03/11/2015
Graphite
Agostino Arrivabene
Place de la bouche en l'air une troupe de comédiens mime une scène possible de la fraternité qu'on devine muette a même le talc qui les grime ; le plus grand retire de sa bouche la lune, pleine de trous autour de son bout d'une ficelle; pendant qu'elle éclaire le trapu, soudain, se brise et décline son rayon de vierge création, de potentia sur l’échine jusque la invisible de l'assis, qui, tout de blanc vêtu, râpe un navet lacté dans une écuelle de mercure ou les copeaux scintillent avant de disparaître sans émettre aucun chuintement ; en regardant le cycle d'une enfant tourner autour du plus grand grand, leurs gestes inoccupés, creuse l'immense plénitude de nuit libres aux sensations du monde qu'habite la chair paix du fruit ultime, dont le parfum sensible a l’extrême dégage une forte odeur d'effroi ; la substance de l’œil alors se forme, et la lumière décomposé de l'unité originaire, prend leur forme, celle de l'unité existentielle de éthique ou se forge le ton de la vision dans les limbes de la transparentes confusion ; la substance divine lâche un cri imperceptible mais perméable qui roule comme un œuf de son bain dans les lymphatiques houle de l'intestin cosmique aux tungstène des ampoule rétablissant le contact avec le contraste des tremblements perçus de la vérité des timbres élémentaire a travers les rigueurs et les beautés de la vie de ravissement, par ou passe le souffle et inversement.. le tremblée de vitre rétro griffe un cris qui déchire le nymphéas géants sur lequel il s'est perché; des papillons de nuits surgissent de la plaies comme des briques molles, des segments des plis abstraits dans le choux fleur des naissance, l’émanation tractée de la conscience par les nervure de l'onde encore dénuée de chair ; la vue se sépare du voir ; le monde meurt.Entre la représentation, sa mise en scène, est digne des démons qui la blesse de mensonge , leur front de jade transpire des équations différentielles qui offrent au tenebre leur dimension ; représentation sursaute, fait deux pas en avant, et trois saut de carpes sur le coté, s’étale sur le dos d'un cou sec qui fait vibrer les basses couches sédimentaire de la noétique encrassée ; puis elle revient sur ces pas et se faufile entre ces propres méandres qui peu a peu perdent leur air ivrogne se détachent des lois de la physique et des traces laissées par les lignes d'autoroute des romans de la rentrée du génie civil ; trop peu dense pour aimanter l'immensité des grandes serviettes de l'abstraction qui éponge la table nouées au cou du vichy de lettre ; la soupe d'alphabet en ordre est un texte barbare qui apporte au cœur la définition de son intérêt, la vue et a l'effroi la forme du dicible incommensurablement apaisé. Aussitôt l’intérêt inattendu du cœur répandu sur les planches se rassemble, et l'attention du spectateur se porte a travers les mots vers les panneaux sur la place qui indiquent un vide en leur tombe, ou la nouvelle soif, boit a la santé de la naissance de sa création.
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