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25/05/2016

Chemin des revenants

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Gil Bruvel

 

      Les puits de la fontanelle sont forés,  selon les pointillés sémitiques de la pensée éternelle, reproduisant la structure moléculaire des senteurs monadique sur des cylindres systémique et éreintés; a terre le vent joue avec la police d'une feuille de choux: l’église cherche la communauté invisible des romances de foi au carré ; et voici qu'a l'appel s'extraient des limbes et du néant, le carrousel des déglingués, la légions des cul de jatte broyés et vomis par le temps, les temples d'os et de barbelés couronnés de guingois, les cœurs décapités, les moignons aveugle et frétillants des schizoïdes, les ténébreux du cacheton, les autistes a manivelles, les guenilles cancéreuse de la crasse puante du péché... voici ta compagnie... tous sont ton prochain, ton semblable, ton miroir et tes yeux, tu es pareil a ces myriades de gênes roussis qui s'amoncellent comme le sable sous l’hélice d'adn; et pas une bourre de pluie a l'horizon, aucune corne d’abondance, mais l'aridité des souffrances qui monte en graine au milieu de l’amphithéâtre des nuées de semence et des nuages de sperme; apprend a désirer avant de recevoir crient les apologies qui brûlent comme des feu de foret gigantesques dans les bibliothèques du derniers degrés du cafard dont on extrait l'huile vierge ; les murs de la parentèle étaient collés, et les voilà tout a coup qui laissent apparaître le chrome radiant des criques au fifre de miel scintillant comme l’azur ; il se rappelle la joie, du pare choc tombé hors les tables des catégories ; il ne peut pas se rappeler la joie indescriptible de l'innocence, il devra reformuler l'insouciance et mêler au présent toute la brûlure d'un souvenir qui poudroie le prochain pas ; cela fait déjà cinq romans qu'il s'est enfermé dans les cinq milles plages de référencement idoine de l’évaporation des satellites de saturne; des mains sémantique grattent des couches de papiers a la recherche d'un corps ; elles tâtonnent entre les ombres atomiques et les palmes aquatiques qui battent contre les abîmes les cimes du trauma blanc.

Il boit un chasse l’œil délirant extrait d'un piano forte charnellement tautologique, et lui pousse des jambes schizophrène a la pensée; l'élixir réflexif bouillonne dans un bain de corde homogène aux barges traits; le front rouge, un gros scarabée saccage les associations interne du soleil; l'iris décomposé tombe en limaille immatérielle qui laisse une trace de souffle dans l'idée montée en fleur ; d'un vide pierre, sortent les paperasses de graine, le faux crayon d'identité des tiges, et les rouleaux de la loi sur la nervure verbatim des nébuleuses ; de la mine cassée d'un tire-bâillon, la joie moire et recouvre, pour l'instant, encore, une tête d'un oisillon, piaffant l'argot des abîmes plus précisément que le précipité sulfureux du buis; les corolles sifflent près des moignon de tronc en gestation semi oraculaire; au centre du pasteur, la pensée suit le cours d'une rivière qui revient en bouche; a tel angle de pierre, elle range le haut en bas dans le bocal de la résurrection ; et en cuir caïman, il attend le reptilien transport des clochettes a fées; il sent alors qu'une immense vallée s'ouvre entre ces cotes, qu'il est monade sauvage, qu'il ne peut plus pensée a revenir au monde comme il l'habitait avant il sent qu'il ne peut plus allez de l'avant sans présupposer qu'il a déjà quitter ce monde, sans présupposer que tous les repères dialectique se sont recouverts, confondus, et que la fin qu'il connaît sent le brûlé et l'encens.

Plus tard, les heures refermées du livre, en parentes de son art de collusion, art des crises et du collapse, renverrons clé et serrure a l'ouvert; par son chas, la langue échappe une vibration, et l’arcane diffuse les traces de sa quantique oscillation de place, la sente des revenants. ; le serpent qui mordit la langue a disparu ; et de la pomme tombée dans le ventre du miroir il ne reste que des heures nouvelles.

 

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