incube interminablement son jus a la surface mortuaire et mazouté de mire noire qui remonte du bassin en nous comme une sphère, une demi lune en papier collée sur une gerbe de chambre à air, échoué contre une stèle bouée de gaz, gravés d'inscriptions qui sont mon secret, qui par certains joints fuit l'azur chair de Pile concentrationnaire, qui sémantise la douleur en lumière, en croyant en l'écriture du destin qui seul laisse une trace dans le souvenir, de la pensée humaine qui broie tout au noir en traversant le kaoms sur le dos de la pulsion. Par exemple; un « mug » en un « doughnut » chez les anglo-saxons. Comme dans l’animation ci-contre à gauche, tirée de la Wikipédia anglophone. Nous parlons bien de déformer des figures dans le plan ou dans l’espace, pas des objets physiques : pour transformer une tasse en beignet on aurait bien des problèmes, ne serait-ce que parce que la matière qui la compose est rigide, chimiquement distincte de celle du beignet, et même leurs masses diffèrent. Pour les figures correspondantes, c’est plus facile, on peut faire ça dans sa tête ou en dessinant, ou même avec de la pâte à modeler (cette dernière nous oblige à conserver le volume). Quelles sont les déformations autorisées ? Ça dépend du problème que l’on se pose, mais en règle générale, on s’interdit de déchirer l’objet. Ou d’en coller des parties.

 

Marcus Jansen,,,,,,,,.jpg

Marcus Jansen

 

Les commentaires sont fermés.