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26/09/2015

Ungere

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Fiona Rae

 

  Peut-être, était-il encore temps, pour celui qui cherchait sincèrement, de trouver mieux encore que le bonheur sur terre, l'impression parfaite du parfait, dont les annales politiques et littéraires de l'époque, ont conservée le récit de toute cette série d’opérations qui eurent lieu dans les limbes de la transformation individuelle devant le tribunal du miroir de balles traçantes des paysages globaux et mondialisés, aux mouvements si incertains qu'ils ne laissaient d'autre option, en ce monde en ruine, que de vivre en migrants, sur la route de l'effacement, ou se perdent les traces de ceux qui furent chasser de ce monde, et qui dans leurs tribulations, ne renoncèrent pas a ce bien qu'est la manière de vivre dans le sens du devenir spirituel d'un homme, vers la lumière ; et notamment, celui relatif aux Absou.Abs, faction séditieuse qui voulait faire du bien une chose entièrement mondaine et sans ciel, et qui se privait et voulait priver l'humanité de ce qu'elle a de plus propre, quand elle considère la terre non comme un champs de rapports, mais comme un surgeon de fait sur l'arbre de la transcendance, un nœud du tronc pour le nid dans les nuées.

  Le plus intéressant serait alors d'apprendre la façon dont ceux qui y vivaient périrent, parce que notre groins s'allonge en flairant la charogne qu'il nous faut devenir pour que la lumière se lave de la bête assoiffée de sang, et qui meurt de n'appartenir a aucune pensée éternelle, comme un cri, le tabou du chasseur sur la proie s’éteint tout en bas de l’abîme; était-ce les cartes qui avaient été pipées ? Est-ce les moyens de les lires qui avaient disparus ? C’était pourtant bien sans moyen qu'ils erraient par milliards dans leur boucle sans histoire, leur vie comprimée dans la confusion des sentiments, ou seule la fraude et le mensonge parvenaient a fendre d'une sailli la tourbe inepte de cette matière morte et inanimée qu'on appelle la vie ... derniers résidus de l'esprit décédé pour avoir trop tourné en rond, de s’être effrayer de lui-même et de sa puissance adamique.... quelque chose comme l'odeur de charogne le fait loups, et toutes sortes de vampires... ce fumet de vermine sur le ragoûts d’égouts, situe dans la fange et la merde, l'esprit du projet qui nous incombe de réaliser, pour que s'anime ce monde éteints de propriétaires assis.

  Le tissus conjonctif du gouvernement par la pensée se faisait entre métro et poubelle, station décharge on sautait une ligne pour oublier, on brouiller volontairement l'esprit pour le détruire au lieu d'en user pour refaire ce monde qui devient ce qu'il est quand il apprend de nous, l'idée de son projet encore inconscient. Il est précisé, page cinquante trois, que la garde nationale fut mobilisée des que la dégradation de la fin pour contenir les heurts violents de pétrels en migrations ; la dates des derniers travaux a l’Élysée atteste que ce fut bien, la transformation de cette claire intelligence de la charge du bien par le gouvernement, qui déclencha les premières émeute de l’inattention, ou tombait des milliards d’êtres en remuant par inadvertance, s'imaginant, grand et remué.

   Le cadre c'est la suie de l'esprit qui remonte les chaudières des aubes hélianthines; et le corps blanc de l’œuf au fond de l’œil et ses rouages perdue, flottant l'impression en elle-même, saisissant avec une acuité parfaite, le troublant le nœud de l'impression.... ha oui !!!! ça y est !! je me souviens de moi-même, maintenant !

 

 

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Fiona Rae

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