08/09/2015
Les causes du cauchemars
oliver-vernon
Quand j'avais sept ans, Ahmad, m'a dit en sanglotant, que la décomposition de son légo n'élargirait pas l'étendue de ma vue.... étrange phrase dans la bouche d'un gamin de sept ans, même couronné de chandelles fondantes et shooté aux vapeurs d’aérosol ... devanbas, en bonne nurse, colla son oreille contre le rail et perçu le rythme des guerres claquant de tous ses os, l’éther historique dont la naissance etait bouchée, obstué par cet obstacle intérieur de l’égoïsme réfractaire qui par peur refuse de s'abandonner historiquement a la confiance en l'amour ; la moelle rance se piquait de courte vue, qui développé l'attente et l’espérance a la dimension de celles nécessaire a l'a fabrication et a la digestion d'un hamburger.... cette trouée ou s'ouvre la conscience, autour de l'instant, ou jaillit l'opposition entre le gain et la perte, et leur trame, souple farfois, comme histoire, dans ces moment heureux, suivant les flux entre les polés de la distinction vers le changement de plan, la subvertion radicale de la conscience laissant tomber sa créance en un bon nombres de niaseries humaines, et s'attaquant a la plus tenace, celle du savoir, tant qu'il rater sa cible et passer a coté de l'obejt paradoxal qu'il devait decrire, et pour lequelle lire reviennait a apprendre a boire l'orage de la colère.... le chimpanzé se mit a faire du trapèze avec le mat du chapiteau, a refaire a l'envers le mouvement paradoxal de l'ontopoetique cadavre du souffle coupé de la lecture. Mais toute lecture ne sous-entend pas cette référence a la performativité radicale de l'exister dont chaque instant dirait Kant est comme un absolu commencement.... qu'il s'agit de lustrer a l'infini, comme on frotte la lampe de son vêtement..... mais devanbas s'égarer dans ces attractions abstraites, ces milles et unes nuits de satellites rouillés circulant dans les trou noir de la pensée, comme des astres conceptuel, des paquets de molécules abstraites ou agglomérait par la vide d'air, se condensent les bras et les mains de fumée du psychopompe sondant l’abime de sa parfaite impuissance a sentir le fond du lac, par la pointe de son pied qui agite et rayonne la complète totalité du genre qui nous échappe autant que nous en avons besoin pour nous « éprouver » Entièrement, libre en l'Exigence, « comme » possesseur, (c'est le « comme » de la prémisse qui est important!le geste absolu sans matière complète, peut pourtant être parfait comme geste ayant une valeur absolue et éternelle ; a moins que demain le paradigme christique puisque s'effacer de nos consciences, et que l'histoire puisse malgré tout tout continuer sans lui ?) en ce devoir absolu d'aimer qui précède tout et qui est notre foyer; la teneur élastomère de la conscience éternelle (immortelle ! mais pas indestructible disait Socrate!) dépend en partie de la qualité du plastique dont se fend la transparence sous la dépression du plus vigoureux effort... allez bordel ! encore un effort et vous aller les aimer ces putains de migrants, ils sont le motifs concret d'un mouvement, l'offrande de la misère a notre sèche compassion de facebookien résonnant moins que l'airain de mass media, (tiens ?... toi t'as gueule elle me revient, ou pas... pure expression du refoulement, expression du partage et non du choix, du seul choix qui convient) malgré leur nombre impressionnant, ils ne sont qu'une infinitésimal grappe de l'humanité entière quand tous seront présent a l'appel de la souffrance, et que ceux qui ont donné le verre d'eau auront pour récompense le bonheur du ressouvenir éternel d'un tel acte prit avec tout ces risques matériels ou s'enfouissent nos conscience endormi... Dieu vomit les tièdes ! …. et malgré leur nombres chaque cas est une part entière de notre salut... le salut par leur misère... il sont l'huile dans la lampe des vierges, ils sont le récits incarné et vivant de la guerre et du vertige de nos livres a verbiages désincarnés, ils en sont la chair....
Justin-Mortimer
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