Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/06/2015

De lineis

 

Stefania Laccu.jpg

Stefania Laccu

Les magnets iconiques des enfants, dont l'haleine avait des relents de frigo, des super héros marvelien, tapissaient la porte des revendications inconscientes du rêve envers les abus du destin quotidien qui collent aux cerveaux comme la mie aux dents de ceux qui sont bras et jambes liés par l’ère de l'exploitation consciente du péché, a leur cœur; l’époque est indépassable collectivement, parce que la conscience permanente du péché qu'elle suscite et refoule, n'offre aucune perspective qualitativement autre, aucune autre manière de vivre ne semble possible qu'en étant d'une manière ou d'une autre injuste envers autrui, aucun passage possible en masse n'existe pour entrer dans l’ère contraire de la non-exploitation qui signerais la fin des abus, a moins qu'il n'y ait méprise, car ce projet est né d'un désir qui ne trouve pas dans la société son terme, et qui signifit bien autre chose qu'une palte reconnaissance sociale convenue, qui le reste quelque soit les modifications qu'on y apporte, alors que seul le hasard et le destin peuvent lié les etres, et que l'injustice, le mal restent des données irréductibles de nous-même en ce monde, et plus nous en prenons conscience, plus nous nous défigeons de la stupeur première contenue dans une telle révélation; tous les rapports humain baignent dans le désespoir, ils y puissent au puits sombre de leur noirceur inexpliquée, la force pour leur ombres inspiratrice qui tournent dans leurs têtes échafaudées de sortilèges d’où le baigneur pourra plonger a temps, pour ramener par les trous de la bande magnétique, au quatre heure de la seconde navigation, une tranche sédimentaire du fleuve de la vision et il verra qu'il n'existe au pieds du feu que des percées individuelles des trous dans le gruyère grouillant de lombrics rouge acier qui mangent leur repaire.

En peinture : la difficulté c'est d’arrêter l'image, d’arrêter le flux sur une coupe suffisamment harmonique pour y déceler l'abolition d'un chaos antécédent, évacué a l'emporte pièce par l'Amour, dont l'image est a la fois, la forme et l'œuvre vivante, car contrairement aux images de cinéma qui nous ont brûlés les yeux, l'image en peinture est vivante dans la profondeur éternelle de l'Instant, la plénitude de la résonance intérieure d'un tableau, couronne l’émotion parfaitement consciente du chaos qui l'a précédé et qu'elle a vaincue. L'organe est un achèvement, mais la perfection de l’œuvre réside au-delà des organes dans son âme neuve.

Marcus Jansen,,,,,,,.jpg

marcus jansen

 

Les commentaires sont fermés.