Transimmense cardinale

Gers

Le lendemain, sous le soleil inchangé, un autre jour de plat recuit, réchauffe la veille ; les mots a frire en chaire, veulent se fritter, s’échapper, se décharger n'importe ou, de tout cet océan de sens qui se noie, a moins de s’échapper, de tenir a tout par rien, de faire de mon corps quelque chose de neuf et des ses gestes le trait d'union du lien rompu, un segment comprehen'cible du fil liant tout par droite passion, un enracinement dans les profondeurs glacées de la terre, qui n’eut rien d'autre, a se mettre sur les nerfs que les vrombissements des premiers régimes passant au vert ardent qui épis menthait le passage clouté de chicots bouclés et transparents; rue du Tort, les bandes blanches sondaient les plates-bandes a dix mètres au-dessus de Garonne. Pargaminiéres. Midi flash les accents boueux des cloches qui sortent des contre forts leurs berges sur le fleuve, et pendant que dans le goitre des gargouilles, le sciure saccade son dernier souffle, des flammes oranges et jaunes neige par la ventrail du clocher des jacobins; le ciel en est griffé d'un crépuscule d'été, semblable a ceux qui se produisent dans le Sud-ouest, et qui changent le ciel boulbène, en une mire d'airain marquée de plusieurs cercles nuageux et concentriques exprimant ex-cathedra, les nuances possible du feu qui se désagrège; la ville boréale se perché chaque soir sur la couche, a l'aplomb du tunnel qui allonge son cou dans la perspective qui reparent entre le ciel et la terre l’Être qui s’étend du Gers a l’Aubrac, dans des proportions que je comprends... n'y aurait il alors, a cette heure, personne d'autre sur terre, que je saurais immédiatement ce que dieu attend de moi.

Aubrac