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07/12/2015

Entendre raison

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alexander kostetsky

 

L'atome est une entité imperceptible, il ne se manifeste pas, il n'acquiert ni réalité ni existence. La manifestation sensible n'est pas le propre des atomes eux-mêmes. Elle n'est pas phénomène objectif, mais apparence subjective. Marx


 Au fond de l’être humain, il y a cette conviction confiante qu’il y a hors de lui-même, une chose qui est consciente de lui comme il l’est lui-même . Schopenhauer


L’anthropologie est le secret de la théologie. Vergote

 

 

     Une grande tour de verre, s'élance dans le souvenir d'un gratte ciel de trois-cent cinquante quatre mètres de haut; il réfléchit l’étendue de la seconde couche psychique, calcule le coefficient lacanien de l’élasticité que l'idée du déchirement imprimera a l’œil au moment de la rétorsion physique cherchant l'aube des bois dans les matières extraites de la mémoire déjà imprimé des limbes chimiques de l'un, littéralement tombée des nues quoi; de suite, il veut pouvoir parler de tout; et aussi du tout rapporté a lui-même, et encore discuter de ce rapport rapporté a l'apport en présuppositions du déniaisement de l’âme par la faute qui inquiète l’orgueil, débusque dans le mensonge la matière première de la langue brisée; le laboratoire philosophe l’œil de la fissure, enregistre l'air des plis dans le sens de la texture, mire l’Érythrée silence sur l'appuie tête savanes des bases, le regard perdu sur la tête des ormes aux couleurs pincées qui resserrent les torons contre le noyau de l'immeuble. C'est ainsi que devanbas voyait toutes choses, comme l'expression vivante d'une pression; les collines au delà de l’épaisse ceinture des ages, empruntaient au sillon le bémol de la route dont il respirait l'air vif et frais; son grincement d'essieu mineur détachée plus distinctement les frontières de temps; le grain atomique : « Pour que l’homme en tant qu’homme devienne pour soi son unique objet réel, il doit avoir brisé en soi-même son existence relative, la puissance du désir et de la pure nature. » On s'attachait alors a démontrer ce qui ne pouvait pas être, de telle sorte qu'a chaque déclinamen les instants de fulgurance atomique pouvait tout aussi bien se disperser qu’être reconduit dans leur flux uniforme; on ne connaît pas la vie autrement, qu'a la manière de ce chemin de lumière, cette galerie des glaces dans le trou noir; la dernière conclusion de la science ne fera jamais d'autre conclusion que celles déjà contenues dans l'intuition; et c'est ce rapport, ce rapprochement de la vie et de la science qui nous donne l'impression gigantesque de traverser une mauvaise passe; un de ces moments ou plus rien n'est discernable, ou l'histoire se trouble parce que le réel s'est momentanément, dissous dans le savoir lui-même incertain... a moins qu'il ne reprenne vie avec la tonalité fondamentale de l'amour, et que toutes les facultés en soient changées et comme transformées en neuves et fraîches représentation du flux. La catastrophe serait d'en perdre définitivement le mystère et de devenir misologue car dieu n'interdit pas de mesurer les franges apparentes de son mystère; il nous y invite au contraire a le faire, en nous demandant de nous assoir et de nous interroger sur ce qu'on veut faire, comme si les conséquences les plus grave et les plus concrète devaient naitre de ce rêve.

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