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05/07/2015

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Brett Amory

 

Les habitants de Sky discutaient de la météo des rêves avec une passion toute rimbaldienne pour les trompes l’œil, les cache nez et les double mire qui souvent les faisaient dévier dans la bouillie conceptuelle du placenta mal entendu; l’immatérialité demeurait la révélation tragique du sublime malgré eux, et cela suffisait pour convaincre les esprits, que l’immatériel mobilier de la demeure était fait d’immobile matière demeurant du mind flottant, l'esquisse fuitant se cacher, se terrer dans son parking renversé et complet nocturne. Ce que demande les migrants, aux esprits chavirés, eux-mêmes glissant, mal assuré, c'est la reconnaissance, la pulsion la plus fondamentale de l'esprit fini qui n'est rien, n'est tout simplement pas des lors qu'ils n'est pas reconnue existant sur cette terre ; ils frappent a ta porte pour te signaler sa présence en eux; bien sur il attend de l'aide parce que de la ou il vient régnait la mort, la reconnaissance inversée d'un monde fou, ou lui, qui est une part de dieu tout comme toi, n'a aucune place sur cette terre, soit que certains l'on ainsi décidé, soit que les autres s'en foutent ; c'est l'esprit de dieu qui frappe aux porte de la charité de l’Europe ; l'esprit n'est ni l'argent ni l'effort que cela peut te coûter de répondre a cet appel brûlant de l'esprit, mais le dépassement d'une insupportable déréliction qu'au fond seuls les saints supportent gaiement ; mais au parlement, la réalité est tout autre et il est très rare que les discussions dépasse le corps étroits des préoccupations d'argent... comment l'esprit pourrait il s'installer dans d'aussi étroites frontières et résoudre le problème des migrants qui est un signe de la tache de notre époque en ce monde qui se porte d'autant plus mal que le principe de reconnaissance s'effondre alors qu'il est posé et discuté en de tout autre termes ? La réalité est un trompe l’œil, et il faut apprendre a lire en elle les vecteurs d'une extension réelle du domaine du cœur qui est la plénitude immatérielle de l'esprit reconnaissant, comme la figure de Socrate l’était pour qui recomposait, fasciné, la beauté de ses traits sous ses formes monstrueuses, comme s'il avait été le père d'une filiation qui disait qu'elle ne lui appartenait pas, et qui ainsi, artiste suprême, modifiait la sensibilité par l'intelligence, forcé le paysage a coup de suggestions et d'une certaine matière nouvelle de la compréhension éternelle, qui n'avait encore jamais exister, une qualité que les hommes ne pouvaient revendiquer par la force, un état subjectif de matière amoureuse « culturée », conscient d'être naturellement « cultivé », « porteuse de fruit », une réalité autre de la culture, une image du père de la nature sténographiée de la culture de l'esprit, une co-naissance qui a sa pointe de pyramide renversée dans la crainte de dieu, la pointe de l'information sur ce que tu as a cœur de protéger, car on ne se renseigne que de ce qu'on aime, et les terreurs et les tremblements portés a l'effectivité d'une conscience en paix devant dieu, être rendu dialectique a la plénitude du temps donné pour chaque être sur cette terre d'être reconnu ; sous les problème alimentaire, financiers, idéologique du monde, sous chaque conflit explose et pourri l’impossibilité d'une reconnaissance qui si on veut dire les choses jusqu'au bout, n'est réelle qu'en dieu, mais qui possède autour de la planète une épaisseur variable comme varie l'estime du créanciers dans l'esprit du voleur selon qu'il lui rend son du ou pas. Sous chaque migrants vit un dépossédé de la reconnaissance spirituelle qui lui est due, et c'est elle qui le pousse, et la guerre qui le nie. IL ne veut pas prendre ta place, du moins pas encore, il ne le voudra qu'au moment ou il se sera trompé tout comme toi tu t 'es trompé quand tu as prit le chemin du monde en oubliant étourdissement éternelle de la fin en dieu. Mais ce qu'il veut c'est que tu le reconnaissances, que tu reconnaissances son existence, et pas seulement pour l'exploiter, même s'il y consent pour t'agréer et susciter en toi les premiers élans d'amour après l'effroi de sa révélation soudaine sur les baies de l'étang nostrum. La reconnaissance est l'extension réelle du domaine du cœur, toujours en lutte avec sa propre image fantasmée ; c'est le contraire de l'excitation sans fin, de l'exploitation de l'homme par l'homme, la personnalité opposée au pigment sadien d'une hystérique saillie, la personne d'un état de paix profonde comme la confiance absolue, et l’obéissance au devoir inconditionné d'aimer par lequel on ressent la plénitude de l’être, bien autrement qu'en interrogeant en huissiers analytiques les propos de chambres des gaziers physiciens.... la plénitude ressentie malgré les imperfections patentes de nos conditions de vies, s'acquiert a chaque instant, s'offre a l'exercice réciproque des questions et des réponses sans fins, qui révèlent des pass sublime entre des obstacles infranchissables, vers des porches de bienveillance qui jettent leur feu sous tes paupières marines de vieux bourlingueurs fatigué. Frotté comme un croûtons a l'ail de tous les siphons bleu diurne, l'aube à la main ; la colline – en fond de course renverse un phare, au revers de son rêve mis a sac un bref instant de lucidité totale, court moment de la lueur du phare léchant l’écueil luisant qu'il faut a l'imagination pour construire l'image de sa perte, cuire pénétré par l'impact des rythmes a plier la lumière grandeur nature. Une passerelle à des mouvements de créativité à partir des herbes de clavicules fraîche et la lèvre canicule la terre lointaine d'un bord de ciel basculant de la falaise.

 

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Brett Amory

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