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17/09/2015

New organon

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doug argue

Entre deux écoutes, nos deux savants s'exfiltraient de leurs labos et couraient les bois en tous sens ; … essoufflé en haut d'une rude pente, accroché aux racines de quelques chêne millénaires, en se penchant sur le vide, montrant du bout de l'armure, la ville, devanbas lançait a Fouine …. « toute cette machinerie est au service du plaisir.... et déjà devrait nous mettre en garde le panneau d'interdiction de définition qui s'affiche en beauté sur les murs du non-savoir esthétique et de l'ignorance consciente qui est l'image nocturne de la lumière, quoiuq'elle nous paraissent immediatement et seule réelle.... inversons l'inconscience, retablissons la vérité sur le monde et sur l'homme, commençons par la beauté de l'inconscience qui se laisse prendre aux filet et permet de trouver un point commun entre le pathos et l'intellect, ou se tisse le passé a l'avenir du present qui n'est rien.... toute cette énorme organisation qui se déploie sur différents plans, la réalité et dont nous n'arrivons qu'a grand peine a délimiter chaque zones comme étant l'espace relevant d'une science particulière, sont toutes reliées au contentement, s’alignent, comme les constellations pour former le signe ou l'esprit se délivre de toute idée de satisfaction physique, en se forgeant une autre idée de son corps et de ses ligament qui retiennent entre eux, une compréhension justifiée de l'univers, une raison d'etre ou se déploie l'information consciente.... d'ici on voit a peine le panthéon... ces pierres se confondent avec la ruine du bâtiment des beau-art et des sciences dur comme l'est le caractère tragique de l'impulsion du vivant…. de quand date le divorce, cher historien ? … il était inscrit au commencement, si j'en avait été privé je serais surement devenu un migrant, un juif errant, séparé de sa terre avant le temps, dans le verbe qui le lie et le délit, recherchant une portion de terre ou l'arbre du plaisir comme fin ultime de la forme achevant sa matière, s'incorporant a elle-même se parachève; j'aurais traversé les mers pour ça comme platon, freud et bien d'autres; puisque tout s'enfante dans la beauté, et que l’âme meurt de n’être qu'en rapport avec l'horreur et les privations; le plaisir est la condition nécessaire de la pensée, puisqu'il est l’achèvement de la compréhension... ha mais oui ça y est j'y suis, s’écria fouine!... le plaisir sans fin n’est que l’écorce esthétique d'une pleine compréhension ; que la pensée menait au sources du délice ou l'intelligence de dieu est la forme que matérialise le refus de comprendre et que défige l'intelligence du mystère ; la forme matérielle du tunnel noétique par ou circule l'information, est habité par une pensée informe qui est chair d'une compréhension a apriorique de la satisfaction éternelle, la joie de dieu qu'il nous donne en en faisant le secret de sa création.... plus bas dans la vallée, on aperçoit les indiens qui trottent en file les rites de la technique poétique autour du totem ; la réorganisation du Vivre (pas seulement du vivre ensemble ou avec soi, mais encore, la reformulation du mouvement de la vie « en avant ») suivait le rythme des effondrements ou l'ancienne couleur de peau disparaissait sous les couches de peinture et de signes nouveaux qui précédée déjà le passé parce qu'il étaient gravé dans la pierre, sur du dur. Apprendre cet art était une chose difficile, mais pas impossible, a moins de commencer autrement que par l’étude de la philosophie comme cela se faisait depuis très longtemps; commencer par la dimension énergétique du corps c’était réduire d'emblée le réel a une quantité qui au final me laissait trop de chose dans les mains pour constituer le rien d'une réelle conversion de l'intelligence (le seul mouvement dont soit capable la pensée, puisque la logique n'appartient pas a cette catégorie), une périagogé, qui était incompréhensible par les voies de la philosophie de bazar du new age, qui jamais ne rendrait au hommes l'impression de leur réelle dimension dont l'univers était l'occasion de se ressouvenir a jamais, changé. Seul celui qui commence par le rien peut espérer ressentir la plénitude renverser qui fait de la pensé en l'homme, de la conscience un œil infiniment plus puissant que ses yeux même montés de verre.

 

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Nicola Samori

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